Poème

Moins d'une minute de lecture

Solitude, te voilà éprise de moi,

Je n’ai pas choisi de t’avoir pour miroir,

C’est toujours toi qui me colle à la peau,

Tu t’immisces en moi une fois de trop,

Ecrase mes poumons et mon souffle,

Tout change en ta présence,

Aussitôt mes sentiments se camouflent

Et je continue à chercher le sens

J'ai eu envie de rire aux vents contre les tempêtes

Mais toi qui me colle trop franchement, tu me rends incomplète,

Solitude, tu m'apportes l'écriture verve,

Une face positive que tu conserves.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Esther Éo ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0