Douze jours ,mon dieux que ces jours on dû lui paraitre long, je la cherche encore des yeux et comme tous les soirs depuis ce jour fatal, je rentre extenuer par la marche que je venais de m'infliger. Pas de trace de ce petit trésore que la nature m'avait dévoilée. Pas même une ombre , j'étais au désespoire .

Mon chat pastelle, me regardait nerveux, il est vrais que je ne lui portais plus trop d'attention depuis ce jour où Lila fût emportée pas la bourrasque.

Le matou semblait me bouder comme si il pensait que j'avais laisser partir Petite Fleure, parfois le soir , je l'entendait miauler en colère, il sautait de chaise en table,faisant parfois tomber un verre ou un vase dans lequel je déposais les fleures que Lila aimait. Parfois , un papillon semblait vouloir ce poser dessus , alors je le chasser au cas ou Petite Fleur reviendrai. Dans l'espoir de revoir Lila, à la tombée de la nuit, je déposé sur le rebord de la fenêtre de coquilles saint jacques, l'une avec un peu d'eau pour qu'elle ce rafraichisse, l'autre garnie de petits fruits. Je déposé à côté une petite robe de fleur conçus le jour même avec des pétales de roses.

Hélas , au lendemain, les fruits n'avaient pas boujaient, ni même la petite robe qui finissait flétrie sur le rebord de la fenêtre.

Un soir le temps tournat à l'averse, je ne gardai plus l'espoir de revoir Lila, les feuilles des arbres se mirent a osciller de gauche à droite, suivant le sens du vent qui montait. Machinalement , j'ouvris la fenêtre de la cuisine et je déposait la lanterne, les deux coquilles et la petite robe de pétales.

Je me couchais dépité par la météo hostile tandis que dehors , le vent redoublait de plus belle.

Au petit matin pastelle, s'énervée dans la cuisine , miaulant et griffant la fenêtre . Le vent devait l'avoir empeché de dormir et elle voulait faire un petit tour.

je me levais molement pour lui ouvrir la fenêtre et me dirigeais dans la cuisine. je fis une caresse au chat puis saisi la poignée . Un coup d'oeil morose sur la lanterne encore allumée, puis sur les coquilles .

Un fruit semblait avoir été croquer, la robe de pétales était déplacé, mes yeux éberluer découvrirent le petit coprs endormie de Lila .

rapidement , je pris une boite d'allumette que je vidais fébrilement sur le meuble de la cuisine, saisi du coton et un bout de mouchoir que je glissais dans la boite .

J'ouvri la fenêtre et fit glissait ma Petite Fleure dans la paume de ma main. Je la déposais soigneusement ,afin qu'elle finisse de ce reposer. Elle avait à peut prêt huit ans et avait besoin de ce remettre sur pied . qu'a t-il pu lui arrivée pendant douze jours et commant l'aidait ?