Soupir, méditation ou ... pire?
Ô reste ! Dis, seras- tu là quand mon oeil béant
Se fixera sur le chaos au- delà du néant manifeste ?
Les serpents, tourment pour gage et faux serment,
Frôlent déjà mes racines: leurs manies m'infestent !
Langage- démence : Oreste, aux arrêts de rigueur,
S'y engage comme l' Infante défiant miss Confiance;
Mais Toi, gagne- la via ce canal, apprivoise ma rancoeur
En vertu de tous ceux qu'on fiance mal par déficience !!!
Malgré leurs biens à jamais confinés dans ces malles,
Les Saints- Hommes à l'affût dérouteront enfin le Mâle...
Mille dieux! Voici Encore ce trèfle accroc au verbe! Brève poésie:
Il ravissait tant son génie que Thot érotisât si tôt Aristote l'Impie!
Quelle folie ici! De l'équivoque à l'impasse, les Non- dupes errent ;
Un des leurs, squame sous masque, se maque à Andromaque...
Triomphe? Seul le manque dora Mère Féconde! Sa foi? A taire!
Soupir, méditation... ou pire? L'Elégiaque Grand Autre me traque...
" Soupir, méditation ... ou pire?"
© J- H& Co, 09.04.2017
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