Chapitre 93. Corina, Niki et Panios, le plaisir comblé.
### Niki ###
Dans mon logement, j’ouvris le vidéo-livre avec curiosité. Le texte introductif du livre expliquait qu’il était destiné aux jeunes qui voulaient apprendre le sexe et que les vidéos avaient été conçues dans un but didactique et non pas pornographique.
Je sortis le CD et l’insérai dans le lecteur du salon.
Un présentateur reprenait le même discours de l’introduction et j’accélérais le défilement jusqu’à ce que je visse un couple nu qui se tenait debout. L’homme avait un pénis assez impressionnant mais c’était dû à son érection. Sinon il était semblable à celui de Panios et de Marc (pour ce que j’avais pu voir de son sexe). Il commença à lécher les seins de la femme puis descendit avec sa bouche sur l’intimité de la femme. La caméra montra le détail de l’introduction de la langue et les caresses buccales intimes à la femme qui se tenait toujours debout mais les jambes légèrement écartées.
Panios ne m’avait jamais caressé ainsi et je sentis mon excitation s’amplifier au point qu’instinctivement je mis ma main sur mon bijou pour me masturber.
Les séquences suivantes montraient différentes positions de coït, dont seule la position « dite du missionnaire » m’était connue. Je fus tellement absorbé par les images et ma recherche du plaisir que je n’entendis qu’on frappait à ma porte et soudainement je vis Corina debout à l’entrée me regardant attentivement. J’étais à moitié nue dans le divan titillant un sein et l’autre main occupée à me masturber. Je n’eus évidemment pas le temps de me couvrir ni de stopper le défilement des images.
– Oh, Niki, dit-elle, je suis désolé d’être rentrée mais je croyais entendre ton accord.
Sur ces paroles, je parvins quand même à stopper le DVD et à me couvrir avec le plaid du divan.
– Je suis désolée Corina, mais je n’ai rien entendu.
– Niki, je comprends, tu es toute retournée, l’absence de ton mari te travaille à ce point ? Je peux t’aider si tu veux.
Sans attendre ma réponse, elle s’approcha et me plaça un baiser sensuel sur mon sein. Je ne pus retenir un long gémissement ce qui l’encourageait à continuer. Il ne lui fallut que quelques secondes supplémentaires pour glisser une main sous le plaid et de reprendre le relais de ma masturbation.
Ses caresses étaient autrement plus efficaces et au bout de quelques minutes j’eus un orgasme peu habituel dans son intensité. Elle resta serrée contre moi.
– Ça va ? demanda-t-elle.
– Oui, hier, j’ai discuté avec les pilotes et Marc. Je voulais connaître le plaisir du sexe mais Marc ne veut pas me toucher et il m’a envoyé Bessie pour me remettre ce DVD. Marc ne veut pas m’apprendre, il ne veut pas interférer dans mon ménage. Je dois donc me débrouiller avec ce vidéo-livre.
– Je peux te donner quelques explications, dit Corina.
– Tu as souvent couché avec Marc ? demandais-je.
– Oh oui, cela a commencé lorsqu’il m’a invité à une croisière sur son voilier. Marc m’avait même demandé si je ne voulais pas me mettre en couple avec lui.
– Et ?
– J’ai demandé un délai.
– Et alors ?
– Je ne me suis toujours pas fixé entre l’hétéro et l’amour lesbien. Et aujourd’hui je le regrette.
– Mais il t’a fait l’amour hier ? tu as crié à réveiller toute la maison.
– Vraiment ? Oui, mais je ne parviendrai pas à me faire pardonner après ce qui s’est passé à l’hôpital. Et toi, tu veux que Marc t’apprenne l’amour ? Je peux te donner quelques idées.
– Oui, Emily et Bessie m’ont déjà donné quelques indications.
– D’accord, déshabille-toi totalement.
Corina admirait ma nudité.
– Tu es vraiment belle, ton mari a de la chance.
– Oui, mais il ne me fait pas jouir…
– Tu devras faire le premier pas. N’hésite pas, lorsque ton mari rentrera des pâturages, tu devras prendre l’initiative. Tu as vu comment il faut t’y prendre, alors fonce.
***
Le soir, Panios revint, en arrivant il m’embrassa.
– J’ai trouvé un grand pré où le troupeau sera tranquille pour quelque temps. C’est à bonne distance des falaises mais finalement pas trop loin. C’est moins d’une journée de marche. Mais maintenant je n’aspire qu’à une chose : une bonne douche pour me décrasser puis une bonne nuit de sommeil.
Je ne lui répondis pas, mais je gardais en mémoire le conseil de Corina « « Vas-y fonce »
Je donnais quelques minutes à Panios pour se décrasser, puis j’entrai dans la salle de bains, je défis mes vêtements puis j’entrai dans le cube de douche. Panios ne réalisa ma présence que lorsque je mis mes bras sur son corps et que j’agrippai son sexe tendu.
Il voulut me parler mais je fermai sa bouche par un baiser passionné, j’entamai une séquence de masturbation en forçant le prépuce en arrière jusqu’à ce qu’il gémisse de plaisir.
– Panios, ce soir je veux te baiser, dans cette maison tous les résidents font l’amour sans se gêner, sauf nous deux. Alors ce soir tu feras tout ce que je te demanderai pour me donner du plaisir. Tu n’as pas le choix, je ne veux plus attendre.
– Niki, arrête, tu vas me faire jouir ici sous la douche.
– Non Panios, tu vas jouir dans ma bouche et puis je ranimerai ta queue pour que tu me prennes. Si ta verge reste molle, tu me feras jouir avec ta bouche sur mon minou.
– Niki, que se passe-t-il ?
– Mon chéri, j’ai découvert dans la bibliothèque un vidéo-livre, que nous allons regarder ensemble. Ce que j’ai vu m’a permis d’espérer que tu pourras me donner du plaisir. Ne sois pas étonné, je veux crier ma jouissance comme les autres femmes. Marc, est un bon amant d’après Bessie et Corina. Je veux que toi aussi tu me fasses crier et que tu jouisses de mes caresses. Viens dans le salon, je vais te montrer.
Nous étions juste enveloppés de notre essuie bain lorsque je lançai le déroulement du disque. Panios fut d’abord choqué par la présentation et les premières images. Je parvins à le convaincre de rester pour regarder la suite. Il consulta la couverture du livre et vit que c’était destiné aux adultes et aux jeunes mariés dans un but éducatif et pour améliorer les relations sexuelles.
Il ne fallut pas longtemps pour que je visse son engin se dresser, moi-même je dus me maîtriser pour ne pas me masturber mais lorsque le couple à l’écran entama une fellation très détaillée, je fis pareil. Mon mari était sans doute très choqué de ce qu’il voyait et sans doute aussi de ce que je lui fis.
J’avais bien étudié les images et même si je n’avais pas d’expérience, je réussis à lui donner une éjaculation dans ma bouche, nonobstant son avertissement qu’il ne pouvait pas maîtriser son orgasme.
– Niki, je me rends compte que je suis nul en matière de sexe, mais tu viens de me donner un plaisir insoupçonné.
– Panios, tu n’as encore rien vu. Regarde bien la séquence suivante. L’homme va caresser avec sa langue l’intimité de la femme. J’ai senti la même caresse mais donnée par Corina. J’avoue que cela m’a fait jouir au-delà de mes espérances. S’il te plaît donne-moi ce plaisir.
Panios hésita mais lorsque la femme à l’écran gémit sous la langue de son compagnon, mon mari finit par approcher sa bouche de mon sexe. Il suivit les conseils de la vidéo et commença par me lécher et goûta le liquide qui coulait entre mes jambes. Je constatai sans surprise que sa verge s’était redressée et je parvins même à l’atteindre pour le caresser pendant qu’il enfonçait sa langue entre mes lèvres intimes.
Je finis par lâcher son sexe pour accompagner des mains sa tête qui me faisait grimper dans ma jouissance.
– Oh oui, mon chéri, continue ça vient ! ouiiiii, encore ahhhh.
Mon orgasme fut violent. Panios fut surpris par le jus qui sortait de ma fente.
– Lèche-moi s’il te plaît, lui dis-je. Mon chéri maintenant je comprends les femmes qui crient dans les bras de Marc.
Je me mis à cheval sur son ventre et saisis sa verge pour l’enfoncer dans mon vagin. Son sexe était bien dur et mes allers-retours me donnaient une sensation que je n’avais encore jamais sentie. Panios grinça pendant qu’il éjacula puissamment dans mon corps. Le flot de sperme qui m’inonda déclencha un nouvel orgasme.
J’étais épuisée mais heureuse. C’était la première fois que Panios m’avait vraiment comblée.
– Je crois que pour ce soir, je suis vraiment à bout. Je te remercie Niki, ce fut délicieux. Je propose qu’on regarde la suite du film demain.
– D’accord, tu verras que cela vaut la peine. Je l’ai déjà vu mais cela te donnera des idées et nous aurons encore beaucoup à apprendre.
– Il faudra que tu m’expliques comment tu as mis la main sur ce film.
– Oui, Panios, demain je t’expliquerai.
***
Panios me garda dans ses bras et très rapidement nous sombrâmes dans un sommeil réparateur.
### Panios ###
En rentrant des pâturages, je fus accueilli amoureusement par ma petite femme. Je sentis qu’elle voulait plus qu’un simple baiser, mais je déclinai son offre car je voulais me décrasser de jours de marche et de l’odeur des bêtes. Ce n’est que sous la douche que je sentis Niki qui me prit avec passion à mon sexe pour me masturber. Panios, ce soir je veux te baiser, dans cette maison tous les résidents font l’amour sans se gêner, sauf nous deux. Alors ce soir tu feras tout ce que je te demanderai pour me donner du plaisir. Tu n’as pas le choix, je ne veux plus attendre.
Je n’avais jamais entendu de telles paroles dans la bouche de Niki. Dans mon imagination elle avec un discours de prostituée (du moins j’imaginais qu’une pute puisse avoir ce langage, alors que jamais je n’avais été en contact avec ces femmes).
Jamais, elle ne m’avait prise ainsi pour me masturber avec une certaine violence mais qui fit grimper mon appétit sexuel. Elle m’amena dans le salon où elle fit jouer un vidéo-livre qui parlait de sexe du couple.
Jamais, je ne l’avais vue aussi excitée, elle suça ma verge jusqu’à ce que j’eusse un orgasme dans sa bouche. J’aurais trouvé cela dégoûtant voire immoral si devant se déroulait la même scène au grand plaisir du jeune couple.
Je vis aussi l’homme qui introduisit sa langue dans le sexe de la femme, la caméra montra de gros plans de l’action et Niki me demanda de faire la même chose. L’intimité de Niki sentait bon, et le goût du fluide qu’elle dégageait me donna une excitation encore plus importante.
À ma surprise Niki eut un violent orgasme, mais continua en me chevauchant où je vis un spectacle ahurissant. Niki comme une indienne chevauchant son mustang me fit des allers-retours sur ma verge pendant que ces seins fermes étaient secoués au rythme de sa chevauchée. J’eus un voile noir pendant quelques secondes au moment de mon orgasme qui fut encore décuplé par le sien, ma verge étant comme emprisonnée dans son vagin.
Jamais je n’avais eu un tel plaisir et je gardai ma femme dans mes bras avant de m’endormir.
NDA : Voilà Niki a enfin le plaisir qu’elle jalousait à toutes les femmes qui faisaient l’amour avec Marc. La suite sera prometteuse.
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