Difficile de continuer un tel poème, toutefois je me lance et avec les difficultés que l'auteur s'était imposées.

Pour que le texte est du sens, je reprends, avant mon écriture, les deux dernières strophes de Verlaine.

"Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! Nulle trahison ? ... Ce deuil est sans raison.

C'est bien pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine."

Il se languit d'aimer, Faille à l'absence, Oublie la joie gènée Du syndrome d'aimer.

Ainsi tend mon ciel gris A la triste couleur. De l'être cher s'ennuie, Et toujours reste gris.

Tant d'amour ! Mon âme... Déborde et se noie, Exhorte la lame, Prie paix pour son âme.

S'il saigne d'un manque; D'amour crie sa douleur. Nul autre me flanque Le coeur d'un tel manque.

Enfin la pluie cesse, Ne le voyez-vous pas ? Aux cieux ma détresse ! ... Pourtant rien ne cesse.