Chapitre 73. Vengeance de Athéna
### Athéna ###
Mon vagin était encore irrité, le préservatif de l’hôpital n’était vraiment pas top ! Conclusion : je voulais la bouche de Iona et surtout sa langue pour calmer mon désir.
Oui, Marc était une référence en matière de sexe, mais je rêvais déjà de m’étendre sur son voilier, nue, jambes écartées, me laissant envahir par son chibre. J’avais vu sur internet et son site Facebook, son splendide navire où il était entouré d’une bande de filles toutes en maillot très sexy ! Cela me donna des envies et je me promis de ne pas lâcher cet américain sûrement très très riche ! Surtout en compagnie de Iona !
En attendant Iona allait me calmer ! La présence de Marc sur la table d’examen voisine m’importait peu, en fait, elle m’excitait ! J’étais quasi certaine qu’en voyant nos ébats, son bâton allait se dresser et qu’il se masturberait peut-être devant nous ! Ce serait encore plus amusant de voir son sperme gicler…
Je poussai Iona sur la table d’examen libre et lui écartai les jambes me découvrant sa fleur encore tout humide de son jus. Marc n’avait pas fait dans le détail et les lèvres intimes de la doctoresse étaient encore fort gonflées. Je me mis sur elle en tête-bêche, son vagin était à portée de ma langue et de mes doigts. Lorsque je la pénétrai, j’entendis son gémissement très bruyant et en tournant ma tête vers Marc, je vis, comme prévu, qu’il se masturbait mais très lentement. Iona devait le regarder aussi car elle fit quand même l’observation à Marc de ne pas aller trop loin !
Iona restait médecin même dans les instants les plus chauds ! Mais je devais changer d’opinion rapidement, Iona avait enfoncé plusieurs doigts dans mon anus pendant qu’elle suçait mon bijou. C’était trop bon ! Je ne pus me retenir et mon orgasme devait être puissant car je sentis que j’expulsais ma cyprine dans la face de ma partenaire !
Je devais être vraiment à fond dans ma jouissance car soudain je vis la verge de Marc devant les yeux et en réflexe je la mis en bouche ! Quel délice, son sexe goûtait le liquide préséminal et je devais me modérer pour ne pas lui donner d’orgasme. D’ailleurs Marc devait s’en rendre compte car il se retira de ma bouche pour sucer sauvagement les seins de la cardiologue, elle aussi était au bout de son voyage orgasmique et hurla son plaisir !
Nous finîmes par nous rhabiller, Marc toujours couché sur la table d’examen se demanda ce qui allait venir ensuite.
– Marc, je suis désolé de te laisser ainsi, mais je vais examiner les résultats de ton cardiogramme. Cela va prendre quelques heures. Tu peux te rendre dans ta chambre, Athéna te reconduira. Je verrai les résultats avec mes collègues et je te ferai un rapport en fin de journée.
– Devrais-je encore rester longtemps à l’hôpital ? demanda-t-il.
– Non, si tous les examens sont concordants tu seras libéré demain.
– Alors je voudrais voir mon équipage. Ainsi les pilotes pourront demander un plan de vol.
Je le raccompagnai à sa chambre, puis lui demandai s’il désirait quelque chose à manger.
J’avais laissé ma blouse entrouverte et je vis avec plaisir et envie qu’il reluqua avec insistance sur ma poitrine.
– Ce soir je serai encore de service, lui dis-je. Mais si tu veux on peut encore faire une séance de câlins. Je ne te ferais pas éjaculer, mais tu pourras me faire jouir si tu veux !
– C’est bien gentil, répondit-il mais je me contenterai de te caresser si tu as envie. Je préfère attendre l’avis du médecin avant d’avoir un nouvel orgasme.
– Oui, dis-je, je ne suis pas calmé ! Suce-moi ! Je te donnerai des caresses sans te faire jouir, juste pour notre plaisir mutuel.
Je le débarrassai de son pyjama d’hôpital et chevauchai sa bouche. Il était vraiment un expert ! Sa langue fouilla ma fente écartant mes lèvres intimes. Ses caresses buccales sur mon clitoris et plus loin dans mon antre me firent un effet fulgurant. Il plaça ses mains sur mes seins pour pincer mes tétons. Quoique sans violence, je sentis les picotements dans tout mon corps et je ne fus pas longue à jouir à nouveau. Avant de quitter la chambre je lui donnai encore des suçons sur son corps en faisant attention de ne pas laisser des traces que Iona aurait pu découvrir en examinant son corps.
– Merci, tu es vraiment génial ! Je vais te laisser maintenant car je ne veux pas d’ennuis avec la doctoresse.
***
### Marc ###
Les examens et les caresses m’avaient épuisé. Dans le calme de la chambre, je perdis rapidement conscience dans un sommeil réparateur. Ce fut la doctoresse qui me réveilla pour me faire part de son diagnostic.
– Marc, ton cœur n’est pas en danger. C’est purement un problème de respiration Tu perds connaissance parce que tu fais de trop longues apnées ! Privant ainsi ton corps d’oxygène. Tu devras apprendre à respirer pendant tes rapports sexuels ! En prenant de bonnes respirations tu n’auras pas de problèmes.
– Vous confirmez ma sortie demain alors ?
– Oui Marc. Si j’ai bien compris tu pars dans le Péloponnèse pour une quinzaine ? Lorsque tu seras de retour à Athènes, je viendrai te voir. Je t’examinerai et j’espère que tu m’inviteras sut ton voilier !
Un peu après Emily et Bessie firent leur entrée dans ma chambre.
– Bonjour Marc, la doctoresse nous a rassurés, tu ne risques pas de mourir dans un orgasme !
– De plus, dit Bessie, la doctoresse a confirmé que ton sperme est riche en spermatozoïdes.
– Non, tu blagues ! répondis-je.
– Je te jure Marc, elle a profité d’avoir un échantillon pour vérifier si tout allait bien de ce côté. Je crois qu’elle a compris que tu allais me fertiliser !
– Alors viens près de moi dis-je à Bessie. J’écartai son top pour embrasser ses seins.
Emily ne l’entendait pas de cette façon et glissa sa main sous mes draps.
– Bessie tu n’es que copilote, c’est moi qui établis le plan de vol ! Je vais vérifier si l’engin pourra voler à grande altitude !
– Oh les filles, un peu de patience ! Je suis encore en observation. De plus, il y a une infirmière qui veut abuser de moi. Vous allez donc rester sages mais ne me quittez pas des yeux jusqu’à ma sortie. Je veux garder mes forces pour réussir ma paternité et je ne fais plus de dons de sperme à la médecine !
– Très bien, dit Emily, Bessie tu surveilles ton futur pendant que moi je m’occupe du vol de demain. Autant partir le plus rapidement possible. L’autorité aérienne a constaté une accalmie des incendies sur l’île de Eubée mais on devra quand même éviter la région car il y a toujours une épaisse couche de fumée sur la région.
Bessie resta donc seule avec moi, au grand dam de l’infirmière. Celle-ci vint plusieurs fois dans l’espoir de me trouver seul et disponible. Je vis clairement sur son visage qu’elle était furieuse de ne plus pouvoir se satisfaire de mes caresses. Dans mon imagination, sa déception me donna des idées lubriques soulevant ma mâture comme une tente. Bessie constata le redressement sous mes draps.
– Marc, je rêve ou tu as une érection phénoménale ?
– Oui sans doute, mais c’est envoyant l’infirmière et sa déception ! Je crois qu’elle désirait prolonger les examens médicaux. La simulation sous surveillance médicale de mes orgasmes a dû lui laisser sur sa faim.
– Quoi ? c’est elle qui était ta partenaire durant les examens ?
– Oui, en partie, c’était d’abord la doctoresse, puis comme celle-ci ne pouvait rester lucide durant nos rapports, elle demanda à l’infirmière de continuer la simulation.
– Et bien sûr elle en a profité ?
– Oui, mais la doctoresse ne lui a pas laissé l’occasion d’être entièrement satisfaite. C’est la raison pour laquelle je demande ta présence constante. Je veux me réserver uniquement à toi !
Bessie comprit le message et resta dans ma chambre, elle mangea une partie du repas du soir et se coucha à mes côtés jusqu’au lendemain matin. Durant toute la nuit, elle protégea mon gréement de sa main douce, me souriant lorsqu’elle constatait que mon sexe n’était pas indifférent à ses attouchements.
NDA : Bientôt la suite dans le prochain épisode !
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