Chapitre 39 – Lora.
### Lora ###
En me changeant dans le carré, je fus surprise de voir le mini-maillot de Corina, elle m’avoua qu’elle l’avait acheté récemment pour émoustiller Marc. Lorsqu’elle vit ma tenue, elle dut admettre que nous serions deux à exciter le capitaine. Ce top en tulle, je l’avais acheté lorsque j’étudiais encore en Suisse, mais je ne l’avais jamais exhibé !
Ça me rappelait mon petit ami de l’époque, il était médecin assistant du professeur de chirurgie et j’étais quasi certaine que notre flirt pourrait avoir un prolongement à la fin de mes études. On avait fait des projets pour cohabiter, je pouvais sans problème travailler à l’hôpital universitaire, jusqu’au jour où je découvris Éric dans son cabinet de consultation en pleine action ! Il était en train de ramoner une jeune étudiante qui cherchait ses faveurs depuis longtemps ! Elle était à poil sur sa table de consultation, les jambes écartées et croisées dans son dos, les cris qu’elle émit me montraient que ce n’était certainement pas la première fois ! Éric la besognait avec vigueur et elle criait de « ouiii » en rythme avec ses pénétrations.
Il se retourna à peine pour regarder la personne entrante (moi) et continua sa besogne. Je sortis sans un mot et le soir même je pris le train pour rentrer en Grèce.
Je ne l’ai plus jamais revu et je m’étais juré de ne plus me lier avec un homme ! Je me contentais de me masturber en m’imaginant avec des médecins ou infirmiers qui me côtoyaient et que je trouvais baisables peu m’importait qu’ils soient célibataires ou non. Cela me prenait de temps en temps dans ma chambre à l’hôpital et je m’étais juré que plus jamais je ne chercherai l’amour d’un homme ! Jusqu’à ce que Marc entrât dans ma vie ! Bien sûr il y avait Corina, mais cela ne me dérangea pas. Elle était mignonne et était très gentille, je compris qu’elle travaillait pour l’œuvre caritative de Marc mais au début de notre rencontre elle ne lui montra pas des signes d’affection. Ce n’est que plus tard que je compris qu’il y avait plus que de l’amitié entre eux. Cela m’était égal, je pouvais très bien avoir une relation avec ce couple, au moins je savais à quoi je m’exposerai en recherchant le sexe avec eux. Ces derniers soirs, dans mon lit solitaire je fantasmais sur eux, sans vraiment comprendre ce qui avait déclenché ce désir, à part mon long sevrage de sexe.
Corina me trouva attirante et je ne fus pas insensible à ses approches, Marc par contre ne se rebiffa pas lorsque je l’embrassai et me collai contre lui. J’étais stressé par le travail et le manque de sexe réveilla mon corps à son contact.
Alors, lorsque je vis que Corina portait un maillot minimaliste, je sus que cette balade en mer serait originale et que je devais profiter de l’occasion, même si ce n’était qu’une relation éphémère.
Je ne connaissais pas grand-chose de Marc, le groupe de médecins chirurgiens que j’avais rejoint lors de mon engagement connaissait Marc. Ils m’avaient informé qu’il s’occupait d’une œuvre qui finançait des interventions pour des gosses accidentés de la route. Comme il ne montrait pas de signes de richesse, je supposai qu’il était un employé ou un bénévole de cette organisation.
Ce matin en voyant le SUV puissant qu’il conduisit, je me disais qu’il devait avoir une belle rémunération pour rouler dans une bagnole pareille ! Son voilier était déjà ancien et n’était pas tape-à-l’œil. Par contre, je savais par mes collègues de l’hôpital qu’un emplacement dans la marina n’était pas à la portée d’un citoyen lambda.
Je ne me posai pas d’autres questions en remontant sur le pont, mais je vis dans les yeux de Marc, attentif à sortir le bateau de la marina, qu’il avait flashé sur ma tenue ! Puis lorsque Corina se permit de caresser ouvertement le sexe gonflé de Marc en passant sur le tissu de son maillot, je compris que cette balade serait plus qu’amusante !
Corina, me complimenta à propos de mes seins et très rapidement nous étions comme deux adolescentes à se toucher sans que cela ne gêne Marc, toujours debout surveillant le trafic des bateaux en approche du port du Pirée. Je mouillais mon string à la vue de la bosse de son maillot et mon envie de la toucher alla en croissant.
Lorsque enfin il se rassit, je mis immédiatement ma main dans son maillot pour constater que Marc bandait sérieusement ! C’est bon que Corina jouait avec mes seins et quelques doigts dans mon vagin, sinon j’aurai baissé le maillot de Marc pour aspirer sa bite !
Je gardai ma main ferme sur son engin, avec un peu d’imagination je pus sentir ses pulsations cardiaques comme si je tenais son poignet !
– Lora, il faudra me donner un peu d’air car on va virer de bord, me dit Marc.
Comme je n’avais pas beaucoup de notions de voile, je lâchai à regret ma prise, tout comme Corina qui surveilla le passage du génois sur l’autre bord.
Le virement se fit sans histoire, les deux équipiers étaient synchronisés et le bateau reprit sa vitesse sur l’autre bord.
Corina nous donna quelques sandwiches qui furent avalés sans délai accompagnés d’un petit vin blanc qui me donna un peu de tournis car je n’avais plus bu d’alcool depuis fort longtemps.
Je voulus reprendre ma prise mais Marc me demanda grâce sous peine de saloper son maillot.
– Lora, je suis désolé mais je voudrais me réserver pour tout à l’heure. Ici dans la baie, il y a trop de monde et je n’aime pas être observé avec des jumelles et encore moins avec de téléobjectifs !
– Je comprends, Marc mais je suis en transe, regarde je mouille le banc, tellement j’ai envie de baiser avec vous deux !
– Un peu de patience Lora, le vent va tomber et on va retourner à la marina. Les filles, n’oubliez pas de vous rhabiller avant que le préposé de la marina ne fasse un arrêt de cœur, on a autre chose à faire que de ranimer ce garçon !
***
### Marc ###
Corina et Lora descendirent dans le carré pour se rhabiller, mais j’eus le temps d’apercevoir le câlin passionné entre les filles nues avant de remonter et m’aider à l’accostage. Nous reprîmes place dans la voiture que j’avais laissée à côté de l’emplacement du Zéphyr et je plongeai dans l’entrée du garage souterrain de l’autre côté de la rue.
Ce n’est qu’une fois la porte de l’appartement franchie que Lora se défoula ! Sa petite robe légère tomba au sol et c’est totalement nue qu’elle s’agrippa à Corina et moi en disant :
– Je ne peux plus attendre ! faites-moi jouir ! Marc et Corina, je ferai tout ce que vous voudrez mais je veux du sexe !
– Alors, Lora commence par déshabiller Corina et puis tu t’agenouilleras dans le divan pour qu’on puisse profiter de toi ! dis-je.
Elle fit ce que je lui demandai et sur ce temps, je m’étais débarrassé de mes vêtements. Corina se coucha sous Lora pour qu’elle puisse la lécher pendant que j’enfilai un préservatif et entrai sans problème dans son antre !
Je la pénétrai en douceur mais Lora fut quand même surprise, je la trouvai très étroite, sans doute par manque d’habitude.
– Oh, Marc, j’ai rêvé de ce moment depuis si longtemps cria-t-elle dans un premier orgasme totalement inattendu. Continue Marc, ce n’est rien, ce n’est qu’une jouissance parce que je n’ai plus baisé depuis si longtemps !
Corina ne resta pas inactive et insinua sa langue contre ma verge dans son vagin tout en caressant mes testicules. Ce fut rapide pour Lora et moi, elle cria doucement durant ce nouvel orgasme pendant que je tirai ma salve libératrice.
Sans attendre la fin des vibrations Corina souleva Lora pour l’inviter à lui donner son plaisir. Lora compris ce que Corina voulut et je pus admirer un tête-bêche des deux filles pendant de longues minutes avant qu’elles vibrassent de concert sans un cri. Ce spectacle avait ranimé mon engin et je me joignis à la fête.
Corina se redressa pour me faire une fellation mais ne put achever sa besogne car Lora avait repris le relais et elle recueillit une éjaculation plus calme que la première mais suffisante pour mon plaisir et le sien. Nous restâmes un bon moment pour récupérer puis Lora vint se mettre dans mes bras.
– Merci Marc, mais j’en veux encore !
– Pas de problème, tu restes avec nous ce soir, je te reconduirai demain à l’hôpital.
– En attendant dit Corina, il serait peut-être temps qu’on fasse un peu connaissance.
– Moi, dit Lora, c’est assez simple, j’ai 28 ans, presque 29, j’ai étudié la médecine en Suisse, mon professeur titulaire de chirurgie est le chirurgien qui a opéré Rina. Je suis revenu en Grèce après une déception sentimentale dont j’ai mis un certain temps à me remettre. Je suis célibataire et j’ai l’intention de le rester. J’adore mon boulot, même si ce n’est pas toujours aisé, les opérations se suivent à un rythme effréné et les moments de détente sont plutôt rares. Aujourd’hui c’est la première fois cette année que j’ai pris un jour de repos.
– Tu as encore tes parents ? demandais-je.
– Oui, ils vivent dans le Péloponnèse à Tolo, où ils exploitent une oliveraie et un vignoble. C’est grâce à leur travail complété par une bourse d’études que j’ai pu étudier.
– Donc tu n’es pas rentré chez toi depuis longtemps ?
– Oh non, je leur téléphone souvent mais je ne les ai pas vus depuis l’an passé. Et toi Corina, tu parles très bien le grec mais je suppose que tu es anglaise ?
– Oui Lora, j’ai 27 ans, je suis diplômé traductrice / interprète anglais/grec et traductrice russe/anglais. J’habite depuis quelques années à Athènes où je travaille des traductions en grec et récemment en russe. Mes parents vivent en Angleterre et ils viennent régulièrement me voir ici à Athènes. J’ai eu une relation avec un grec qui s’est très mal terminée. Je fais de la plongée sous-marine et de la voile dans un club où j’ai rencontré Marc il y a plus d’un an. Mais nous ne vivons pas encore ensemble. Marc m’a donné un an pour me décider. Je suis bénévole dans la Fondation que Marc gère au bénéfice des enfants victimes des accidents de la route.
– Voilà, en ce qui me concerne, j’ai 28 ans, j’ai la double nationalité américaine et française, je me suis établi en Grèce depuis un peu plus de trois ans. Mes parents sont décédés dans un accident d’hélicoptère il y a quelques années. Je suis divorcé après un mariage totalement raté, mon épouse ne se satisfaisait pas d’une relation monogamique et j’appris rapidement qu’elle était nymphomane. Je voyage beaucoup pour la Fondation qui est active aux États-Unis et en Europe. Je vis une vie privée discrète, en dehors de l’activité de la Fondation. J’organise des réunions de bienfaisance pour collecter des fonds ce qui permet de financer les soins aux enfants. Je cherche à développer l’activité en Europe en installant le centre ici à Athènes. Je n’habite ici dans la résidence que depuis un an, je croyais que ce serait temporaire mais depuis que j’ai trouvé un emplacement pour le Zéphyr ici, je compte m’organiser un peu mieux et prendre un appartement plus grand dans cet immeuble.
– Marc, on mange ici ce soir je suppose, demanda Corina.
– Oh oui, dis-je, il faudra commander le repas. Je dois te préciser Lora qu’un journaliste en mal de copie m’a surpris déjà deux fois en compagnie de Corina à la sortie d’un restaurant et sur le parking de l’hôpital et je laisse passer un peu le temps avant de refaire la page people des journaux. Je te demanderai d’être discrète si un jour, peu probable on t’interroge à mon propos.
– Tu es célèbre ? demanda Lora.
– Non, mais depuis l’accident de mes parents, j’ai eu droit à leur attention. Jusqu’à présent, je ne suis pas encore leur objectif, mais cela changera sans doute en septembre lors de la soirée caritative qui réunira sans doute beaucoup de personnes fortunées.
– Marc, je ne voudrais pas t’interrompre mais tu as récupéré et Corina et moi on est prêtes à profiter de ton gréement pour employer un terme de navigation et je veux jouir encore ce soir et cette nuit !
– Mais Lora, j’espère que ce ne sera pas une occasion unique ! Je voudrais d’abord que vous m’échauffiez un peu entre filles. J’adore le spectacle érotique des rapports saphiques !
– Tu as des préférences ? demanda Corina.
– Non mais tout à l’heure lorsque vous étiez descendues dans le carré pour vous rhabiller, j’ai entraperçu une étreinte entre vous qui m’a laissé sur ma faim. Ce serait un bon début ! Puis j’ai adoré sentir la langue de Corina pendant que je te pénétrais, on pourrait changer de rôle !
Mais Corina avait une autre idée en tête. Lora était toujours nue dans mes bras et Corina vint tout contre en passant ses seins contre ceux de la femme que je tenais. Au bout de quelques minutes les tétons de Lora s’érigèrent et Corina se déchaîna. Elle prit le corps de Lora en l’extrayant de mes bras pour la prendre en ciseau. Les jambes de Lora furent emprisonnées, les intimités serrées l’une contre l’autre. Je ne voulus pas rester inactif et tout en serrant les seins de la doctoresse, je parvins à la pénétrer entre ses fesses. J’atteignis son vagin trempé et je pus la défoncer tout en douceur. La position était un peu acrobatique et je dus me retirer la bite dressée. Cela ne plut pas à Lora qui abandonna l’étreinte de Corina pour m’escalader à califourchon et se donner toute la puissance de son rapport. Je ne pus me retenir devant cet assaut. Mais je n’avais pas de condom et voulus me retirer.
– Laisse-toi aller Marc, je prends la pilule ! J’ai envie de sentir ton sperme gicler dans mon vagin !
Corina glissa sa main entre nos deux corps pour atteindre son clitoris et le massa avec énergie. Lora finit dans une explosion qui donna une immense vibration de son vagin et provoqua mon éjaculation.
Corina souleva Lora pour insérer sa langue à l’endroit où quelques secondes avant j’avais déversé mon jus.
– Oh, c’est délicieux, dit-elle, un cocktail de cyprine et de sperme ! c’est une première pour moi.
– Continue Corina, cria Lora, je sens une deuxième vague !
Bien sûr, elle continua et je vis l’expulsion du contenu de son vagin en partie absorbé dans la bouche de mon équipière. Tout le corps de Lora vibra pendant de longues minutes, puis elle se détendit en s’accrochant à mon torse.
– Merci Corina, laisse-moi respirer un peu ! Je ne m’attendais pas à une telle puissance de mon orgasme !
– Je vais commander un mezze pour trois et de la moussaka ou de souvlakis ?
Les filles me répondirent que le mezze leur suffisait, je remis un short et sortis de la chambre pour accueillir le traiteur.
Pour le repas, Lora remit juste son top transparent et Corina un t-shirt sorti de ma réserve. Lora tout en mangeant regardait attentivement mon short.
– Je rêve, tu bandes à nouveau ? demanda-t-elle.
– T’inquiète dit Corina en riant, Marc bande dès qu’il voit des seins.
– On fait quoi dans ce cas ? demanda Lora.
– Mais Lora, c’est toi la médecin ! dit Corina, tu dois quand même savoir ?
– D’accord, mais je vais le laisser terminer son repas, dit-elle, je trouve agréable de le voir bander ! Lorsqu’il sera bien dur, je crois qu’on trouvera un remède, n’est-ce pas Corina ?
### Lora ###
Pendant le repas, je vis que la bosse de Marc dans son short devint de plus en plus imposante, mais je proposai d’attendre qu’il ait fini de manger.
Corina, suivant mon regard, passa une main sensuelle sur mes seins qui réagirent au quart de tour.
– Corina, tu veux que j’enlève mon top ?
– Oui Lora, regarde comme Marc te reluque ! Son appétit pour la nourriture s’est changé en désir de sexe ! Viens Marc, retournons dans le lit !
Dans la chambre Corina abaissât son short et je vis son engin dressé dont le gland violacé dépassait largement le prépuce. Je trouvai cette vue irrésistible et de ma main je l’approchai de ma bouche. Corina rejoignit mon geste et nous fûmes deux à le lécher et le sucer.
Marc demanda d’y aller en douceur sous peine d’éjaculer précocement, à l’entendre, il voulait un plaisir lent. Je me souvins alors qu’il aimait le spectacle lesbien et je me tournai vers les seins de Corina qui tenait toujours son membre. Je pris ses seins dans mes mains pour les soulever le plus possible en massant ses aréoles pour faire jaillir ses tétons puis je les mis en bouche suçant énergiquement comme si du lait allait couler sous l’effet de ma succion. Corina ne resta pas insensible à cette manœuvre et cria son plaisir.
Elle lâcha sa prise pour encercler mes seins et pincer fortement la zone des aréoles. Marc profita que son membre fut libéré pour l’enfoncer violemment entre les fesses de Corina. Je ne pus voir où il avait planté son engin mais l’effet dans le corps de Corina fut visible et audible ! Corina émit un râle puissant et demanda à Marc de continuer son pilonnage. Tout le corps de Corina fut pris d’un tremblement violent qui la rejetait en arrière portant sa main à son intimité comme pour arrêter l’excitation à son vagin.
Je repoussai Marc pour qu’il libère son gourdin ce qui me permit de le présenter à mon antre. Marc comprit l’invite et me pénétra en force. Ce fut trop fort et je crus perdre connaissance tellement mon corps fut pris d’un orgasme inhabituel ! Ça faisait des siècles qu’un homme ne m’avait fait jouir ainsi. Marc continua ses mouvements sans atteindre son sommet de plaisir et se retira lorsque je le suppliai de me laisser récupérer.
Corina et moi étions hors d’haleine, mais j’eus pitié de Marc qui bandait toujours et le masturbai jusqu’à ce que son sperme jaillisse sur nos corps et les draps. Je n’eus plus la force d’essayer de récupérer son nectar dans ma bouche, mais tins fermement son engin jusqu’à ce que je ne sentisse plus de vibrations. Marc nous serra dans ses bras en enfouit sa tête entre nos seins, reprenant lentement une respiration apaisée. Je sentis la main de Corina qui rejoignit la mienne pour caresser la verge de son homme, mais Marc était comblé et son sexe resta insensible aux caresses.
Finalement dans l’espoir de le ranimer, je pris son sexe en bouche mais rien ne se produisit avant de longues minutes. Puis lentement je sentis un peu de gonflement ce qui m’encouragea à continuer le massage avec ma langue. Marc prit ma tête entre ses mains pour me montrer son plaisir. Corina ne resta pas passive pendant ce temps et enfonça ses doigts dans mon intimité et mon orifice anal. Ce double massage fit son effet et au bout de quelques minutes je dus abandonner le massage lingual de Marc car mon corps abdiqua dans un nouvel orgasme. Je crus que cette fois le jeu de sexe était abouti, sauf que Marc me pénétra à nouveau mais sans bouger alors qu’il eut atteint ma profondeur.
Corina, comblée, se mit face à moi pour embrasser mes seins et sucer mes seins comme je lui avais fait quelques minutes avant. Une nouvelle vague de désir m’assaillit et je sentis mes muscles pelviens resserrer la verge de Marc.
Je me réveillai pendant la nuit avec la sensation inhabituelle de sentir la verge de Marc toujours enfoncée dans mon vagin. Je ne voulus pas le réveiller et oscillai lentement mon corps pour me donner du plaisir sur son gourdin. Mais la fatigue me submergea et je me rendormis heureuse de ce contact.
NDA : Le reste de cette joute sera pour l’épisode suivant, désolé pour vos petites culottes !
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