220 - rien de mal
En peau à peau, nues l’une contre l’autre, elle me boit. Puis elle remonte humecter mon cou de mon lait et continue sur mon visage pour trouver ma bouche et partager son repas, une occasion pour un baiser langoureux. On ne fait rien de mal. Sa main descend sur mon ventre et je sens son agréable petit doigt entrer en moi. On ne fait rien de mal. Je l’encourage de mon côté en répondant d’une invasion entre ses fesses. Comme elle est soyeuse ! On ne fait rien de mal. Elle redescend me masser le ventre avec sa bouche et sa langue. On ne fait rien de mal. Finalement je la retourne et je plonge mon visage dans son fondement pour découvrir le vrai goût de ma Jessie et entendre pour la première fois ses gémissements de plaisir. On ne fait rien de mal. Je la laisse reprendre son souffle et je passe dans la salle d’eau me laver le visage avant de lui demander :
- On ne fait rien de mal ?
- Non Paloma, et tu sais pourquoi ? On n’a pas joui. On a juste prise un peu de plaisir, dans un repas intime. Tu me nourris comme une maman.
Elle pose ses mains sur mon visage, son front contre le mien, ferme les yeux et me fait plein de bisous.
- Elle te fait jouir, Édith ?
- Oui, tout le temps. Elle sait y faire. Et avec le brisim, c’est facile. Et toi ?
- Mary est pleine d’amour mais elle est encore un peu asexuelle. Mais pour moi ce n’est plus ça qui compte, c’est tout le reste, autour. J’ai eu ma dose de perte de conscience dans ma vie d’avant. Maintenant je reste en pleine conscience de mon plaisir.
- Ça a l’air bien. C’était bien. On peut en rester là alors, et recommencer. Montre-moi, autre chose.
D’une main je dégage son visage de ses beau cheveux blonds pour voir ses jolis yeux bleus. De l’autre, ma main descend sur son ventre et d’un doigt je découvre doucement son intérieur. Elle ouvre la bouche pour inspirer avec son regard étonné dans le mien et je la masse doucement. Ses yeux se révulsent, ma langue va chercher la sienne où je répète les mêmes mouvement qu’en bas. On ne fait rien de mal. On ne joue pas aux échecs ce soir là. Et en confession sur l’oreiller, Mary prend une décision :
- Je ne veux pas rester au même niveau que Jess. Sors le brisim, on va jouir toute la nuit.
- Tu es sûre Mary ? Si tu veux pas le faire, tu le fais pas. T’es pas obligée.
- Bien-sûr que si. Devoir conjugal. On ne peut pas rester comme ça. Je ne peux pas te laisser comme ça. Je dois te faire jouir Paloma. Tu es ma femme.
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