Nous allions faire un tour voir débattre dans l’assemblée.

Il y avait beaucoup d’idées divergentes et des votes de lois pour des règles juste de nos sociétés.

En situation de crise, les élues firent de leur mieux, mais pour le peuple … ce n’est jamais assez.

« vous pensez que vos réformes vont changer le monde !? » Crie un élu de gauche.

Les débats étaient peu constructifs et le ministre de l’intérieur était imposant.

Certains députés dormirent, d’autres lisèrent, d’autres écoutèrent attentivement.

« Comment peut-on faire confiance à des gouvernements pareils qui dissimulent tout ! C’est de la censure ! » Dit un élu de droite.

« Car vous, vous dissimulez aussi ?! » répliqua un membre du gouvernement méprisable.

« L’avenir de l’agriculture est en jeu ! Et ces pesticides, vous y travaillez ? »

« J’y réfléchis tous les jours ! »

Sans cesse du répondant vers des idées opposantes et assez extrêmes !

C’était un combat de joutes sans fin.

Les lois firent partie de la recette de l’alcool, c’est l’opium du peuple.

Certains quittèrent la salle et parlèrent aux journalistes.

Adrien s’engagea dignement à critiquer tous les dits gouvernements.

« Nous sommes en démocratie, oui où non ? On nous fait des mirages, des promesses non tenues depuis des décennies !

On doit défendre le peuple et la civilisation, pas le contraire !

Pourquoi les gouvernements n’agissent pas face aux peuples ?

Il donne des somnifères et endort le peuple. Merci ! »

Et puis nous sortions de l’assemblée, on allait discuter près des Champs-Élysées.

« Les lois sont-elles preuves d’une liberté ? »

« Je ne sais que dire, nous philosophons depuis des heures, et aucune philosophie n’est juste ? »

« Il y a des généralités utopiques pour mettre en pratique ces lois. »

« Les lois permettent de mieux vivre mais renferment des règles que nos dirigeants passe au-dessus.

Qui doit gouverner, le peuple, le chef du gouvernement, le dirigeants, nos magistratures judiciaires où les lois ? C’est un algorithme inexact ? »

« De très bonnes interrogations encore en suspens, obéis t-on à des lois où des hommes ?

« Sommes-nous libre de nos propres libertés ? »

« On ne peut pas faire n’importe quoi dans ce monde, les dirigeant le peuvent. » Continua Fannia perplexe.

« C’est comme je t’avais expliqué, l’alcool où les gouvernements c’est une montée en puissance puis une violente descente aux enfers.

Il y a de la liberté que si on la demande. »

« Où est la liberté quand les lois sont bafoués ? »

« Toujours pessimiste ... »

« Réponds ! »

« Les lois sont justes et demeurent inviolables car les fonctions seront là pour protéger le peuple. »