2
Moins d'une minute de lecture
Je crains l’abandon, pas la solitude.
L’abandon blesse, parce qu’on a un jour été entouré.
La solitude apaise, parce qu’on a fait le choix de ne plus l’être.
Je crains l’abandon, pas la solitude.
L’abandon blesse, parce qu’on a un jour été entouré.
La solitude apaise, parce qu’on a fait le choix de ne plus l’être.
Annotations
Versions