Chapitre 18
Seyvanna
OK, je passe plan B. Comment tuer Jonas cette nuit avec Dominik dans le penthouse ? Le mieux serait de trouver un moyen pour que ce garde n’ait plus son arme d’assaut dans les mains tel un militaire prêt à me mitrailler. La seule façon de lui faire poser, viendrait d’un ordre. Et pourquoi Jonas lui ordonnerait de déposer son arme et abolir sa défense ? Seul le sexe peut amadouer un homme… et cette pensée me redonne le sourire.
J’espère que Katerina avait raison au sujet des fantasmes de Jonas. Que lorsqu’elle aguichait Dom, ça allumait Jonas. C’est exactement ce que je vais faire : séduire Dominik pour exciter Jonas. Il ordonnera à son acolyte de poser son arme pour nous mater en pleine action. Quand Dominik sera désarmé, je choperai le AK-47 et je les tue l’un après l’autre. Je file ensuite par la fenêtre pour que personne ne me voit et je retrouve mon frère.
Vêtu uniquement du t-shirt noir de Jonas, je profite que Jonas soit sous la douche pour tâter le terrain et vérifier à quel point son garde est réceptif…
—Oh, ça tombe bien que tu sois là, il faut absolument que je te montre quelque chose. Je pense qu’il y a quelqu’un qui a tenté d’entrer par effraction pendant que je dormais. Il y a un masque qui n’appartient pas à Jonas, par terre dans la chambre et…
—Où ça ?! me coupe sèchement Dominik inquiet d’une possible intrusion dans le penthouse.
Il mord à l’hameçon.
C’est parti…
En longeant le couloir, j’entends la douche. Je poursuis mon chemin jusqu’à la chambre de Jonas. Je n’ai pas le temps de dire un mot que le garde passe à côté de moi comme s’il y avait une urgence capitale et commence à inspecter la pièce, allant aux fenêtres pour vérifier si personne ne les a forcées, s’assurant que personne n’a rien touché ou volé aucun objet. Mais tout lui semble normal… Pas de signe d’intrusion.
—Il est où le masque ?
Je marche lentement vers la commode de Jonas, où il y a une télécommande, j’appuis sur power et fait défiler une playlist sur le petit écran du radio et lorsque je trouve le bon morceau, j’appuis sur play.
La musique Desperado de Rihanna se diffuse, pas uniquement dans la chambre, mais partout dans le penthouse. Ce qui est marrant, c’est que Dominik ne comprend pas les paroles de la chanson qui disent « Non, non, je veux juste sortir d’ici, ouais » « Une fois que je serai partie, je ne reviendrais pas ».
Je lui souris. La musique est sombre, sensuelle… Je commence à retirer le t-shirt de manière langoureuse.
—Seyvanna, où est le masque ?! s’énerve-t-il en parlant au-dessus de la musique.
Je passe ma tête à travers le col et balance le vêtement sur lui.
Je me retrouve entièrement nue.
—Il n’y en a pas… je t’ai fait venir ici parce que tu me plais.
J’entrouvre la bouche pour expirer doucement tout en lui offrant un regard de biche. Je fais glisser mes doigts le long de mes cuisses, mes hanches et contourne le galbe de mes seins, juste assez pour faire naître un frisson qui fait pointer mes tétons.
La manipulation par l’art de la séduction, telle que Edja me l’a enseignée.
Je marche de manière calculée vers lui, lui tourne autour en caressant son costume militaire, couleur blue dark, presque noir. Je sens ses énormes muscles à travers le tissu. Il reste très attentif, resserre l’arme dans ses mains. Normalement, il m’aurait frappée où repoussée pour l’avoir touché, mais mon petit doigt me dit que Jonas lui a ordonné de ne pas me faire de mal… C’est bête, car il devient ma proie.
Ma main glisse le long de son bras pour caresser ses biceps et il s’écarte, anticipant ma tentative de prendre son arme.
Du calme, Dom… tu n’es pas fait en bois. Tôt ou tard, tu seras excité et suppliera Jonas de t’occuper de moi et tu pourras enfin déposer ton arme.
Au moment où je pense à Jonas, je l’entends sortir de la salle de bain. Avec cette musique, c’est sûr qu’il se demande ce qui se passe. En arrivant, serviette autour des hanches, les cheveux encore humides qui dégouttent sur ses épaules et son torse, le corps perlé, il appuie une épaule contre le cadre pour ne pas vaciller. Dès que ses yeux me trouvent, dénudée face à son acolyte, il se fige.
Je n’arrive pas à lire ses pensées, mais je pense que si j’ai bien cerné ses délires, ce qu’il voit ne fait pas que l’allumer, mais l’enflamme violemment. Son regard est ombrageux et son corps est tétanisé comme un fusible grillé par une surcharge.
Je suis trop habituée à ce que les hommes abusent des femmes, alors que cette fois, c’est moi qui dois jouer avec le corps d’un homme pour toucher le côté voyeur de Jonas.
J’avais mon plan A qui était de montrer à Jonas que j’allais trahir ma famille pour lui, en échange de ma totale liberté envers la mafia. Mais comme il est saoul, je passe au plan B, plus radical. Je ne pense qu’au AK-47 et aux images des balles qui transperceront bientôt leurs corps, faisant gicler leur sang partout dans la pièce et la fierté que mon frère aura envers moi pour avoir tué un de ses ennemis et le meurtrier de notre père. Je veux me venger et je vais me venger.
Je fais un pas vers Dominik, fixant ses yeux à travers la cagoule. À cet instant, je tourne la tête et vois Jonas se déplacer jusqu’à la petite table près du fauteuil en cuir pour se prendre une cigarette. Il est déjà tellement excité, sa queue se dresse sous la serviette et ce n’est pas subtil du tout ! Deux de ses fantasmes sont réunis ce soir : voyeurisme et candaulisme. Ok, je ne suis pas sa petite amie, mais il m’a enlevé pour ses intérêts, il doit considérer que je lui appartiens d’une certaine manière, alors j’ose croire que me voir avec un autre lui plaît.
J’avoue que mon corps se réchauffe, rien qu’à la vue de Jonas sur le fauteuil, avec ses cheveux mouillés, ses tatouages aux bras, sur son torse diablement découpé et sur ses mains agiles. J’adore celui qu’il a sur le cou. Ce fils de pute a tout pour lui. Même sous la ceinture, il a hérité d’une queue incroyablement parfaite. En plus il est circoncis, et je préfère ça à Mikhail qui ne l’es pas.
Putain, je suis en train de comparer là ?! Je m’égare complètement. Je suis venu ici pour que Dom dépose son arme et que je m’en empare ! GO !
J’attrape d’une poigne le col de Dom et en reculant de plusieurs pas, je l’amène avec moi jusqu’à ce que j’arrive au lit où je hisse mes fesses sur le bord.
Je crois que lui et Dom se sont échangé un regard entendu, puisqu’il remet l’arme à Jonas. Ce dernier dépose le AK-47 juste à côté de son fauteuil.
Merde, elle est un peu trop loin, maintenant. Dominik ne retire pas sa cagoule et l’avoir aussi près de moi sans voir son visage, ça m’énerve. Je m’apprête à m’étendre un peu plus loin sur la couette, mais il tire mes hanches jusqu’à ce que mon cul revienne au bord du lit. Je ne suis pas excitée, je pensais le séduire et m’emparer de l’arme, pas me faire prendre et ce, dans l’immédiat !
Pas si vite, il ne faut pas sauter les étapes !
Mais le garde n’attend pas, il sort son sexe de son pantalon et tente une première fois de me pénétrer, mais je suis sèche comme le désert ! Pareil à toutes les relations sexuelles que j’aies eu avec mon frère. Par l’ouverture de sa cagoule, au niveau de sa bouche, je le vois cracher dans sa main pour ensuite humidifier ma vulve. Il force la pénétration et j’échappe un cri de douleur. Mon corps ne s’est pas entièrement remis de ma nuit avec Jonas, qui m’avait causée quelques lésions. Même s’il m’a fait atteindre l’orgasme avec ses doigts, j’ai quand même eu du sang après et là, je sens que je suis à nouveau blessée.
Après qu’il a entendu mon cri, je vois apparaître Jonas qui se positionne à côté du lit, attrapant un des montants pour garder son équilibre. Ses yeux sont mi-clos. De sa vision embrumée par sa cigarette au coin de la bouche, il regarde de plus près son pote me prendre dans son pieu. Je pensais qu’il ne serait que voyeur, mais Jonas commence à me tripoter. Dès que sa main presse, masse et caresse le galbe d’un de mes seins, tout mon corps devient réceptif. Dom accélère ses mouvements et machinalement, je ferme les yeux, imaginant mes mains prendre l’arme et les abattre sur le champ. Je vois apparaître dans ma tête le visage de mon frère. Il m’attend. Mais son sourire fier de moi, se transforme en colère noire lorsque soudainement, il me voit prendre du plaisir là où je suis…
Du plaisir ? Non… je ne prends pas de plaisir en ce moment !
J’ouvre les paupières pour me rendre compte que Jonas m’embrasse et que, sans le vouloir, j’échappe un gémissement.
Peu à peu, presque instinctivement, mon corps se détend et une douce chaleur envahit mon sexe et vient le lubrifier naturellement. C’est à cause de lui. C’est une évidence. Dès que Jonas me touche, je me liquéfie. Mon corps lui obéit, à lui et non à moi.
Jonas s’écarte un peu, le temps de tirer sur sa clope et retient la fumée. Après quoi il se penche à nouveau au-dessus de mon visage et vient presser ma mâchoire pour que j’ouvre juste un peu la bouche. Ses lèvres effleurent les miennes et il souffle délicatement la fumée entre les miennes. C’est si lent et sensuel à la fois. La nicotine rempli mes poumons et pour m’empêcher d’expirer tout de suite, Jonas pose ses lèvres contre les miennes, m’embrassant, laissant sa langue traverser pour caresser la mienne. La chaleur humide de sa douche me rend fiévreuse. La fumée finit par fuir mes poumons, il s’écarte afin de me permettre de reprendre mon souffle. D’une main, Jonas écarte mes jambes un peu plus. Ses doigts trouvent mon clito pendant que Dominik continue de me pilonner. Dès que ses doigts caresse à cet endroit, je cambre le dos.
Mon cœur tambourine dans ma poitrine. Je suis dans une sorte de bulle où plus rien autour n’a d’importance.
Non mais à quoi je joue là ?! Le fusil ! Le fusil, putain ! Ce n’est pas le moment de prendre son pied !
Je ne peux pas rester là. Mais en même temps… c’est si bon… Si je reste là encore une minute, juste une petite minute, après je m’occupe de l’arme. De toute manière, j’ai le corps totalement électrisé, je suis incapable de me défaire de son emprise. Dès qu’il est là, qu’il pose les yeux sur moi, ou qu’il me touche, je deviens vulnérable et j’ai envie d’être égoïste, d’avoir du plaisir comme j’en ai rarement eu dans ma vie. Personne ne me touche comme lui le fait. Est-ce mal ? Mikhail ne le saura jamais. Je découvre à peine combien le sexe, c’est bon. Sans Jonas, le sexe est totalement platonique.
Le AK-47… Le AK-47…
Merde ! Je ne peux pas me laisser aller ! Maintenant que je les ai chauffés, je dois me relever et aller chercher l’arme ! La vengeance est plus importante que le sexe !
D’un mouvement vif, Dominik s’extirpe, saisit mes hanches et me roule sur le ventre !
On écarte mes jambes et je sens une nouvelle pénétration, seulement, je reconnais la sensation de son sexe en moi. Il me remplit à m’en faire mal et appuie sur mon col d’utérus. Je ressens une douleur enivrante qui pourtant augmente le niveau de lubrification. Je deviens tellement mouillée qu’à un moment, j’ai peur d’avoir un peu uriné sans m’en rendre compte, mais ce n’est pas ça. J’ai l’air bête, stupide, mais ce n’est pas ma faute si je découvre encore mon corps et que Jonas est le premier homme à m’exciter. Être prise par lui, c’est se retrouver totalement possédée. C’est comme une douce ivresse qui coule dans mes veines. Je décèle chaque touché, chaque mouvement, même ses soupires me font frémir.
Il est là à me prendre, alors que je suis à plat ventre, une de ses mains presse ma nuque, l’autre s’occupe de sa clope. Lorsqu’il la termine, il la donne à Dominik qui va l’écraser dans le cendrier. À ce moment-là, Jonas se retire d’un coup, créant un vide, une dépendance. Puis, il revient en moi, et la sensation telle une dose d’héroïne à un toxico, me fait frissonner de plaisir. J’échappe un gémissement. Son doigt fini par trouver mon anus et à ce moment, j’essaie de le repousser ! Mais il écarte violement ma main pour ensuite, prendre mes poignets et les maintenir dans mon dos avec l’une des siennes. L’autre s’occupe de mon deuxième orifice.
—Arrête ! Putain, qu’est-ce que tu fais ?!
Je sais très bien ce qu’il fait, il me dilate pour pouvoir me pénétrer. J’ai de mauvais souvenirs avec la sodomie. Je repense juste à Mikhaïl qui m’enfonçait des objets quand j’avais quatorze ans. La première fois qu’il m’a sodomisée, j’ai eu une déchirure importance. Je déteste ! Je déteste ! J’ai toujours eu peur de ça depuis ! Je…
Dom à côté du lit, se masturbe.
Jonas continue de me baiser tout en enfonçant un, puis ensuite deux doigts dans mon anus. Sa respiration est forte, son sexe bandé en moi ralenti et sort plusieurs fois, je sens qu’il veut jouir, mais empêche que ça se produise. Contrairement à ce que j’appréhendais, ce qu’il fait avec ses doigts en même temps de revenir en moi et de ressortir sa queue, est agréable. Je m’en mords la lèvre.
Concentration… oublie les plaisirs de la chair, concentre-toi sur ton objectif. Le sexe c’est une tactique parfaite pour amadouer un homme, pas une femme… Edja… m’avais appris que les hommes devenaient vulnérables face au sexe… il ne m’avait pas dit que je pouvais moi aussi être enivrée par les caresses d’un homme…
J’entends Jonas grogner, comme si se retenir pour jouir lui était difficile. Il finit par tout arrêter, à mon plus grand désarroi. Je croyais qu’il était insatiable au lit, qu’il pouvait tenir des heures. C’est du moins, comme ça que Katerina semblait me le présenter. À moins qu’avec elle, il avait du mal à jouir alors il pouvait tenir des heures.
Je souris malicieusement. Voyant qu’avec moi au lit, Jonas est sensible et réceptif.
Il me retourne sur le dos, je me redresse sur mes coudes et jette un œil à l’arme qui repose à côté du fauteuil à environ trois mètre de moi. Mes yeux tombent ensuite sur le sexe bandé de Jonas qui reluit de mon jus de plaisir. Sa main me saisit la nuque, m’obligeant à sortir du lit. Il va s’assoir sur le fauteuil, ce qui me rapproche de mon objectif.
Dom, derrière moi, me force à m’agenouille devant Jonas. Il n’a pas besoin de dire ce qu’il attend de moi, je comprends que je dois le sucer. Jonas écarte les genoux. Agenouillée je me rapproche, posant mes bras sur ses jambes. Il agrippe mes cheveux pour que je n’en ai pas dans la bouche pendant que je lui fais une fellation et dès que son gland humide et doux, glisse entre mes lèvres et sur ma langue, une excitation fait vibrer mon entre jambe. Je l’entends aussitôt frémir et sa verge se contracte. Je distingue deux goûts de fluide : sur sa peau, le mien et sur son gland, une goutte de liquide séminal vient se différencier par son goût âcre, mais pas désagréable.
J’essaie de la prendre au complet, mais faut je sois réaliste, à moins de me l’enfoncer dans la gorge, il n’y a pas moyen, son membre est beaucoup trop gros. Dès que j’enlève ma bouche, une nouvelle goutte de pré-éjaculatoire sort de son urètre. Jonas place sa main sous ma mâchoire, me relevant la tête et m’incitant à me relever pour que j’arrête sinon il va jouir. Je me relève, prête à m’emparer de l’arme alors que Jonas est chaud comme la braise et ne pense à rien d’autre qu’à sa bite, mais avant même de penser à étirer le bras pour saisir l’arme, Dom se place sur ce côté du fauteuil.
Jonas attrape mes hanches, puis presse mes fesses pour me guider vers lui, pour que je l’enfourche. Je mordille ma lèvre avec colère. Je dois mettre la main sur l’arme avant que les deux jouissent et sortent d’ici avec l’arme !
En califourchon sur Jonas, il me prend dans cette position. Il use de ses mains pour contrôler le mouvement de mon bassin. Mon corps est rapidement projeté à l’apogée du plaisir. Mes jambes tremblent doucement. L’une de ses mains se réfugie entre mes cuisses pour caresser mon clito. Comme un sale pervers, il mate mes seins près de son visage et adore regarder mon sexe envelopper le sien. J’ai autant envie de le frapper que de l’embrasser, ce con. Surtout lorsqu’il fait signe à Dom de se rapprocher un peu plus, assez pour que son membre se trouve à côté de mon visage.
—Suce le… m’ordonne Jonas.
Merde. C’est quoi l’idée de ce plan B foireux que j’ai eu ?! Séduire Dom, pour qu’il dépose l’arme et je m’en emparer. Comment j’en suis arrivé là ?!
Je ferme les yeux et prend sa queue dans ma bouche alors que Jonas continue de me prendre en dirigeant les mouvements de mes hanches contre lui et, avec son autre main, ses doigts mouillés et experts mignotent mon clito.
Des spasmes me submergent entre les cuisses et une douce électricité envahit tout mon corps. Ça augmente en crescendo, tout comme les battements de mon cœur et la vitesse de ma respiration. Jusqu’à ce qu’un déclanchement se produise, des contractions envahissent mon entre jambe. J’échappe un cri de jouissance, étouffé par le sexe de Dominik dans ma bouche. Mon orgasme est si violent que je n’ai plus le contrôle, je me liquéfie sur Jonas. Plusieurs secondes doivent s’écouler avant que mes spasmes orgasmiques s’arrêtent. Puis, au moment où j’arrête de trembler et de frémir, Dom crache sa semence dans ma bouche et par réflexe, je veux m’écarter, mais Jonas attrape ma mâchoire comme un faucon saisissant sa proie et m’ordonne :
—Avale tout.
Je ferme les paupières, sentant ces horribles jets couler sur ma langue. Voir les images d’une bite qui éjacule dans ma bouche semble exciter Jonas, puisque je sens sa verge pulser en moi, arrêtant tout mouvement de mes hanches pour jouir doucement.
Dès que Dom se retire de lui-même, j’avale d’un coup et ne peut m’empêcher de grimacer et d’avoir un horrible frisson. En rouvrant les paupières, Jonas semble se marrer de moi. Il a ce fichu sourire en coin, mais un regard salace.
Dom en a terminé avec moi, il me laisse seul avec Jonas et sous mes yeux terrorisés, je le vois repartir avec son arme…
Quoi ?! Non ! Non ! Attends !
Est-ce que je viens de me faire avoir dans mon propre jeu de manipulation ?
Retour au plan A.
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