Chapitre 2

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Un, deux, trois . . . J'ai beau compter les moutons, le sommeil ne me gagne pas. Mes pensées sont bien trop présentent pour que je puisse m'endormir. Est ce moi qui provoque mes rêves ? j'ai pourtant eu des visions qui étaient bien réel. Tenez par exemple, je devais avoir 3 ou 4 ans et j'ai décris à ma mère l'endroit où elle vivait quand elle était enfant. Je lui décrivais ce que je voyais. Etrange n'est ce pas ? Il n'y a aucune logique dans cette suite d'évènements. Je me retrouve à chaque fois au point de départ.

Si je suis sur cette route, c'est sans doute parce que je suis perdu. Heureusement cette fleur blanche se laisse transporter par le vent, et sans savoir pourquoi, je la suis. J'arrive à ce magnifique quai ou des bateaux s'apprètent à prendre la mer. C'est comme si je me reveil enfin, mes souvenirs me reviennent, tu es là . . . Les larmes aux yeux je cours te rejoindre. Tu es aussi bouleversé que moi, je te demande de ne pas partir, mais tu me dis que tu n'a pas le choix. Mon coeur se brise, se déchire, et toi, tu es tout ce que j'ai. Encore une fois tu me dis que tu m'aime, de ne pas t'oublier. Mais comment t'oublier ?

Cette double vie est parfois éprouvante. Les pires des reveils. Les sensations sont encore présentes, et quand vous essayé de comprendre, de reprendre le dessu, et bien, vous n'avez tout simplement pas le contrôl sur votre corps. Entre tristesse et incompréhension vous passez cette journée à retourner cette scène dans votre tête, jusqu'à ce que ce sentiment disparaisse.

Et quand je pleures parce que je ne ressens plus ta présence, c'est comme un appel qui te révèle. Nos coeurs liés, tu me redonnes le sourire, je deviens plus forte. Tes absences me font perdre pieds car dans mon monde je suis imparfaite, seule, et inutile. Alors je me demande, est ce la réalité ? Pourtant parfois, j'ai l'impression que tu me prends la main, j'ai l'impression que tu m'appelles, que tu me protèges.

Ici le rêve a trouvé une place dans la réalité, alors comment comprendre ce qu'il ce passe ? Un souffle, une voix venu d'outre tombe qui appel mon nom la nuit quand je dors. Me reveil en silence quand quelque chose ne va pas. Comment une porte se vérouille t'elle sans que personne ne l'ai fermé. Sauf que, moi je savais que quelqu'un l'avait fermé. Mais qui ? L'amour peut-être véritable n'importe où à n'importe qu'elle moment. Ces choses inexpliqué, parceque ilogique sont bien réel pour moi. Il se passe des choses, je le vois, je le sens, mais je ne sais pas comment. Donc je devrais les qualifier d'éroné ? Toute explixations est confuse, et pourtant ces choses, sont là, elle se passe.

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