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Il y avait effectivement l’héritier de Mussolini nommé Domici, âgé de quarante-quatre ans.

Il avait un style très italien.

Aujourd’hui, il était un citoyen comme un autre.

Il voulait prendre le pouvoir.

Actuellement, il était en Afrique au Tchad.

Il avait volé de la nourriture, mais se fit repérer puis bouscula Julie.

« Faites attention ! »

« Excusez-moi ! »

Puis Julie frappa le marchand qui tomba.

Domici se cacha avec Julie.

« Tu es qui ? »

« Et toi ? »

« L’héritier de Mussolini ! »

« Sale lâche ! »

Julie poussa violemment Domici vers le sol.

Puis elle pointa son arme à feu vers lui.

« Ensemble, nous pourrons prendre le pouvoir ! »

« Jamais ! Je n’ai jamais connu mes parents ! »

« Tu cherches encore qui tu es ?! »

« Non … enfin oui ... »

« Ce virus, c’est toi ? »

« Non ... »

« Tu mens comme tu respires, tu as un air hitlérien ! »

« Comment peux-tu dire de telles abominations ? »

« Allez, dis la vérité. »

« Bon oui. »

« Tu sais que tu peux être interpellée et mourir pour tes actes ? »

« Et toi alors ? Tu n’es pas mieux ? »

« Tu veux chercher tes origines ? Tu me suis ! »

« C’est du chantage ! »

« Non, une proposition, on ira au pouvoir et on dominera le monde. »


Puis le marchand se leva.

« Où sont-ils ces voleurs ? »

Le virus avait tué en quelques jours dans le monde, plus de cinq mille individus.

Les dirigeants prirent cela au sérieux.

En Amérique, les licenciés décuplèrent !

La Chine interdisait les enquêtes maintes fois sur les origines du virus.

Les autres dirigeants s’allièrent contre la Chine.


Le président français s’exclama :

« Nous sommes désormais en guerre, une guerre invisible, on ne nous dit pas tout. »

Julie et Domici entrèrent dans une maison louée par une vieille dame.

« écoute, je veux récupérer mon Italie et toi tes origines.

Comment as-tu déclenché ce virus ? »

« C’est un accident. »

« Non, c’est voulu… tu as de l’ADN d’Hitler, j’en suis sûr. »

« Tu veux faire quoi ? »

« Il existe Internet, j’ai ce qu’il faut. On ne peut pas se déplacer, tous vont être confinés. »

« J’ai très peu de souvenirs, on me frappait étant jeune. »

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