1 : Impact.

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 - Je suis morte, je n'en reviens pas, je suis morte !?

 Je regarde autour de moi, je vois ma voiture complétement foutus. Je peut en dire autant de mon corps. Je ne reconnais même pas mon visage. J'entends une sirène, sûrement l'ambulance qui arrive. Je n'aurais pas due rouler aussi vite. Je roulais trop vite, vraiment trop. Regarder mon téléphone en même temps non plus n'a pas aidé. Voilà pourquoi il ne faut lire un message au volant. Frachement, mais quel con je suis !

 - Salut.

 Je sursaute. Qui m'a parler ? je me retourne et vois une jeune fille, elle ne dois pas avoir plus de quinze ans. Elle est grande, brune mais sutout, je remarque une grande brûlure sur son visage, ses vêtements ont l'air d'avoir pris feu eux aussi. Je la regarde, je ne peux détacher mon regard de son visage.

 - Je sais, dit-elle, ca fais peur hein ?

 - Non, c'est juste que..., lui dis-je.

 Je ne sais pas quoi lui dire. Je ne sais pas si je ne suis pas en plein délire. Ce doit être cela, je suis bien blesser et mo cerveau tente de me montrer quelques chose d'iréelle pour ne pas affronter le réelle. Je regarde autour de moi, je ne vois plus ma voiture, je ne vois plus mon corps, je ne suis plus cette route ou j'ai heurter un arbre de plein fouet. Ma voiture était dans un salle état, moi aussi.

 - Ca fais bizarre n'est-ce pas, me dit la jeune fille, j'ai été choquée moi aussi. Le plus dure, c'est les premiers temps, ensuite, à force d'oberver ce que nous aimons ca va mieux.

 Je reste sans voix. Comment peut-on aller mieux alors que nous sommes mort ? Comment observer ses prche peut nous faire aller mieux ? Je ne pense pas que cela aide, au contraire, je sais que je m'en sentirais plus mal encore. Le fait de les voire et peut-être de les entendre ne me ferais pas aller mieux, au contraire, ne plus pouvoir leurs parler, les prendre dans mes bras me serait inssuportable.

 Je pense à ma mère, à mon petit frère que je devais retrouver à la piscine. Des amis également allaient venir. Ils vont tous m'attendre mais je ne vais jamais arrivée. Qui va les prévenir ? Les pompiers qui auront trouver ma voiture ainsi que mon corps sans vie dans la voiture et déformer par l'impacte ? Je me retrouve de-nouveaux près de ma voiture, je vois les médecin tout tenté pour me sauvé, mais leurs tentative reste vaine, a machine émét un bruit strident.

 - C'est fini, dit un homme.

 - Son téléphone est à l'avant, annonce une femme.

 Je vois la femme se saisir de mon portable et le dévérouiller. Une chance pour eux que je n'ai pas de code. Elle appelle le dernier numéro que j'ai composé - maman.

 -Bonjour madame, dit-elle d'une voix calme, connaissez-vous une jeune fille brune conduisant une voiture rouge de type C ?

 Je n'entends pas la réponse de ma mère, mais je pense qu'elle affirme que oui, qu'elle donne mon nom et demande si elle a donner le bon numéro de plaque minéralogique. Elle sait désormais que la femme parle de moi, elle doit se demandé si je vais bien, si je ne suis pas blesser. Mais oui, je suis blesser, et non, je ne vais pas bien puisque je suis morte.

 J'entend un cri, ma mère hurle lorsque la femme lui dis que mon corps gisais dans l'abitacle de ma voiture, que je ne réspirais plus, que je ne suis plus. La femme écartemon téléphone de son orreille et je comprends que ma mère hurle encore. Je voudrais tant lui dire, que non, je vais bien, que je n'ai pas eus d'accident mais surtout que je ne suis pas morte. Pouvoir la prendre dans mes bras et lui dire que ces personnes se sont tromper, que ma voiture aura étévolé, mais je ne peux pas faire cela.

 C'était bien mon téléphone que cette femme tenait.

 C'était bien voiture qu'elle à vus complétement enfoncé à l'avant.

 C'était bien mon corps dans cette voiture. Défomer et inerte, sans plus aucun souffle de vie.

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