Nous étions trois femmes à lécher, sucer et exciter la verge de Pierre, il apprécia énormément mais nos efforts furent inutiles ! Pierre avait bien une belle érection mais nous fûmes incapables de lui donner encore du plaisir. Finalement Amina abandonna et elle se tourna vers moi.

– Viens près de moi Lætitia, On va encore un peu jouer entre femmes, cela excitera certainement mon mari. Mais Ninah lui donnera des stimulants pour qu’il puisse nous honorer avec son sperme !

Nous restâmes encore un bon moment enlacées, Amina me fit des caresses sur mes seins, je trouvai que la crème de Ninah sur ma poitrine la rendit plus sensible au toucher et cela provoqua des vibrations jouissives mais modérées dans mon corps entier.

Je n’en pouvais plus et je m’endormis entre leurs bras.

Ce n’est qu’au cours de la nuit que j’émergeai de mon sommeil et sentis les lèvres de Ninah sur mes seins.

– Je dois reprendre mon travail, sinon mon superviseur va me houspiller et il risque de me demander certains avantages !

– N’aie aucune crainte Lætitia, nous expliquerons à ton supérieur que tu as dû rester dans notre suite, pour rester à notre service.

– Merci Ninah, j’adore ta bouche sur mes seins ! Je crois que j’aime l’amour entre femmes !

– Tant mieux, car regarde Pierre qui se caresse entre les seins d’Amina, si on continue à jouer ensemble, il retrouvera des nouvelles forces. On va se masturber mutuellement ! Nos gémissements vont redoubler son désir, et tu pourras encore en profiter entre tes fesses !

Ninah rejoignit le geste à la parole et pénétra ma fente et mon anus avec ses doigts, l’action combinée dans les deux orifices me fit gémir bruyamment ! Pierre abandonna les seins d’Amina pour présenter sa verge devant ma bouche, sans hésiter, j’acceptai sa demande tacite. Je pris son gland entre mes lèvres en le titillant doucement entre mes dents sans le mordre. J’avais remarqué que ce genre de caresse buccale avait plu beaucoup à vieux chef vicieux avant d’être viré et je constatai que Pierre trouva cet attouchement très plaisant également.

Sa verge était érigée au maximum, je reculai le prépuce jusqu’à tendre le frein. Je savais d’expérience que ce genre d’attouchement donnait un plaisir certain mélangé à une douleur excitante que seule ma langue et ma salive pouvaient calmer.

Pierre grogna de plaisir et demanda :

– Continue, tu es une véritable pute, que faisais-tu avant de migrer en Europe ?

– Je donnais du plaisir aux hommes avec ma bouche ! Mais malgré les demandes aucun homme ne m’a pénétré. Mon absence de seins, ne me rendait pas attirante, mais j’ai pu en moins d’un an rassembler assez d’argent pour payer mes documents de voyage et mon billet ! Le fait d’habiter une grande ville, m’a permis de faire cela discrètement sans être asservie par un maquereau ! Même si de temps à autre je subissais des chantages des gens de mon entourage qui voulaient des pipes sans payer sous la menace de me dénoncer à ma famille et à la police. Je croyais qu’en Europe ce serait différent mais dans cet hôtel je ne suis pas vraiment à l’abri des surveillants et des chefs d’étage. Mais avant vous, je n’avais jamais eu de rapports avec les clients.

– Et maintenant ? demanda Amina, tu comptes rechercher les faveurs d’autres clients que nous ?

– Je ne crois pas que je rencontrerai des gens aussi gentils que vous ! Je ne tiens pas à rejoindre la horde de putes qui se promènent librement dans les couloirs des hôtels. J’ai un travail rémunéré et si je dois satisfaire mon chef de temps à autre pour garder ma place, je le ferai ! Mais je chercherai parmi la clientèle fortunée quelqu’un qui me gardera auprès de lui et qui sait, m’épousera !