Chapitre 48 -  Première sélection - Installation de l’appartement  de Lora

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### Lora ###

Ce matin, je me réveillai dans les bras de Marc, comme j’étais nue, il put me toucher en toute liberté, mes seins étaient emprisonnés dans ses mains. Je n’osai pas bouger, croyant Marc et Corina encore endormis, mais très rapidement je perçus des mouvements près de mes fesses ! C’était Corina qui câlinait la verge de Marc, mon maître, elle profita que sa bite était en partie abritée dans le pli pour pousser son gland contre mon clito.

Le contact fut très doux mais Marc ne voulut pas prolonger et déclara qu’il était temps de se lever. Corina alla dans la cuisine pendant que Marc m’entraîna sous la douche.

– Lave-moi, Lora !

Je le fis avec soin, j’eus du mal à nettoyer sa verge érigée car je ne parvins pas à dégager entièrement son gland. Voyant mon problème, il prit ma main pour pousser à fond son prépuce en arrière jusqu’à la résistance maximale du frein.

– Ce n’est pas douloureux ainsi ? demandais-je.

– Non, Lora, c’est même très excitant !

– Je suis ta servante Marc, tu veux un massage ?

– Non, pas ce matin. Tu as l’autorisation de t’habiller ce matin. Nous allons nous rendre dans les bureaux de la Fondation où nous allons rechercher des candidats pour l’équipe médicale. Mes associés ont déjà déniché quelques personnes actives dans d’autres hôpitaux qui ont publié leur CV sur un site de personnel médical intérimaire dans l’espoir de changer d’emploi. Puis nous allons aussi essayer de retrouver tes deux condisciples. Tu nous donneras toutes les informations qui nous permettront de les retrouver.

– D’accord Marc, je vais aussi appeler mes parents pour demander quelques meubles pour équiper mon appartement. Ils ont des tas de meubles entassés dans une annexe. Mon père peut les expédier avec un de ses camions, Je choisirai ce qui me convient.

***

Marc nous conduisit au centre d’Athènes vers l’immeuble abritant ses bureaux, la circulation était raisonnable ce matin et nous fûmes rapidement sur place d’autant plus que Marc avait un accès au parking dans le bâtiment.

À la réception, une charmante employée nous accueillit et nous conduisit dans une grande salle de réunion luxueuse, équipée de plusieurs ordinateurs et d’un grand écran mural connecté. La fille dévorait Marc des yeux et je me demandai si elle avait déjà couché avec Marc !

Marc nous présenta un des associés qui nous attendait, je lui donnai les renseignements que je me rappelai et quelques minutes plus tard je vis sur un écran accroché au mur les photos de mes deux anciens condisciples. Je fus ébahie par la vitesse d’obtention des renseignements mais Marc me rassura en précisant que la société disposait de moteurs de recherche très particuliers non accessibles au grand public et connectés à de centres de données combinant les informations officielles et celles des bureaux d’investigation.

Les renseignements étaient extrêmement complets, concernant les données officielles et même des renseignements très personnels. Comme on avait même leur numéro de portable Marc me suggéra de les appeler.

Le premier que j’appelai s’appelait Andreas, il se souvint de moi, demanda de mes nouvelles, le lui expliqua que je recherchais des médecins pour former une équipe à Athènes. Andreas avait obtenu un poste de chirurgie en Suisse, s’était installé et n’était pas intéressé à revenir en Grèce, mais pas contre, me renseigna une ancienne amie grecque qui était sans emploi suite à la fermeture de son hôpital et qui se trouvait à Athènes. Il me donna ses coordonnées et je vis que Marc rechercha instantanément ses coordonnées.

L’écran mural afficha la photo d’une belle fille, que j’évaluais de mon âge, cheveux bruns, yeux marron, c’était une photo d’identité et donc aucune vue sur son corps.

Le moteur de recherche confirma qu’elle était diplômée de Lausanne mais était sans emploi depuis quelques semaines. Je l’appelai immédiatement et elle décrocha en s’annonçant.

– Olympe ***, à qui ai-je l’honneur ?

– Bonjour, je m’appelle Lora, je suis médecin-conseil de la Fondation. Nous avons reçu vos coordonnées par Andreas, qui nous a informés que vous seriez intéressée par un emploi de chirurgienne ici à Athènes.

– Oui, bien sûr ! Je suis disponible.

– Pouvez-vous nous rencontrer aujourd’hui ? C’est assez urgent !

Je lui communiquai l’adresse des bureaux de la Fondation et elle confirma qu’elle pouvait être là dans la demi-heure.

En attendant, je contactai Lysandre qui lui aussi se souvenait de moi, il travaillait à Thessalonique mais n’était pas disposé à se délocaliser. À ma demande il ne connaissait personne qu’il put nous recommander.

L’associé continua ses recherches sur les sites des bureaux de personnel intérimaire médical et nous présenta encore quelques infirmières hautement qualifiées, quelques-unes sans emploi, victimes de la fermeture du même hôpital qu’Olympe.

Marc trouva cela très intéressant, car cela nous permettrait de recruter éventuellement des personnes ayant travaillé ensemble.

Olympe arriva entre-temps, elle était en tenue très décontractée mais ce qui me plut de prime abord, c’est que sa poitrine, plus volumineuse que la mienne était libre sous son t-shirt. Son pantalon jean était déchiré à plusieurs endroits mais cela ne choqua personne.

Son expérience était très intéressante car elle avait travaillé en chirurgie trauma pendant quelques années et pouvait nous produire des références de ses anciens employeurs.

Elle était célibataire sans attaches et ne logeait pas loin, chez ses parents. Olympe nous donna aussi les noms d’anciens collègues et infirmières qui se trouvaient sans emploi, la plupart postulaient sur le site déjà consulté. Elle nous indiqua aussi quelques personnes à éviter et d’autres qu’elle recommandait chaudement.

Marc, voulut aussi connaître la raison de la fermeture de son ancien employeur. D’après Olympe, il y avait eu fraude à la Sécurité sociale par les responsables administratifs. Marc posa encore des questions personnelles et nous apprîmes ainsi qu’elle faisait régulièrement de la voile avec ses parents.

Le physique d’Olympe m’attirait vraiment et je lui proposais de la revoir dans quelques jours en espérant que Marc et Corina retiennent sa candidature.

Corina convoqua la série de personnes recommandées par Olympe pour le lendemain.

Marc proposa de rentrer à son appartement.

### Marc ###

Olympe m’avait plu dès le premier contact, sa tenue décontractée, ses seins dont l’aréole se voyait à travers le mince tissu de son t-shirt réveillèrent mon entrejambe ! Elle sembla très énergique et son visage souriant était attachant. Un élément secondaire m’intéressa : elle adorait la voile ! Je me dis que cela serait positif pour souder l’équipe de l’amener sur le Zéphyr !

Après son départ, la brève discussion avec Corina et Lora me convainc qu’elle était intéressante et que sa candidature était retenue.

Nous fîmes le point ; nous avions la remplaçante de Lora et demain nous avions convoqué trois infirmières salle d’opération et un anesthésiste. C’était un bon début, Lora estima que si on pouvait engager deux infirmières et l’anesthésiste on aurait une équipe minimale mais suffisante pour étoffer l’hôpital pédiatrique.

Lora reçut un appel de son père, qui lui signala que le camion chargé des meubles était en route, nous décidâmes donc de l’attendre au nouveau logement de Lora. Elle était toute joyeuse de retrouver une partie des meubles familiaux et espéra qu’il n’y aurait pas trop de problèmes pour les installer.

À l’arrivée du camion je fus soulagé de constater que Kostas, le père de Lora, avait prévu deux hommes en plus du chauffeur pour décharger le mobilier. Au premier examen, les meubles étaient anciens certes, mais en excellent état, les armoires démontées entraient sans problème dans l’ascenseur et pour le lit démonté, il faillait emprunter l’escalier pour les longerons et le sommier.

Dafni, en maman prévoyante, avait joint au chargement plusieurs séries de draps, du linge de maison et un ensemble d’assiettes et couverts pour l’usage courant. La cuisine étant équipée, Lora ne prit qu’un congélateur supplémentaire qu’on pourrait brancher dans un jour ou deux.

Les hommes repartirent avec un bon pourboire en souhaitant le succès à Lora pour son appartement.

– Je suppose qu’on reste ici pour la nuit ? demandai-je.

– Oh oui, Marc, ce serait super ! dit Lora.

– D’accord dit Corina, je vais juste chercher quelques affaires de mon appart pour nous permettre de loger confortablement ce soir.

– Très bien dis-je, je commande le repas de ce soir, et je fais un saut chez moi pour amener un peu d’équipement électronique pour nous permettre de travailler ce soir et puis d’inaugurer le lit de Lora !

***

Mon aller-retour fut juste bien minuté car mon traiteur arriva avec la nourriture pour le soir et pour le petit-déjeuner du lendemain. J’avais indiqué la nouvelle adresse comme un lieu de livraison à prévoir dans ma liste de lieux de livraisons à retenir.

Le traiteur à peine parti, Corina et Lora se changèrent, Corina se mit en nuisette transparente et Lora était nue à l’exception d’un string blanc. Elle obéit sans problème à nos conventions et à son statut d’esclave.

J’avais pris de quoi me changer et mis un polo et un short boxer. Corina mit de la musique douce d’ambiance et Lora dressa la table pour le repas. Elle me sembla moins timide à se promener nue, était-ce parce qu’elle se trouvait dans son nouvel environnement ?

Je ne me lassais pas de la regarder, l’attention de Corina était également concentrée sur le corps de Lora. En s’approchant, elle glissa ses paumes sur les seins de son amie, provoquant des frissons très puissants.

– Tu veux mes caresses avant ou après le repas ? dit Corina.

– Ce n’est pas moi qui décide, répondit-elle, je suis votre servante, mon corps est à votre bon plaisir.

– Très bien, répliqua Corina, je ne suis pas encore assez excitée, mais Marc mérite une douceur comme apéritif ! Enlève son boxer, donne-lui un aperçu de tes progrès pour le satisfaire.

J’étais assis dans un grand divan moelleux, qui n’avait pas souffert du long stockage dans la remise de ses parents. Elle s’approcha et défit mon short découvrant ainsi mon engin qui sortit en pleine érection. Corina me rejoignit en se lovant dans mes bras, ordonnant à Lora de décalotter mon gland et de le mettre en bouche.

– Plus profond ! dit-elle, je veux que son pénis s’enfonce dans ta gorge ! Qu’il sente ta glotte autour de son gland !

Lora enfonça ma verge aussi loin qu’elle put, mais dut renoncer car elle eut un spasme de rejet.

– Non Corina, dit-elle, je ne peux pas, j’ai une envie de vomir si je pousse aussi loin !

– Ce n’est pas grave, dis-je, va seulement jusqu’où tu te sens confortable, ce n’est pas une punition !

Elle me regarda reconnaissante, elle prit mes testicules en main et les massa au rythme de sa bouche. Ce massage délicat fit monter l’envie d’éjaculer ; mais je ne voulais pas encore.

– Merci Lora, mais c’est trop rapide, vient m’embrasser !

Elle était vraiment docile, et pendant qu’elle me présenta sa bouche, je lui pris ses seins pour titiller ses tétons provoquant un long gémissement de sa part.

Corina vint dans son dos et glissa sa main entre les fesses de Lora, qui eut un sursaut. Je supposai que la main de Lora inspecta son intimité pour connaître l’intensité de son excitation.

– C’est bien Lora, tu progresses, tourne-toi vers moi et viens embrasser mes seins ! dit Corina.

En se tournant, elle exposa son postérieur à ma verge et je la glissai doucement dans l’espace sans la pénétrer mais de ma main je partis à l’exploration de son clitoris. Son bijou était dur, comme sujet à une érection, dépassant légèrement ses lèvres intimes. Son intimité était à peine mouillée et donc je salivai sur mes doigts pour mieux lubrifier l’entrée de son vagin. Elle soupira d’aise tout en suçant les seins de Corina.

Mes caresses dans son vagin même peu lubrifié eurent l’effet attendu et Lora gémit sous l’orgasme. Son corps vibra longuement puis elle approcha sa bouche du vagin de Corina. Celle-ci était déjà fort émoustillée et il ne fallut que quelques minutes pour qu’elle atteigne à son tour le nirvana. Corina demanda à Lora de continuer tant que son bassin vibra et puis se tourna vers moi.

– Lora, donnons maintenant le plaisir que Marc attend depuis tout à l’heure.

Je vis deux bouches se précipiter sur mon gourdin et mes testicules. L’image des deux femmes m’octroyant un plaisir ne me permit pas de résister et mon corps se rendit. Le sperme gicla sur les visages des femmes à mes genoux. Leurs bouches gourmandes récupérèrent en riant le flot qui s’était étalé sur leurs joues et avait coulé sur leur poitrine.

– Merci, les filles, mangeons maintenant, demain on a encore quelques interviews pour compléter l’équipe et ensuite je voudrais qu’on prépare une sortie en mer ! Je voudrais en plus de vous deux, inviter Olympe et Sofia. Olympe pourra nous montrer ses qualités d’équipière et Sofia pourra nous faire jouir !

NDA : Oui, Marc veut retourner en mer ! Un équipage de femmes, quel rêve !

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