Chapitre 17.

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Ce matin, j’avais le vague à l’âme ! Pierre et ses femmes avaient quitté l’hôtel la veille et j’avais rêvé de ce couple. Ma tension sexuelle était très élevée et en glissant mes doigts dans mon intimité, je sentis ma cyprine abondante au point de ne pas pouvoir me retenir.

Je commençais donc à me masturber doucement en me rappelant la verge vigoureuse de Pierre et les seins de ses femmes. Le rythme de mes caresses augmenta au fur et à mesure de la progression de mon rêve ! Je me voyais déflorée par Pierre pendant que ses femmes me caressaient mon clitoris et mon cul. Pendant ce temps, mon pager sonna à plusieurs reprises, mais comme c’était mon jour de repos je négligeais de le regarder.

J’étais sur le point de jouir lorsque la porte de ma chambrette s’ouvrit brutalement et que le visage de Madame la directrice apparut dans l’ouverture. J’avais les jambes largement écartées une main trifouillant mon vagin et mon bijou, l’autre main loin entre mes fesses les doigts enfoncés dans mon anus. Je ne pus me retirer de cette attitude et la femme les yeux grands ouverts m’inspectait avec un petit sourire.

– Continue, dit-elle, prend ton plaisir. Je t’appelais mais ça peut attendre.

En parlant elle glissa une main dans son chemisier habituellement très strict, ouvrit quelques boutons et massa ses seins libres de tout sous-vêtement. J’étais un peu désarçonnée mais je repris ma manipulation trouvant un plaisir certain à m’exhiber devant la propriétaire. Ma tension sexuelle regrimpa rapidement au niveau atteint avant son intrusion et lorsque les spasmes de l’orgasme me terrassèrent, je ne pus réprimer mes cris de jouissance !

– Ah, dit-elle, lorsque je fus calmée et que j’émergeais de mon plaisir. Je vois que tu aimes autant les plaisirs solitaires que sucer le sexe de mon fils ! Oui, ne sois pas étonnée, cela fait quelque temps que je surveille mon fils. Je le suspecte d’user de son statut pour profiter des jeunes soubrettes comme toi ! Les caméras placées dans le couloir et dans sa chambre m’ont révélé des actes qui dépassent de loin la bonne tenue de cet hôtel !

– Mais Madame, ce n’est jamais dans le cadre du travail ! de plus, il n’a jamais abusé de son autorité !

– Oui, mais ne me fait pas croire que tu fais cela par amour !

– Non ce n’est pas par amour mais j’aime sentir sa verge dans ma bouche et le goût de son sperme ! D’ailleurs, vous non plus vous osez des rapports de sexe avec les membres du personnel. Il y a quelques jours, je voulus vous rencontrer pour vous demander un peu d’allègements de mon travail, mais je me suis arrêtée dans votre antichambre car vous étiez en plein ébat, un membre du personnel en uniforme vous ramonait puissamment et cela vous plaisait, à entendre les cris de jouissance. Mais je me suis retirée ne voulant pas vous interrompre et dévoiler votre vice devant l’homme qui vous baisait !

– Oui, dit-elle j’aime le sexe mais aujourd’hui je veux goûter ta bouche, que mon fils semble tellement apprécier. Je veux sentir tes lèvres sur mes seins et ta langue dans mon intimité !

En disant cela, elle arracha sa blouse et défit sa jupe révélant son corps parfait entièrement nu. Elle ne portait pas de petite culotte, révélant ainsi que son interruption dans ma chambre n’était pas innocente ! Les tétons de ses seins totalement dressés étaient splendides ! Je fus en admiration devant ces monticules trônant au milieu de ses aréoles foncées et glissant mon regard sur son bas-ventre, je constatai qu’elle était totalement épilée et que ses lèvres intimes ne parvenaient pas à contenir la cyprine qui suintait !

NDA : … La suite c’est pour bientôt…

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