les yeux revolvère
Beaucoup ont voulus tuer d'un simple regard. Beaucoup s'esclaffe de cette expression, le regard qui tue n'existe pas pour eux. Malheureusement pour moi, oui.
Cela tombais bien pour une fois, ma vie n'avais pas été douce, battu par ma mère et abandonnées quelques années plus tard sous les coups de mes deux parents. Je n'ai jamais compris pourquoi ils m'en voulaient tant tout les deux, pourtant je les ai laissés vivre, je les ai traîné en justice et j'ai remporté ma bataille.
Maintenant, j'attends. J'attends que leurs peine soit faite et je les tuerais. Oui, ils vont comprendre ce que cela fais de connaître la douleur des coups. Ils savent ce que c'est d'être rejeter puisqu'ils m'ont tout deux demandés de l'aide. Que je vienne les voire, mais ne voulais pas leurs donner ce plaisir, non, je voulais qu'ils souffrent, et il souffre encore. Je leur renvoie tous les courriers que je reçoit, je ne leur répondrais jamais.
J'ai découvert quelque chose lors de mes années dans les rues, j'ai dûe voler pour ne pas mourir de faim, pour m'habiller chaudement l'hiver et assez lerèrement l'été. J'ai bue des litres d'rau dans les fontaines de la ville,également lavée dans certaine d'entre elle, ainsi que dans le riusseau. J'ai cassés des carreaux dans des maisons pour dormir queques rares fois dans un lit, pour ne pas terminer geler au matin, pis encore, morte.
Non, je ne le pouvais pas, je devais leurs faire comprendre et dans quelques minutes, je vais le pouvoir. J'imagine que mes parents se trouvaient ravit d'apprendre que je venais les chercher à la sortie du centre pénitencier. Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'ils ne passeront pas la nuit dans un bon lit douillet.
Non, ils dormiront à même le sol, dans la cave avec la poussière, les toiles et sans doute quelque rats, je ne sais pas. Pas de chauffage ni de couverture, encore, ils sont chaceux, ils pourrons se blottir dans les bras l'un de l'autre pour tenté de se réchauffé. Moi, je n'avais personne, pas même un doudou pour tenté de me faire croire qu'un jour, cela changerais.
Je les vois devant la grande porte de fer grise, elle se referme derrière eux en un claquant. Ils sursautent tout deux. J'avance vers eux sans un sourire, sans une once d'amour, je les hais, ca oui, je les hais. Je leurs ordonnent de me suivre, pas de politesse, ils ne savent pas l'employer, ils n'ont jamais sue.
Je monte dans la voiture et démarre, je vais vers la maison. Je l'aime bien ma maison, elle est spécial. Je l'ai amménager pour leurs arrivé. J'ai fais fabriquer la cave, elle est grande, elle est sombre mais surtout, elle est isoler, personnes ne pourra les entendre s'ils vennaient à crier pour demander à l'aider. Personne ne m'entendais de ma plus tendre enfance à l'âge de mes quatorze ans.
J'ai réussis, j'ai fuis loin, j'ai tavailler jeune et je les aient accusé de maltraitence, j'ai remporter la bataille grace au médecin qui m'a suivis durant des année pour mes blessures passé.
J'ai décidée de ne pas attendre, je les ais conduis dans le bois proche de chez moi. Approcher du puis était simple, les faire regarder à l'intérieur tout autant. En une segonde, il était morts. Je ne comprends toujours pas comment je fais, je les imagine mourire sous mon regard et cela ce produit. Je ne comprends pas, cependant, je ne dis pas non.
Mes parents était morts, pas seulement dans ma tête.
Aujourd'hui, cela est réele, j'ai le coeur libérer.
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