Regard sépulcral, ombre l’horizon.
Chemins pollués d’une civilisation,
Enfermée dans un quotidien d’habitudes.
L’illusion enjôlante, éclipse leur solitude.
Des larmes de desespoir aux pièges de lumières,
Vision dans l’avenir assène des envies austères
L’étang grisé, usines donnant des nausées
Je mire l’hécatombe d’un naturel atrofié…
Un bourgeon de soleil illumine ce voile
Comme un artiste peint une toile,
Il attire l’oeil sur des majestueuses banalités
Pare les nuances enfumées en immaculées.
Vivifiée par des cris de gabians,
J’en oublie l’avenue Francis Turcan.
Contemplant les reliefs des jardins
Papillons aux ailes enluminés au loin
Genêts, jasmins et oliviers.
Rêvant au seuil des volets,
D’une métamorphose tel un soir
Et son lendemain. Oh l’espoir
Que ce lieu devienne une merveille
Pour tous ceux qui s’y réveillent.