Louise devint féroce ! Elle prit ma culotte imprégnée des fluides de sperme et de cyprine et la fourra dans la bouche de Dany.

Pendant ce temps je nouai ses poignets avec sa cravate à la tête de lit et écartai ses jambes pour bien dévoiler son sexe tendu.

Louise n’hésita pas et enfourcha son sexe profondément dans son vagin.

– Tu payeras tes mensonges à moi et à Lætitia ! et combien d’autres encore ?

– Non, Louise cria-t-il en gémissant, il n’y a personne d’autre !

– Lætitia, fait moi plaisir, enfonce ton doigt dans son anus ! Ah le cochon, dit-elle entre ses coups de chevauchée, ainsi il saura ce que c’est de sodomiser ! Cela va durcir son sexe que je trouve un peu mou, Sans doute as-tu perdu ton envie en me voyant !

Louise était vraiment lancée, sa prestation excitait et je caressais mon bijou en la regardant. J’introduisis brutalement mon majeur dans son cul, au grand plaisir de Louise qui sentit immédiatement le durcissement de sa bite.

– C’est bien Lætitia, tu touches bien sa prostate ! Son éjaculation sera peut-être un peu douloureuse mais j’avais envie de sentir son sexe pour jouir !

Louise monta dans les octaves et bientôt elle cria son plaisir !

– Caresse mes seins! dit-elle encore s’adressant à moi, tant qu’il ne débande pas je veux en profiter ! Tu peux laisser sa prostate, assieds-toi sur sa bouche ! Ce sera plus efficace que de te masturber comme une petite fille vicieuse !

Je fis comme demandé et Dany me pénétra avec sa langue, Ah quelle jouissance, sa langue efficace me porta très rapidement au zénith et je sentis un flot de cyprine couler sur son visage.

– Continue Dany ! Lætitia en veut encore et moi aussi, dit-elle entre deux spasmes.

Mon corps vibra une deuxième fois, puis je me désengageai car j’étais comblée.

Louise finit aussi dans un cri de jubilation.

– Ta queue est vraiment bonne, je suis contente de voir que tu ne débandes pas encore ! Dany, tu seras à notre merci ! Fini le chantage pour obtenir des faveurs de Lætitia. Fini de nous imposer des corvées salaces !

Nous nous étendîmes à ses côtés, nos respirations s’apaisèrent lentement. Louise prit ma main pour la passer sur ses seins. J’adorais sa poitrine et j’eus un peu de jalousie de la comparer avec mes faibles renflements.

Louise perçut mon regard.

– Ne sois pas déçue, certaines femmes ne développent leurs seins beaucoup que plus tard au moment de la maternité !

– Oui, j’ai lu cela également mais je ne tiens pas encore à me retrouver maman pour avoir des seins attirants. Je veux d’abord trouver l’homme qui me rendra heureuse et ce n’est pas ce salopard de Dany qui est sur la liste ! Je vais le masturber jusqu’à l’épuisement de sa semence et je recommencerai jusqu’à ce qu’il demande pardon !

– On ne pourra pas le garder prisonnier longtemps, demain son supérieur va le chercher, dit Louise.

– Je crois que sa mère est directrice de l’hôtel ! On pourra peut-être exiger qu’il demande à sa mère d’alléger notre travail ?

– Oui, gémit Dany, alors que je le faisais éjaculer pour la troisième fois en le masturbant sans délicatesse.

– On te donne jusqu’à demain ! dit Louise, dans le cas contraire on te trouvera un supplice qui te dégoûtera de faire l’amour pendant un bon moment !

– D’accord, j’en parlerai à ma mère ! Mais libérez-moi maintenant.

– Patience ! dis-je, je veux d’abord te vider ! Je veux que ton dernier orgasme ne produise plus de jus !

Effectivement, j’avais perdu le compte du nombre d’orgasmes qu’il avait subi, Ce dernier était vraiment douloureux et plus une goutte ne sortit de son pénis. Nous le libérâmes et sortîmes de sa chambre.

– Tu as intérêt à nous donner une réponse valable demain !

J’accompagnai Louise dans sa chambre où nous nous endormîmes sans délai.