### Marc ###

Le retour à l’appartement fut sage, Corina prit possession de ma chambre, les pilotes et les médecins s’isolèrent dans la deuxième et la troisième chambre. Comme promis, après le repas simple préparé par toutes les femmes ensemble, je m’isolai avec Corina qui se lova contre mon corps.

– Tu seras absent longtemps ? me dit-elle en caressant sensuellement ma poitrine et descendit sa main sur mon ventre.

– Je crois que je serai de retour dans trois semaines au plus tard. Le centre médical a planifié les examens sur une journée, puis nous allons dans le Péloponnèse pour inspecter la villa de mes parents. Ce n’est pas accessible directement en avion, il y a une longue route en voiture ou alors en hélico.

– Ce ne sera pas trop long, en attendant Marc, serre-moi dans tes bras ! Je sais que j’ai préféré jouer avec les chirurgiennes durant cette croisière, mais elles m’excitent !

– De toute façon, pendant mon absence tu pourras encore te défouler avec Lora et Olympe ! Elles adorent jouer avec toi !

Corina glissa sa main sur mon bas-ventre pour caresser ma verge, sans brusquerie, comme elle me faisait face, je sentis ses tétons pointer contre mon torse.

– Je ne vais pas te masturber, Marc ! Lora m’a fait part de ses inquiétudes concernant ton cœur, mais par contre caresse-moi et donne-moi des orgasmes jusqu’à ce que je sois rassasiée ! J’adore tes mains rugueuses par rapport à la délicatesse des femmes qui me caressent et puis n’hésite pas à insérer ton harpon entre mes cuisses pour remplir mon antre pendant que tu excites mon clitoris ! Oh Marc, oui j’adore cette sensation !

Comme convenu, je ne voulus pas la pilonner, ma verge bien dure dans son vagin lui procura la compensation du manque lors des plaisirs lesbiens et mes mains lui donnèrent plusieurs orgasmes successifs durant lesquels elle cria mon nom à plusieurs reprises ! Enfin comblée, elle se laissa glisser dans son sommeil tout en gardant mon engin caché dans son antre même s’il finit par débander légèrement.

Au matin elle me réveilla en massant doucement ma verge avec ses muscles pelviens. Sa cyprine était abondante et mon sexe coulissait aisément.

– Marc, donne-moi encore du plaisir, laisse-toi aller doucement, sans te fatiguer, mais donne-moi quand même ton jus ! J’adore sentir ton sperme dans mon vagin. Olympe prétend que tu peux modérer ton éjaculation sans dépasser la cote d’alerte de tes battements de cœur !

Bien sûr, je ne pouvais pas lui refuser ce plaisir, son massage sur ma verge qui coulissait calmement me donna des vibrations sur mon gland et au bout des longues minutes ma semence monta dans mon sexe pour être expulsé sans que mon cœur ne monte dans les tours.

Corina eut encore un dernier orgasme lorsqu’elle sentit mon fluide la pénétrer dans ses profondeurs.

– Oh, merci Marc, tu as réussi ! Ma main sur ton cou, me confirme que le rythme de ton cœur est resté modéré. Est-ce que tu as joui quand même ?

– Oui, mon chéri ! La montre à mon poignet me signale que je n’ai pas dépassé les 80 battements par minute. Lora ne m’en voudra pas !

Je me levais pour prendre ma douche, Corina me rejoignit pour me savonner entièrement tout en restant très sage lorsqu’elle manipula ma verge. Je vis néanmoins que sa poitrine se gonfla et que ses tétons pointaient dans les aréoles plus foncées qu’à l’ordinaire. Je me permis d’enfoncer mes doigts dans son vagin ce qui lui donna encore un petit orgasme !

En rejoignant la salle à manger, je vis que les pilotes et les médecins avaient déjà réchauffé les croissants et les chocolatines, l’odeur du café frais me mit en appétit.

Les embrassades furent intenses, Olympe me fit encore des nombreuses recommandations et de rappeler au médecin de lui envoyer les résultats des analyses. Corina me fit encore un gros câlin en serrant son ventre contre mon sexe.

– Je suis sûre qu’on va te trouver en bonne santé, la preuve : je sens ton bâton gonfler contre mon pubis !

Les formalités de départ furent plus compliquées que d’habitude, Le trafic aérien aux environs d’Athènes était sérieusement perturbé par les feux de forêt dans l’île de Eubée.

Bessie me signala par le système audio que nous allions devoir faire un grand détour pour éviter les nuages de l’incendie et le trafic des avions et hélicoptères mobilisés pour combattre le feu. Effectivement après le décollage, je vis au loin une immense colonne de fumée au-dessus de l’île. Je connaissais bien l’endroit pour avoir croisé au large de Karystos à l’extrême sud de l’île.

Emily dut voler avec une grande boucle vers l’ouest pour passer au-dessus de Lamia avant d’obliquer vers l’est. L’atterrissage à Volos fut encore retardé par l’importance des moyens de secours regroupés à l’aéroport habituellement très calme. Le transfert vers la voiture de location ne posa pas de problèmes et moins d’une heure plus tard nous étions dans le parking de l’hôpital.

À la réception la cardiologue avec laquelle j’avais rendez-vous fut avertie et elle vint me chercher. Bessie et Emily proposèrent de rester dans le salon attenant à l’entrée. La doctoresse Iona m’emmena à l’étage après avoir noté qu’elle tiendrait les pilotes informés de l’évolution de l’examen.

Je notai en la suivant qu’elle avait un corps svelte masqué par la blouse blanche traditionnelle du corps médical. En m’installant sur la table d’observation elle me fit un grand sourire et comme elle se pencha pour prendre mes constantes, je vis dans l’échancrure de sa blouse qu’elle ne portait pas de sous-vêtements m’exhibant une belle paire de seins !

Malgré le fait d’être à l’hôpital, mon engin réagit à l’information et mon pantalon montra le résultat d’une belle érection.

– Bonjour Marc, soyez détendu, ainsi vous connaissez ma collègue Lora ! Appelez-moi Iona, ce sera moins formel

– Oui, Iona, Lora travaille pour la fondation que je dirige. Nous nous occupons d’enfants blessés dont les parents ne peuvent subvenir aux soins. C’est elle qui m’a recommandé de subir un examen cardiologique.

– Oui, mais décrivez-moi les symptômes.

– C’est un peu délicat, mais après avoir fait l’amour avec elle, lors de l’orgasme j’ai eu comme un évanouissement et cela l’a inquiété.

– Vous êtes fort porté sur le sexe ? Je vois que vous avez une belle érection ! C’est moi qui cause ce phénomène ?

– Oui, Iona, la vue de votre poitrine me procure cette excitation

– À la bonne heure ! Je regarderai plus en détail pendant que je vous ausculterai. Déshabillez-vous entièrement.

Je vis ses yeux s’écarquiller lorsque j’enlevai mon boxer révélant mon sexe bien dressé. Mais elle ne fit aucun commentaire.

– L’examen préliminaire n’est pas très long, une partie consiste à examiner votre cœur au repos, la deuxième partie durant l’effort.

Je m’imaginais déjà devoir pédaler pendant une grosse demi-heure pendant que les électrodes branchées à divers endroits transmettraient des bips à l’appareillage d’enregistrement.

– Votre cœur est normal au repos, voyons maintenant ce que cela donne en activité !

Elle défit sa blouse, me donnant une vue directe sur sa poitrine ! Ses tétons pointaient au milieu de splendides aréoles foncées et elle saisit fermement ma verge !

– Nous allons simuler votre activité sexuelle ! Durant l’exercice, vous pouvez me toucher les seins ! Ce sera d’autant plus réaliste.

Ah, là j’étais vraiment étonné, comme elle se trouvait à côté de la table d’examen, elle commença la masturbation sans brutalité, pendant que j’effleurai le téton le plus proche. Au début ma verge réagissait à peine à la stimulation. Mais je trouvai que lever mon bras vers ses seins n’était pas très confortable. J’écartai donc les pans du bas de sa blouse pour rechercher le haut de ses cuisses. À ma surprise ma main arriva à son intimité directement accessible !

Comme elle ne réagissait pas, j’insérai un doigt dans sa fente tout humide. La seule réaction fut un petit gémissement et un large sourire. Ma verge prit une vigueur inattendue et j’activai davantage ma main sur son clitoris.

– Oui Marc, continue, encore, je constate que tu sais faire jouir les femmes, Lora te baise bien ?

– Oui, mais elle n’est pas la seule ! J’ai un petit groupe de collaboratrices qui me plaisent et qui se donnent corps et âme à me donner du plaisir.

Pendant ce temps, la machine enregistra des bips de plus en plus rapides !

– Iona, je vais jouir !

Elle pencha sa tête vers mon sexe et le mit en bouche pour aspirer mes fluides abondants, Je réalisai encore que les bips s’affolaient pendant que la doctoresse avala avec délectation mon sperme et je perdis connaissance.

J’émergeai plus tard constatant que la cardiologue m’examinait avec le stéthoscope dans les oreilles.

– Oui, Marc, la simulation est un succès, mais je vais te garder quelques jours, car j’ai besoin d’examens complémentaires et approfondis ! Tes pilotes peuvent loger dans l’aile VIP pendant ce temps.

NDA : Oui, voilà un examen assez inattendu, la suite des examens au prochain épisode.

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