Chapitre 4
Deux jours était passé et c'était aujourd'hui que j'avais rendez vous avec je ne me souvenais plus de son nom, et je n'en avais pas eu envie, je n'avais pas eu pour projet de le revoir, mais apparemment il n'en tenais pas compte, il ne se souciait pas de ce que l'on pouvais lui dire, mais lui dire non, était la pire option que je pouvais envisager, je ne voulais pas que ce psychopathe puisse me contacter toujours, mais comme on dit ou même comme ma mère me le disait, ne pas se fier aux apparences, peut être qu'il n'était pas aussi mégalomane qu'il n'y paraît.
Je me dirigeais donc au Museum Café, un poids dans l'estomac, j'avais stressé pendant deux jours, et plus je me rapprochais, plus je me sentais mal, j'avais l'impression d'aller à l'échafaud, c'était une étrange sensation, je ne pensais pas ressentir ça un jour, au loin je le reconnu, et bizarrement il était mieux présentable que la dernière fois que je l'avais vu, il attendais debout, et je pu le détaillé de loin, il était grand, et habillé d'un costard, je n'avais pas de très bond souvenir, il avait l'air négligé la dernière fois dans mon bureau, ses cheveux était attaché en chignon, je n'avais pas remarqué qu'il avait les cheveux long, sa mâchoire était carré, et il avait l'air tatoué, une fois proche de lui, un sourire balaya son visage, je n'avais pas fait énormément d'effort, j'avais simplement mis un jeans avec un chemisier blanc, ainsi que des baskets, j'avais laissé mes cheveux roux détacher.
Plus je me rapprochais de lui, et plus son sourire en disait long sur ce qu'il pensait de ce rendez-vous, ce qui ne faisait plaisir qu'a lui au passage, je n'avais pas forcément envie d'être la de base, et j'avais finalement pas eu le choix, j'avais du accepter pour éviter qu'il ne me harcèle, être beau ne veut pas dire être tout permis, surtout que venir a mon travail et faire des scandales pouvait me faire perdre en crédibilité, que ce soit au près de mes collègues, de mes patients et encore pire au près de mes patrons, que penseront-il de moi quand il apprendrons qu'un homme avait un scandale a mon travail parce que je n'avais pas accepté tout de suite ? Et avait même quasiment frappé un de mes collègues, un grand malade, et sincèrement son obsession me faisait peur, donc je me retenais de fuir à toutes jambes, et de le laisser planter la. Mais la raison reviens vite et je le salua d'une voie douce.
"Bonjour, Naos, comme convenue je suis venu, ne nous éternisons pas voulez-vous ? J'ai accepté pour ne pas être harceler pour vous avoir dit non. Tempêtais-je rapidement
- Allons, nous sommes des inconnus l'un pour l'autre, pourquoi vous méfiez-vous à ce point ? N'est-il pas dans la nature humaine de ne pas se fier aux apparences ? dit-il un sourire dans sa voix.
- Il est vrai mais vous, je me méfie, vous êtes trop polie, trop courtois pour que ce ne soit pas faux, vous grogner souvent pour que ce soit normal, alors je préfère me méfiez de vous, et sincèrement ma santé mental ne s'en portera jamais mal.
- Peut-être loupé vous certaines choses, il est vrai que je ne donne jamais une bonne image de moi la première fois, mais vous m'intriguer et j'aimerais apprendre a vous connaître, enfin si vous cessiez de vous méfiez cela pourrais être un bon début, je sais que vous n'avez qu'une seule chose en tête mettre fin et vous enfuir à toute jambe, seulement ce n'est pas dans votre nature et cela m'arrange grandement.
- Bien si vous voulez, mettons mes différents de côtés, pourquoi moi ? Je suis sur qu'il y a plein d'autres femmes qui sont a vos pieds, vous même l'avez dit, alors pourquoi allez vers celle qui ne s'intéresse pas à vous ?
- La réponse est simple je ne vous intéresse pas, alors c'est beaucoup mieux, vous n'attendez rien de moi en particulier, et j'en suis soulagé, vous ne chercher rien a mon sujet, vous n'avez même pas voulus en savoir plus quand je vous ai dit mon nom.
- Et bien soit, mais que ce passera-t-il quand je commencerais à vous demandez de parlez de vous, c'est ce que vous voulez non ? Que je m'intéresse a vous en priorité comme vous avez l'air de vous intéresser a moi ? Et je n'en ai pas besoin, votre prénom est le nom d'une constellation, je n'ai pas eu a faire de recherche et ca ne m'aurait pas traversé l'esprit."
Il ne me répondit pas et sembla chercher ses mots, nous avons donc commandé et repris le fil de la conversation ou nous l'avions laissé, dans l'espoir qu'il me laisse partir, une fois que je me serais intéressé a lui, et qu'il trouvera une nouvelle victime.
" - Et bien même si vous vous intéressé a moi, je ne pense pas que je vous laisserais filé, vous êtes bien trop intéressante pour que je vous laisse partir, et je n'en ai pas envie non plus, ca ne m'arrangerais pas.
- Et en quoi ? Je ne suis personne pour vous, alors pourquoi vous obstinez a vouloir me garder près de vous ? Ca ne vous fait rien de savoir que vous ne m'intéressé pas ? J'ai beau vous le dire vous revenez toujours, alors qu'est-ce que vous voulez vraiment ?
- Ce que je veux vraiment ? Vous ne pouvez pas la comprendre, mais dans l'instant je veux votre prénom, après tout je ne suis plus votre patient ?
- Je m'appelle Galina, voilà pourquoi je n'ai pas chercher à en savoir plus sur vous, j'ai un nom qui se tient lui aussi d'une étoile, alors ne vous bilez pas vous n'êtes pas exceptionnel.
- Je comprends mieux, vous refusez qu'on s'approche de vous, quel qu'en soit la raison, pourquoi ?
- Je ne vous répondrais pas et préfère partir, merci pour le verre j'espère que vous trouverez quelqu'un qui s'intéressera a vous, bonne continuation Naos."
La question a mille dollars, pourquoi ? Je n'avais pas la réponse, ou je me voilais simplement la face, je n'avais pas envie qu'on apprenne a me connaître, j'avais déjà perdu tellement de monde et j'en avais fait souffrir plus d'un que je n'avais pas la force de recommencez, une pression me fit me stopper, une main maintenant fermement mon poignée m'empêchant de fuir.
" - Je ne te demanderais pas pourquoi tu es comme ça, mais ne me fuis pas Galina, je veux sincèrement te connaître et tu aura beau me repoussé je reviendrais vers toi.
- Pas pour l'éternité, je le sais et je connais toutes ses belles phrases, alors laisse moi partir s'il te plait.
- L'éternité s'est terriblement long, j'espère que tu en a conscience ? Alors attends toi a ce que je tente de m'approcher de toi encore longtemps, je ne te laisserais pas fuir, pas après t'avoir enfin trouvé petite humaine."
Je ne relevais pas l'appellation, je n'avais qu'une seule chose en tête partir, avant de m'effondrez en larmes, ma mère m'avait dis ces phrases tellement de fois, et n'avais pas pu les tenir, alors je ne voulais plus les entendre, je voulais juste retrouver le confort de chez moi, sans jamais en ressortir.
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