Une nouvelle vision de la vie :
Lorsque j’ouvre péniblement les yeux, je suis entre Giulia (droite) et Arnaud (gauche) j’ai la main de poser sur son torse, je retire le main, mon visage se tourne, Giulia ouvre doucement les yeux, on dirait une marmotte, elle est belle.
Giulia (chuchotte) : bonjour ma belle (sourire).
Moi : bonjour Giulia,
Giulia : as-tu bien dormi ?
Moi : comme un bébé.
Elle me caresse le visage.
Giulia : tu es tellement belle.
Nos lèvres se collent une nouvelle fois, on se décolle lorsqu’Arnaud bouge juste à côté de nous.
Moi : oh.
Giulia retire la couette, Arnaud est colle contre moi.
Giulia : il bande encore, reste la grosse bite.
Moi : énorme.
Au bout de quelques minutes, il ouvre les yeux.
Arnaud : bonjour les filles.
Giulia et moi : bonjour grosse bite.
On rigole tous ensemble.
Arnaud : on dirait que vous êtes en forme. (sourire)
Giulia (en lui attrapant le pénis) : moins que toi mon cœur.
Une nouvelle fois, on rigole.
On s’allonge sur le lit, sans bouger, sans rien dire, nous sommes bien, on pourrait rester ici tout le reste de notre vie.
Jusqu’au moment.
Giulia : vous allez me prendre pour une folle.
Moi : mais non, car tu es déjà folle.
Arnaud et moi, nous rigolons, elle nous saute dessus et pendant cinq minutes, on se chamaille.
Giulia : j’ai pris un plaisir à faire l’amour cette nuit, qui est tellement puissant, j’ai eu l’impression que plusieurs fois mon cœur aller s’arrêter, vous m’avez donnée des orgasmes tellement surnaturels, j’avais l’impression de ne plus pouvoir contrôler mon corps, mes pensées mes envies (elle regarde le plafond puis elle reprend.) j’ai eu l’impression que quelque chose avait pris le contrôle de mon corps... J’ai adoré sentir vos mains qui se baladent sur mon corps.
Moi : j’ai adoré, et je partage tout ce que tu as pu dire Giulia, et la surprise de trouver une aussi grosse queue, merci à vous deux.
Arnaud : ouais, merci, je n’en reviens pas, je rajouterai une chose, j’ai eu plusieurs fois l’impression que nous n’étions pas seules.
Moi : ouais, qu’il avait quelqu’un avec nous.
Giulia : oui.
Nous avons un frisson en même temps.
Nous regardons le plafond, sans dire un mot.
Deuxième verrou déchirer...
FIN.
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