Printemps
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Ô âme, si ça te blesse, c'est pour ton bien,
Si c'était constamment l'été, le soleil brûlerai les jardins.
En coupant les fleurs de ton jardin, tu n'empêcheras pas la venue du printemps.
Ô âme, si ça te blesse, c'est pour ton bien,
Si c'était constamment l'été, le soleil brûlerai les jardins.
En coupant les fleurs de ton jardin, tu n'empêcheras pas la venue du printemps.
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