Chapitre 6
Juste avant le couché du soleil, l'arbre qui se trouve sous ce ciel grisonnant m'interpèlle. Cette sensation qu'il va ce passer quelque chose, mais je ne sais pas quoi. Une profonde tristesse ou peut-être est ce un trop plein de joie. Je ne me comprends pas. Je suis ici et en même temps là bas, comme si je tanguais sur une onde éléctrique.
Je me sens perdu depuis quelque temps. J'ai la sensation qu'il faut que je trouve la solution. À quoi ? Je ne sais pas, je suis frustrée de ne pas comprendre. Cette arbre, je l'ai vu en rêve. Ce rêve qui m'a fait voyager dans le temps.
Une fête ou les couleurs fluo sont à la mode, les années 80 . . .
Les couples s'embrassent dans ce vieu canapé déformé, la fumée qui engouffre toute la pièce, et mes copines qui semblent aussi étonné que moi de l'ambiance inabituel. À l'extérieur, les boutiques de robes guénante et accessoires assortis à la mode de cette année. Les filles et moi sommes subjugué par cette liberté. L'une d'entre nous propose d'échanger ses euros à la banque, et nous nous moquons de cette idée absurde lui expliquant que l'euros arriveras des decennies plus tard.
Nous nous retrouvons ensuite, sans comprendre, sur une route calme et dégagé, et je propose d'aller au cimetière pour connaître la date exacte de ce jour. Je sais que je me trouve dans le passé, mais je ne sais pas que je rêve. Une de mes amie, me dis que nous nous trouvons juste à côté du cimetière qui était en fait en deux parties. Je n'avais vu que l'autre qui se trouvait plus loin. Tout d'un coup je me retrouve devant cette arbre mesurant environs 1,70m, son apparence fait froid dans le dos, noir ében et chacune de ses branches avait un contenant. Des rubans, des petits sachets qui semblaient contenir des objets de tout genre.
Mes amies ne sont plus là, par contre il y a cet homme qui m'explique que c'est l'arbre de la sorcière, les gens viennent ici pour jetter des sort, et il se trouve que sur sa tombe il y a un mouchoir avec le sang de mon père, l'homme prêt de moi me dis qu'il avait bien essayer de le récupérer, mais sans succès.
D'un coup, un individu sort de nul part vetu de noir avec une capuche, ses vetements étaient semblable à ceux des templiers. Une épée à la main, il se jetta sur mon allié, et un combat d'épée commença. Puis un autre arriva par une autre route.
Un autre homme apparait soudain pour me proteger, mais il se retrouve vite à terre, heureusement il est juste sonné. Mais je me retrouve seule, sans moyen de me defendre. Alors d'un geste de la main, comme si je caressait l'aire, je projette cet assassin qui disparait dans une brume de sable.
Mon ami se lève, fière, me disant que je suis la dernière et la plus puissante de ma lignée.
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