La déesse de l’humanité

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Il y a longtemps, si longtemps notre peuple a souffert de l’occupation d’un peuple venue des étoiles, rien ne pouvait y faire il était tel des dieux, leur vaisseaux célestes l’instrument de leur oppression, esclave nous étions.

Notre vénérable empereur divin de l’époque a en permanence au-dessus de son palais le plus gros et le plus puissant au-dessus de lui, le tenant pour otage. S’il meurt, toute sa famille le suivra dans sa tombe, cette catastrophe cela aurai signé la fin de toute une lignée de sage, des gens qui ont su nous unir dans l’amour et la paix dont leur cœurs étais si purs qu’ils ont su émouvoir leur ennemis. On dit même qu’ils avaient un pouvoir de divination.

Méritant leur titre de dieu vivant. Comme cela n’était pas suffisant il était entouré de golem d’acier crée par nos tyran, toute la capitale en était envahis

Et une nuit, une étoile bleue tomba du ciel avec elle des millions d’autre de toutes les couleurs existantes.

Toutes la suivaient elle, l’étoile bleue, le ciel s’embrase et dans ce feu, puis de l’étoile bleu un jet de lumière s’abat sur les vaisseaux au-dessus de notre empereur qui prend la fuite.

Notre empereur sourit, il chuchota a sa fille « elle arrive, celle que nous attendions depuis si longtemps. »

Aux porte de la ville il y’avait une cohorte qui tombant du ciel s’annonça par leur fracas, des golems grands comme des montagnes, des géant hauts comme nos maison tous très différents et à leur pieds des êtres plus petits.

A leur tête, aussi belle que terrifiante, une petit chose qui en principe n’aurai pas peu tenir tête aux puissants golems et pourtant toute seule, elle s’avança, pourtant les golems sans âme trembler, pour la première fois ont entends leur voix.

Notre peuple la regardée traversai en marchant la route qui mène jusqu’au palais impériale.

Elle n’avait qu’une épée à une lame pour se battre et son corps noir aux muscles à vifs. De longs cheveux noirs cachèrent son visage.

Le vent se leva, ses cheveux noir flottant aux vents révélèrent le visage souriant et tordu de l’être aux yeux bleu.

Soudainement, sans crier gare, elle disparut, les golems hurlèrent d’angoisse, car elle était là pour eux, un a un dans chaque recoin de la citée, leur tête tombe, avec pour seul bruit un sifflement et pour dernière vision une lueur bleu.

Avec la vitesse de cents homme elle alla au palais, les marche de pierre ne supportant pas cette excès les marches craquèrent, avec la force d’une dizaine de golem elle enfonça la grande porte en fer, les puissants golems encerclant l’empereur dans sa salle du trône crachèrent du feu.

L’empereur, sa fille et ses sujets restèrent immobile, à cet instant ils perdirent la foi.

Sauf l’empereur qui éclata de rire et avec lui l’être fit de même d’une manière insolente.

Le feu devient une tornade de feu bleutée, les muscles à vifs sont remplacée par une peau blanche immaculée, les yeux bleu s’éteigne et laissèrent place à un brun foncée. Les dents noir qui blanchirent sont cachée part des lèvres rose, une robe recouvra le corps de cette être au pouvoir immense l’évitant au-dessus du sol. Elle semble d’autant plus fragile et ses mains délicate était toute fine et d’une manière déconcertante, d’un unique geste vers sol, elle impose aux golems de plier leur genou et s’effondre jusqu’à être réduit une miette, comme si une force invisible s’était écraser sur leur épaules.

De ses oreilles tombant des rubans, et sa robe bien digne d’une noble était parcouru d’étoiles bleues qui la traversent comme le ferai ceux dans le ciel un soir dégagée. La tête haute, elle fixa notre empereur et elle reprit sa marche.

Son sourire satisfaite et son assurance digne d’une impératrice n’avait d’égale que sa prestance mais elle cacha quelque chose, tous le sentirent malgré cette air fragile la cour sentis une haine, qu’elles reconnaissaient en leur cœur mais une folie qui leur étaient jusqu’alors inconnus. La fille de l’empereur une femme qui avait de la bravoure dans son cœur s’interposa.

Elle le sentait, cette haine et cette colère, cette envie de tuer dont était posséder l’être devant elle. Tremblante elle fit face, dégainant sont épée.

L’être alors venue des étoiles verse des larmes et parla dans notre langue « prête à mourir par amour, c’est si beau et triste. » elle planta son épée dans le sol « Enfin je vous rencontre empereur, cela fait plus d’un millénaire que l’âme de votre ancêtre cria son désespoir jusqu’à mon univers. »

Une partie de sa cohorte la rejoignit d’un simple regard elle leur ordonna de rester devant la porte.

Les bras ouverts, elle exposa fièrement ce qu’elle est « Je me présente, je suis l’émissaire de l’humanité avec toute sa laideur et sa beauté. En gage de notre sincère amitié je vous offre la paix. »

Ainsi l’empereur serra la main de l’émissaire, chose qu’il ne devrait faire qu’au membre de sa famille ou face à une autre divinité. Ainsi nous la nommons, la déesse de l’humanité, celle qui nous a tous sauvée.

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