Chapitre 4 (Dit que tu es désolé) Partie 2

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-Maman, papa, je suis tellement désolé de vous avoir menti. Je me sens tellement lâche que je voudrais retourner dans le passé et effacer ce que j'ai fait hier soir. 

Ma mère m'arrêta et tenta tout de suite de me tranquilliser.

Elle prit mon visage entre ses mains et me parla très sérieusement. 

-Taylor, ne dit pas ça. Ils nous arrivent tous à un moment dans notre vie où nous mentons, et c'est humain. Ce que tu as vécu est horrible ma chérie. Et je sais à quel point tu souffres parce que moi aussi j'ai été trompé par l'un de mes copains au secondaire. 

En entendant ce que ma mère me disait à propos de son copain qu'il l'avait lui aussi trompé, je ne pouvais m'empêcher de pleurer. Ma mère avait elle aussi des larmes qui coulaient sur ses joues. 

-Le pire c'est que cette fille ne le savait même pas qu'A.J était en couple, avouais-je à mes parents. Il nous a joué dans le dos à tous les deux. 

-Dit-toi que ce sera lui qui sera le plus blessé dans cette histoire. Mentir n'est pas aussi pire que de faire ce qu'il a fait lui. 

Ma mère avait raison. C'était lui le plus monstrueux dans cette histoire. Et s'il perdait Sofia aussi, ce sera uniquement de sa faute à lui. 

Je n'avais pas à me sentir coupable pour ce que j'avais fait chez lui. Ma conscience était mélanger dans toute sorte d'émotion et mon acte avait été fait sur un coup de tête. J'avais eu des raisons pour lui en vouloir, tandis que lui, le mal qu'ils nous avaient infligé à Sofia et moi était gratuit. Il n'avait profité que de nous et ensuite, il nous avait jeté comme de vulgaire sac à ordure. 

Ce que ma mère m'avait dit m'avait fait comprendre considérablement de chose. J'avais compris que je ne devais pas m'en vouloir pour avoir mentit, mais que je devais en vouloir au personnage mauvais de cette histoire. A.J. Sofia et moi avions été les victimes de son jeu répugnant. 

Ce que j'espérais au plus profond de mon cœur, c'était qu'elle le laisse et lui brise le cœur pour qu'il finisse par comprendre le mal qu'il nous avait fait. 

Comprendra-t-il un jour que ce qu'il avait fait n'était pas acceptable? Je le souhaitais intérieurement. 

-Donc, je dois vous l'avouez, continuais-je, je n'étais pas partit faire mes devoirs chez Kristine. J'étais partit chez A.J et je suis entré par infraction chez lui. J'ai ensuite saccagé sa salle de bain et sa chambre. Et le pire, c'est que j'ai entraîné Kristine dans mon jeu. 

La réaction de mes parents fût extraordinaire à comparer de ce que je m'entendais. Je croyais qu'ils allaient être en furie contre moi. Mais pour être honnête, je ne savais pas pourquoi je pensais que mes parents allaient réagir ainsi contre moi puisque je savais qu'ils allaient m'aider et non me rabaisser ou me punir pour ce que j'avais fait. Comme ma mère me l'avait dit, c'était horrible ce que j'avais vécu. ça n'expliquait peut-être pas le vandalisme dans la maison de mon ex copain, en opposition c'était, d'une certaine manière, inconscient de ma part. C'était après avoir commis le geste que je m'étais rendu compte que ce que j'avais fait n'avait pas été correct. Mais je m'étais créé ma propre forme de justice, et c'était ça dont j'étais le plus fière. 

-Vous croyez que la police pourrait venir m'arrêter pour ce que j'ai fait? 

Ma mère se tourna directement vers mon père, comme si tout avait été prévu. 

En la voyant se tourner tout de suite en direction mon père, après leur avoir posé cette question, je compris aussitôt. 

Mon père fit signe que non de la tête. 

-Ton copain sait pertinemment qu'il ne voudrait pas avoir affaire avec les avocats de ton père.  

Un petit sourire en coin se dessina sur le visage de mon père, ce qui venu me consoler. 

Avec le boulot dans lequel mon père travaillait, il avait eu la chance de se procurer de très bons avocats aux cours des dernières années. Je savais par contre que le père d'A.J était aussi riche que mon père, et peut-être même plus, ce qui pouvait donner une idée du genre d'avocat qu'il avait pu se permettre d'avoir. 

-Mais papa, tu y pense? Le père d'A.J pourrait bien nous emmener en cour parce qu'il doit avoir d'aussi bons avocats que toi. 

-Ne t'en fait surtout pas avec ça ma chérie. Tu sais que je ne laisserais jamais personne faire du mal à ma fille. Si son père veut nous traîner devant un tribunal, et bien il le fera et je l'affronterai et je ferai tout mon possible pour te sauver des conséquences. 

Mon père prit l'une de mes mains.  

-Je serai prêt à tout pour défendre ma fille, tu le sais? 

Je lui souris et je m'approchai de lui pour le serrer dans mes bras. Ma mère nous regarda, un sourire sur les lèvres. 

Je tendis mon bras vers elle pour qu'elle puisse venir se rapprocher de mon père et moi. 

Elle se leva et venu se joindre à nos bras. 

Je les serrai tous les deux longuement dans mes bras, et je regardai en direction de l'entrée de ma chambre, là où Ava nous observait sans bouger. 

-Ava, l'appelais-je, vient ici.

Elle s'approcha d'un pas lent jusqu'à nous et ma mère la prit dans ses bras pour ensuite me retrouver avec ma famille entière dans mes bras. 

Je ne pouvais expliquer la réjouissance que j'éprouvais d'avoir des parents si compréhensifs. Malgré l'erreur que j'avais commise, ils ne m'en voulaient pas, et mon père était même prêt à se rendre jusqu'en justice pour pouvoir m'épargner des conséquences de mon acte. J'ignore comment il aurait fait pour m'éviter les conséquences, mais je savais qu'il était prêt à tout lorsqu'il s'agissait de ses filles. 

Au contraire de ce que j'aurais cru, mon souper s'était très bien déroulé, puisque je me sentais enfin libérer d'un énorme fardeau. Ce mensonge que j'avais gardé durant presque deux jours avaient enfin été dévoilé. Je n'avais plus de raison de m'en faire avec ce que j'allais devoir trouver à avouer à mes parents. Je crois que ça avait été ça qui m'avait le plus tourmenter là-dedans. Ce n'était pas tellement le fait d'avoir des ennuis, mais plus d'avoir menti à mes propres parents. Une chose que je n'avais jamais fait jusqu'à aujourd'hui. 

La dernière chose qu'il me restait à faire, c'était de contacter Kristine et lui informer de la « bonne nouvelle », si je pouvais le dire de cette façon. 

Suite à avoir aidé mes parents à débarrasser la table et à avoir fait la vaisselle avec eux, je descendis dans ma chambre, prit le temps de choisir mes vêtements pour dormir et je montai par la suite à l'étage pour m'enfermer dans la salle de bain. J'avais pensé d'emmener mon téléphone portable afin de pouvoir appeler Kristine et discuter avec elle tout en prenant un bon bain chaud. Je crois que je le méritais intégralement avec ce que je vivais. 

Je fis couler l'eau, retira tous mes vêtements et les laissa tomber sur le sol. 

Après avoir rempli suffisamment le bain, j'entrai et m'installa confortablement. 

Je pris quelques minutes pour relaxer calmement dans le silence de la pièce. 

Je tendis le bras et prit mon téléphone que j'avais laissé sur le comptoir près du lavabo, l'ouvrit et composa le numéro de Kristine. Je fis gaffe pour ne pas accidentellement laisser tomber mon portable dans l'eau. 

À peine deux coups sonnèrent et Kristine venu répondre.

 

-Oui allô?

-Alors, comment va ma meilleure amie? 

-Hey Taylor, ça va? 

-Euh... je devrais dire... tout de même bien. 

-Alors, raconte-moi tout. 

-Par quoi veux-tu que je commence? 

-Est-ce que tu as vu ce crétin? 

-Oui, malheureusement. Et deux fois en plus. 

-Vraiment? Est-ce qu'il t'a parlé? 

-Parlé? Il a fait bien plus que ça. 

-Qu'est-ce que cette pourriture t'a fait? S'inquiéta-t-elle. 

-Et bien, quand je suis arrivée ce matin à l'école, il a été le premier sur qui je suis tombé. Une grande dispute s'est encore déclencher et à un moment il a voulu me faire... je ne sais quoi quand...

Devais-je parler de ce garçon à Kristine? Même si elle était mon amie et qu'elle était l'une des personnes en laquelle j'avais le plus confiance, si je commençais à lui parler de lui, elle allait me poser des questions et je ne voulais pas m'embarquer dans ce genre de conversation. Surtout en sachant que celui-ci était un remplaçant de mon école, je n'avais pas du tout envie que cette histoire se propage vite dans mon quartier et qu'on me pointe du doigt même si je savais que Kristine n'était pas une rapporteuse. Je voulais uniquement rester prudente. De toute façon, si jamais ce garçon ou moi avions des sentiments l'un pour l'autre, ça ne fonctionnerait jamais entre nous deux. 

Et au fait, pourquoi est-ce que je pensais à ça? Je m'étais promis d'arrêter ça et d'arrêter de penser à lui. 

-Un... un enseignant à tout vu et il est intervenu.

-Ton sauveur. Alors tu veux dire qu'A.J s'apprêtait à te faire du mal, c'est ça? 

-Écoute, je n'ai pas tellement envie de parler de ce qui s'est passé avec lui aujourd'hui. Par contre, je voulais te mettre au courant d'une... si je peux le dire comme ça, une bonne nouvelle. 

-Si tu as des bonnes nouvelles à annoncer, alors ce sont celles-là que je veux entendre. 

-Mes parents savent tout, dis-je, sans vouloir tourner autour du pot. 

Kristine resta silencieuse à l'autre bout du téléphone.

-Ils savent tout sur quoi? Finit-elle par me demander, après quelques secondes de silence. 

-À propos de ce que nous avons fait toi et moi. 

-Oh mon dieu seigneur! 

Sa voix s'éloigna du combiner et j'entendais dans son ton de voix qu'elle avait peur de ce que j'allais lui dire. Je devais la rassurer puisque mes parents ne m'en voulaient pour ça et que nous n'avions rien à craindre, surtout avec mon père.  

-Attend Kristine, tout va bien. Mes parents ont très bien réagit et mon père est prêt à nous aider si jamais nous sommes emmenés en cour. 

-Tu es sérieuse? Et tu... tu as dit à ton père que c'était de moi l'idée? 

-Non, c'est moi qui aie accepté et c'est toi qui t'aie suscité à avoir cette idée parce que je t'avais dit que je voulais me venger de mon ex copain. 

-Taylor, passe-moi ton père. 

-Pourquoi? 

-Parce que, je vais lui dire que c'est de ma faute et non de la tienne.  

-Tu es folle!? Tu ne diras rien à mon père, c'est compris? 

-Taylor, passe-moi ton père ou je me rends chez toi sur le champ. 

-Je ne peux pas te passer mon père puisque je suis dans mon bain en ce moment. Et si tu te pointe chez moi, j'empêcherai mes parents d'aller répondre à la porte. 

-Dans le bain? Alors comme ça tu fais la fiesta? 

-Je relaxe. J'en avais un si grand besoin et de plus, puisque tout est maintenant avouer et qu'A.J n'est officiellement plus mon copain, je peux enfin détendre chaque muscle de mon corps. 

-Tu sais que je te déteste? 

-Et moi je te déteste encore plus, lui dis-je, un sourire aux lèvres. 

-Mais honnêtement Taylor, je déteste que tu prennes le blâme à ma place. Si tu ne m'avais jamais parlé de ce qui s'était passé, je ne t'aurais jamais donné cette idée. 

-Dans ce cas, nous sommes tous les deux désolés dans l'histoire.

-Si jamais nous nous retrouvons en cour, je dirai la vérité. Que c'est moi qui aie eu l'idée et non toi. 

Tandis que Kristine continuait de me parler, je tournai la tête en direction de la fenêtre juste à côté du bain et remarqua que j'avais totalement oublié de fermer le rideau en entier. Donc, ce qui voulait dire qu'on pouvait assez bien me remarquer de l'extérieur. 

Au même moment où je fis cette remarque, j'aperçue le visage d'une personne parmi la noirceur de la pièce dans laquelle il se trouvait, devant la fenêtre d'une maison voisine, là où monsieur Jones habitait. Cependant, cette personne n'était pas monsieur Jones, mais bien l'homme que j'avais croisé tout à l'heure avec sa camionnette blanche. Il était planqué devant la fenêtre du haut, juste au même niveau que notre fenêtre de salle de bain, et il regardait dans ma direction. 

-Bon sang! Dis-je, en coupant la parole à Kristine.

J'étirai mon bras et atteignit la corde du rideau. Je tirai sur celui-ci et le rideau se ferma consécutivement, maintenant à l'abri des regards extérieurs. 

-Oh mon dieu, paniquais-je.  

-Taylor, tu es toujours là? 

-Euh... oui, excuse-moi. 

-Qu'est-ce qui se passe? Tu sembles être en panique. 

-C'est que... j'ai complètement oublié de fermer le rideau dans la salle de bain et... je crois que j'ai aperçu un homme dans la maison juste à côté, et il me regardait. 

-Oh mon dieu, ce n'est pas sérieux? 

-Mon voisin de longue date déménage cette semaine et je crois que cet homme est notre nouveau voisin. 

-ça ne donne pas une bonne première impression de lui. 

-Je n'avais pas besoin de ça. Maintenant je vais avoir la trouille de mon nouveau voisin. 

-Il était peut-être tout simplement curieux. 

-Trop curieux. Tu sais quoi, je crois que je vais te laisser. J'arrête ma relaxation ici. 

-D'accord, je comprends. 

-On se reparlera un peu plus longuement, d'accord? 

-Ok. Bye, et prend soin de toi. 

-Ouais merci. Bye.  

Je raccrochai et débarqua précipitamment du bain pour ensuite déposer mon portable sur le comptoir et enrouler une serviette autour de moi, troubler par ce qui venait de se produire. 

Et si cet homme était là depuis que j'étais entré dans la salle de bain? Mon sang se glaça en pensant que cet homme m'avait probablement vu entièrement nu!  

Jamais une seule fois je n'avais oublié de fermer ce rideau dans la salle de bain. J'étais tellement paranoïaque avec ce genre de chose, et je crois que j'étais si mélanger dans mes émotions depuis hier que c'était certainement pour cela que j'avais oublié de le fermer. 

Juste à penser que cet homme de l'autre côté me regardait depuis mon entrée dans la salle de bain, j'en avais des frissons qui me parcouraient le corps. Il y avait amplement d'homme malsain dans ce monde qu'à la moindre occasion, il prenait leur temps pour observer, par exemple comme moi, une fille parfaitement nu alors qu'elle prenait paisiblement son bain. 

J'enfilai précipitamment ma robe de chambre et je quittai la salle de bain, réellement en colère contre cet homme. 

Je descendis, entra dans ma chambre sans fermer la porte puis je me suis assise sur mon lit pour décompressé quelques minutes.

Pourquoi ce genre de chose arrivait-il à moi depuis hier? Des choses qui ne s'étaient d'ailleurs jamais produit dans ma vie. Tout m'effrayait et je ne savais tout simplement pas pourquoi. Tout allait si bien jusqu'à ce qu'A.J vienne foutre en l'air notre couple. 

J'avais cru pouvoir m'endormir avec la conscience tranquille ce soir-là puisque j'étais enfin libérer de mon mensonge, or, il avait fallu qu'un nouveau voisin vienne m'observer en cachette pendant que je prenais mon bain. 

Quelle journée de fou! 

Si je parlais de l'événement de la salle de bain à ma mère, je savais qu'elle allait s'affoler et qu'elle ne voudrait plus me laisser sortir seul ou rester sans surveillance à la maison. Je ne voulais pas qu'elle en arrive là, donc, je décidai de ne rien dire à ma mère à propos de ce voisin louche. 

Je savais que je ne connaissais pas encore ce nouveau voisin, mais avec ce que j'avais entendu et ce que j'avais vu de mes propres yeux, il n'avait rien à son avantage. 

Ce soir-là, j'avais les idées toujours secoué, bien sûr, à cause de ma rupture avec A.J, mais aussi à cause de cet homme qui m'avait observé à travers la fenêtre de la maison à côté de chez moi. 

Tant de chose s'était produite aujourd'hui, que je me demandais vraiment si ce n'était pas rien que le destin qui était responsable de ça. 

Avant de fermer l'œil, j'avais continué la lecture de mon livre que je lisais presque tous les soirs avant de m'endormir. ça m'aidait à oublier mes idées négatives et d'entrer dans l'histoire. Il n'y a pas de meilleur moyen pour tout oublier. 

Vous connaissez le livre « Le test » de Stéphane Allix? Je le considère comme l'un de mes livres favoris jusqu'à présent. Ce roman parle entre autre de la preuve de l'après-vie. Celui-ci s'interroge sur la question et soumet 6 médiums qui devront découvrir, grâce à leur don de médiumnité, ce que cet homme a laissé dans le cercueil de son père, tout en communiquant avec lui. Bref, je ne vous raconterez pas tout en détail si jamais ce livre intéresse certaine personne. 

Je suis passionné par ce type d'histoire, la médiumnité, les spectres, les disparitions... tout compte fait, j'adorais ce qui entourait l'univers des morts. Pas parce que j'avais envie de mourir, pas du tout, au contraire, je devais apparemment être comme tout le monde, une personne qui avait une peur féroce de la mort. Cette chose nous reste inconnu à chacun de nous et nous avons tous peur, par contre, je crois que nous sommes tous intrigué à la fois par ce qui pourrait suivre l'après-vie. 

Ma grand-mère maternelle est décédée lorsque j'étais très jeune, ce qui faisait que je ne l'avais pas vraiment connu. Du moins, je n'avais pas l'âge pour comprendre encore ce que c'était la mort. 

Ma mère m'a dit qu'elle était une grande chanteuse d'opéra et qu'elle croyait même qu'elle m'avait transmise son don de la musique. Ce n'était pas de l'opéra pour moi, mais je jouais de la guitare, ce qui fait partie de l'univers de la musique. 

Ma mère m'a dit que lorsqu'elle est décédée, j'avais environ 3 ans. Selon ce qu'elle me raconte, j'étais très proche d'elle et qu'elle s'était énormément occuper de moi lorsque j'étais encore bébé. 

Les jours qui suivirent la mort de ma grand-mère, je demandais à plusieurs reprises à mon père et à ma mère où se trouvait ma grand-mère. Ma mère m'a dit qu'elle répondait « elle est partie faire un long voyage ». 

Je ne sais pas si ma passion pour l'univers des défunts en est sortie justement à cause du décès de ma grand-mère. Ma mère m'a dit que c'était fort probable, même si je ne me souvenais pas d'elle. 

Après avoir lu une dizaine de pages de mon livre, mes yeux commencèrent à se fermer seul, très tranquillement. 

Je fermai mon livre et le déposa sur ma table de nuit à côté de moi, trop épuisé. Très courtement, je trouvai le sommeil, n'ayant plus la force de penser à quoi que ce soit de mauvais.

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