24.
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Résonnent les échos, tristesse de mon désarroi, quand vient l'obscurité d'une nuit d'hiver.
L'Ombre purpurine enserre ma gorge lorsque les souvenirs s'étalent sur une étendue sans lueur.
La solitude noircit mon cœur veiné d'éther nauséabond.
Dès lors que le silence s'installe, les hurlements de mon âme brisent le calme, fendent les cieux en pleurant l'amertume d'une vérité inavouée.
Et, qu'en est-il des secrets que l'on tait pour apaiser les esprits esseulés ?
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