Chapitre 65. Essai de l’annexe. Orgasmes multiples.
### Marc ###
Barrer l’Eileen était un véritable plaisir, dommage qu’il n’y avait pas de vent, mais le moteur était extrêmement discret ! Dans le cockpit les deux pilotes et Corina profitaient du soleil et les chirurgiennes s’étaient isolées à l’avant.
J’avais observé leur manège, elles avaient migré après qu’Olympe avait enduit les épaules et les seins de Lora de crème. Je revoyais en souvenir, la nuit à l’hôtel de Tolo avant de rejoindre les parents de Lora, ses seins étaient dressés pareillement ! Les deux filles en cohabitant, s’étaient trouvées plus que des sympathies mutuelles.
De mon poste de barreur, j’avais une vue parfaite sur l’avant du bateau, contrairement à celles couchées sur les banquettes du cockpit. Pendant un long moment je vis leur masturbation mutuelle et vis leurs visages se transformer sous l’orgasme. Quel spectacle ! Je ne pouvais pas rester ainsi ! Ma verge collée à mon ventre mais raide, le gland butait contre l’élastique de mon maillot. Mais, je ne pouvais pas me toucher devant les trois filles couchées à quelques mètres de moi !
Heureusement Olympe revint vers moi, sans doute comblée des caresses de Lora, Elle m’avait regardée droit dans les yeux pendant que Lora triturait son intimité et maintenant elle se rapprocha les yeux rivés sur mon sexe bloqué dans mon maillot.
Elle se mit devant moi, dos aux filles du cockpit.
– Marc, tu bandes comme un Dieu grec ! me dit-elle à voix basse. Tu veux que je te soulage ?
– Olympe, non je ne veux pas nous donner en spectacle érotique devant tout l’équipage.
– Marc ! cria Corina, on approche de midi, On va préparer le déjeuner, Bessie va m’aider on vous appellera lorsque le repas sera prêt !
– D’accord, dis-je, je vois une crique sablonneuse à tribord je m’approcherai pour jeter l’ancre. On devrait y être dans une grosse demi-heure !
Olympe jeta un coup d’œil vers Emily qui somnolait dans les coussins.
– Marc, personne ne nous regarde, tu veux que je te calme ?
– Je te signale que Lora nous observe et Emily pourrait se réveiller !
– Lora ne dira rien ! Emily pourra toujours nous rejoindre.
Olympe s’approcha, elle s’agenouilla devant moi et découvrit ma verge pour la mettre en bouche. Ses seins me semblaient gonflés et ses tétons dressés !
– Doucement Olympe ! ou je vais jouir tellement vous m’avez provoqué !
– Bien sûr, je veux juste que tu te décharges, dit-elle en interrompant la fellation.
Pas une minute plus tard elle recueillit un jet de sperme puissant ! Heureusement je tenais la roue sinon je me serais écroulé. Ce fut rapide, juste que Lora avait tout vu et me regarda avec des yeux écarquillés et une main devant sa bouche ouverte. Elle aussi était tendue, pour preuve sa main serrée entre ses cuisses !
Olympe remit le maillot en place sur mon gourdin qui avait débandé un peu.
– Voilà, tu te sens mieux ? ça m’a excité aussi mais Lora me calmera durant la sieste.
– Non, cela n’a pas calmé mon esprit, d’ailleurs ma verge reprend déjà vie et je sens du sperme qui s’écoule encore dans mon maillot !
Nous étions suffisamment à l’abri dans la baie et je commandai le déverrouillage de l’ancre qui s’accrocha rapidement et immobilisa totalement le bateau.
C’était l’occasion d’essayer l’annexe, je déverrouillai le panneau arrière, qui se mit à l’horizontale. J’installai l’échelle de bain.
– Pour celles qui désirent nager un peu, vous pouvez plonger et remonter par la plage de bain.
Je sortis l’annexe, la glissai dans l’eau.
– Tu veux essayer l’annexe ? demanda Olympe.
– Oui, tu viens avec moi ?
– Volontiers !
Le moteur démarra à la première sollicitation, Olympe s’assit dans le fond et je donnai des gaz pour vérifier la vitesse de l’annexe. Très rapidement nous étions dans la baie voisine en dehors de la vue du voilier.
– Marc, ici aussi il y a une belle plage, arrête l’annexe s’il te plaît, tu t’es plaint tout à l’heure que tu n’étais pas satisfait. Alors viens !
Elle défit son slip de bain et écarta ses cuisses, puis abaissa mon maillot. Je vis que la cyprine coulait entre ses lèvres intimes.
– Oui effectivement, ta verge est toujours dressée ! Prends-moi, et fait moi jouir !
Je la pénétrai sans hésiter, et au bout d’une dizaine de va et viens, j’éjaculai en la regardant dans les yeux. Elle soutint mon regard, mais comme je continuai de la pilonner, son regard se voila et elle gémit sa jouissance.
– Marc, merci ! J’en avais envie depuis hier ! Mais ne dit rien, ta jouissance fut vraiment abondante, j’ai du sperme qui coule sur mes cuisses !
– Olympe, il y a une solution radicale !
Je la soulevai et je sautai à l’eau en la serrant dans mes bras.
– Salaud ! dit-elle en émergeant. Tu me dois une compensation !
– Oui, je suis d’accord, mais ce sera plus tard, en privé !
– Et maintenant comment vais-je remonter sur l’annexe ?
– Ce n’est pas compliqué, je monte d’abord et regarde comment je grimpe à bord.
Comme Olympe était très sportive, elle imita mon mouvement et prit mon bras pour se hisser à bord. Elle me poussa dans le fond du bateau et se coucha sur moi.
– Merci Marc, en fait, c’était une bonne idée pour nous nettoyer, mais tu aurais pu me prévenir !
– Oui Olympe, mais j’adore jeter les filles dans l’eau et je n’ai pas résisté !
– Embrasse-moi, je te pardonne parce que tu m’as donné la jouissance. Mais il faudra remettre cela !
– D’accord, mais un autre jour ! On rentre avant que Corina ou les autres lancent une alerte !
Nous retournâmes vers l’Eileen où Lora et Emily scrutaient l’horizon un peu inquiètes.
– Où étiez-vous ? demanda Emily.
– J’ai profité pour plonger dis-je, je voulais attraper des oursins mais c’était plus profond que je croyais.
– Et ensuite il m’a tiré dans l’eau ! cria Olympe. Mais il me le payera !
– Bien, je vais ranger l’annexe, mais je laisserai la plage de bain ouverte jusqu’à ce qu’on lève l’ancre, si quelqu’un désire nager.
– Ce soir on sera à Tolo ? demanda Lora.
– Oui, on ira manger au restaurant sur la plage tous ensemble avec tes parents.
Corina avait préparé le repas à l’intérieur, le carré était encore bien frais.
– Si vous voulez, je peux dresser la tente au-dessus du cockpit pour la suite du voyage.
– Oui répondit Corina, mais moi je vais prendre ma sieste dans la cabine et profiter de la climatisation.
– Nous aussi déclarèrent les pilotes, on n’a plus l’habitude de cette chaleur, d’autant plus qu’il n’y a vraiment pas un souffle de vent.
– D’accord, je vais monter la tente, si Lora et Olympe me donnent un coup de main !
– Certainement dit Lora. On pourra en profiter cet après-midi !
Ce fut plus facile que prévu ! Même si Lora me troubla à plusieurs reprises en me frôlant. Puis lorsque les tendeurs furent noués, je voulus m’étendre un peu sur les coussins du cockpit, mais Lora vint s’étendre contre moi !
– Alors ? petit cachottier ! Olympe m’a révélé la raison de votre escapade ! Je veux ma part !
– Mais, j’essaie de ne léser personne Lora !
– Si ! Les caresses d’Olympe ne me calment plus ! Marc, profitons que nous sommes seuls, Olympe est également descendue en cabine ! as-tu encore des réserves ? Ou est-ce qu’Olympe t’a épuisé ?
– Ta main sur mon maillot te donne la réponse ! Tu ne devras pas insister beaucoup !
### Lora ###
Sous les directives de Marc, la tente solaire fut installée sans trop de chipotages au-dessus du cockpit. Marc s’était étendu sur la banquette du cockpit et ferma les yeux. Je pris l’opportunité de défaire mon slip de bain avant de m’étendre à ses côtés. Marc ouvrit les yeux lorsque je mis ma main sur son maillot tendu. En même temps je frottais mes seins contre son torse musclé. Je lui fis comprendre qu’Olympe ne me donnait pas satisfaction alors qu’il était à proximité.
Marc remarqua que j’étais totalement nue et entama une caresse sensuelle de mes seins, puis une main descendit progressivement le long de mon flanc pour caresser mon pubis.
– Oh, Marc, descends encore un peu ta main ! dit-elle en se cambrant. Me désires-tu ?
– Bien sûr, tu as joué la salope avec Olympe sous mes yeux, Comme tu as pu le voir Olympe m’a déchargé dans sa bouche, puis nous avons baisé à l’abri des regards dans l’annexe. Mais cela n’a pas encore suffi à me calmer. Vos jeux saphiques sur le pont avant étaient toujours imprimés dans ma rétine !
– Ça t’excite toujours de voir des femmes se caresser ?
– Oui, surtout si au moins une fait partie de mon cercle !
– Donc toutes tes partenaires féminines sont lesbiennes ?
– Oui, plus ou moins, et j’avoue que les caresses que vous vous prodiguez me vont une montée de désir difficilement maîtrisable.
Marc caressa ma poitrine, groupant en une main les tétons de ses seins, pendant que l’autre s’aventura entre mes lèvres intimes ! Je criai de surprise, Marc était vraiment génial !
Il pencha sa tête entre mes cuisses pour me donner des bisous sur les faces intérieures de me cuisses, s’approchant progressivement de sa main qui fouilla l’entrée de mon vagin. Puis sa langue s’inséra à la place de ses doigts et toucha délicatement mon bijou !
– Oh Marc, ne t’arrête pas ! Je t’en supplie, continue ton jeu de langue et pince mes seins ! Je ne serai pas longue à jouir !
Je sentis la tension grimper en flèche et je fus submergée de violents spasmes pendant que Marc reçut une éjection de cyprine, qu’il suça avidement. Pendant quelques minutes j’étais l’ouest, réalisant à peine que je me trouvai sur la banquette du cockpit mes yeux perdus dans le tissu de la tente au-dessus de nous !
Marc se redressa pour m’embrasser et je pus goûter le restant de mon jus dans sa bouche.
– Tu aimes ? demandai-je.
– Oui, bien sûr ! J’adore boire le fruit de ton orgasme !
– Moi aussi mais maintenant je veux sentir ta verge au fond de mon vagin ! Je suis bien lubrifiée, ça devrait marcher ! Je t’en prie, profite que mon vagin est plein de mon jus ! Je n’aurai pas de douleurs.
Il me pénétra en douceur, sa crainte aujourd’hui n’était pas justifiée ! Sa verge coulissa parfaitement, les contractions de mon orgasme reprirent de plus belle et je dus maîtriser mes cris sous peine de réveiller tout l’équipage. Marc me pilonna sans discontinuer et mon orgasme monta à des sommets jamais atteints dans le passé. Finalement Marc capitula dans une éjaculation avec peu de sperme mais qui l’assommait pendant de longues minutes pendant lesquelles sa tête s’affaissa sur mes seins.
Je profitai pour inonder sa tête de baisers qui firent leur effet. Il reprit conscience et soupira.
– Lora, tu vas me tuer !
– Mais non Marc, je suis médecin, je ne te laisserai pas mourir dans ton orgasme !
– Oui, je t’en remercie mais prochainement je vais acquérir un défibrillateur automatique, ce sera j’espère un outil de survie qu’on ne devra jamais utiliser ! mais quand même plus efficace qu’un massage cardiaque.
– Marc, reste encore un peu couché, respire profondément pendant que je te rends ton maillot !
Je remis aussi mon slip de bain et je restai encore un peu éveillé pour surveiller son rythme cardiaque. Mais son cœur reprit un rythme normal et je m’endormis dans ses bras.
Plus tard dans l’après-midi ce fut Olympe qui me réveilla d’un baiser sur la joue.
– Ne dis rien Lora ! Je devine que Marc t’a tringlé en bonne et due forme !
– Oui, mon vagin était bien prêt, Marc m’a bien préparé, mais son cœur s’est affolé durant son orgasme ! Lorsqu’il se réveillera je ferai quand même un examen sommaire de son cœur.
– Oui, aujourd’hui c’était peut-être un peu de trop !
NDA : Oui, tant va la cruche à l’eau… Certains lecteurs/trices m’ont déjà mis en garde que le cœur de Marc ne résistera pas avec toutes ces femmes attirantes à bord !
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