Chapitre 7: Une nuit horrifiante (suite)
Toujours jonché sur ses épaules, je me sentais mal, j’aurais espéré que la rebelle qui sommeille en moi se réveille et l’envoie balader et chier bien comme il le faut, mais non rien, je mettais ce comportement sur le coup de la fatigue en me persuadant que je n’allais pas en rester la et que j’allais un jour ou l’autre me venger de ce gougeât. Apres un moment qui me sembla être une éternité, je me décidais à prendre la parole afin de m’exprimer.
-Bon la tu me ..... . Commençais je, mais je n’ai pas eu le temps d’aligner une phrase correcte que je me reçu une forte claque sur les fesses, mes fesses chauffes tout comme mes joues qui devaient avoir la même couleur.
-Attend je viens de te dire quoi! Je n’ai pas dit que je ne voulais pas t’entendre! Me dit-il
-Je veux juste savoir ou tu me ramènes et surtout ce que tu me veux en cette nuit? Finis je par dire mais a une vitesse, mais même comme ca, je me pris comme même une autre claque.
Soule je laissais tomber et me contentais de regarder autour de moi afin de me repérer sauf que je ne connaissais pas encore les recoins de cette favela contrairement a cette brute qui me porte sans ménagement. Toujours porte comme une mal propre, j’eu une idée que je qualifierai de suicidaire pour me débarrasser de ce chef et de ces mains. Apres un petit moment de doute et d’hésitation, je me projetais en avant afin de tomber et d’échapper de sa prise, heureusement pour moi sous un moment d’inattention de sa part j’ai pu rejoindre le sol et me barrer en courant de cette ruelle, j’entendais les cris du jef mais je ne faisais pas trop attention et je continuais a tracer ma route, ne sachant ou je vais j´essayai de me localiser en me rappelant du chemin qu’on a emprunte le matin avec ma tante pour aller a la casa du jef. Apres un temps indéfini a tourner en rond, je finis par apercevoir de la lumière, mon source de bonheur a ce moment précis, un miracle, je remerciais en douce ma bonne étoile qui veillait sur moi et qui me protège sans cesse. Enfin de retour a la casa de ma tante, je rentrai à nouveau par la fenêtre de ma chambre afin d’éviter de la réveiller, ensuite je me dirigeai vers la salle de bain afin de me doucher et d’enlever la sensation de ces mains sur moi et sur mon corps, en me regardant dans le miroir, y avait deux trucs d’alarmant selon moi, mes cernes ou devrais je dire les magnifiques poches noires qui ornaient mes yeux et aussi la trace de main bien rougeâtre que j’ai sur la fesse droite, en regardant cette trace je me rendis compte que je ne pourrais enfiler un short pour l’instant; mais décidée, j’allais faire croire a ma tante que c’était seulement un coup de soleil, et ainsi je n’aurais plus a me justifier et je pourrais mettre des shorts et des jupes tout ce que je voudrais en cette chaleur. Allonge sur mon lit, je me ressasse les événements de cette soirée plus qu’éreintante sans m’en rendre compte je constatais que tout mes pensées étaient dirige vers ce jef, cet homme que je n’ai pas intérêt à le revoir afin d’éviter toute situation désastreuse jusqu’à la fin de mon séjour qui s’annonçait long et anime. Toujours à fond dans mes pensées, je ne fis point attention au moment ou je m’étais endormi. A demain foutue vie !
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