Prologue : Cela n'est plus...
- C'est fini !
Voilà ce que je pourrais venir à te dire un jour.
***
Je n'en peut plus, Je ne supporte plus de prendre des horreurs dans le geule, je ne supporte plus que tu me rejette toujours la faute de tout dessus parce que tu as passer une salle journée, parce que tu es de mauvaise humeur, parce tout, parce que rien. De toute manière cela ne change pas et ne changera jamais.
Cette fois, vraiment, je suis à saturation, tu ne peux pas me balancer des horreur sans cesse et recommencer encore et encore et penser que je te pardonnerais toujours parce que je t'aime. Parce que meme si je t'aime, je peux décidé que trop c'est trop.
Cette fois pourquoi, parce que le chat c'est coincé dans un sachet en papier, la fois dernière c'est parce le petit t'as demander si tu avais fini, pas méchament, mais seulement parce qu'en ce moment il ne te voit pas, rien de mal à cela, mais pour toi, tout est toujours mal venant de notre pars, mal dit, mal fait, pas comme tu veux, pas comme toi tu aurais fais, et cela n'est jamais suffusant quoi que l'on fasse. Alors, puisque j'en ai marre, parce que j'encaisse toujours et encre, et que chaque fois tu recommence, je n'en peux plus.
Puisque tout te casse les couilles, que se soit moi, mon fils, mon chien, mes chats et mes affaires, ou je ne sais trop quoi encore. Parce que le petit fais trop de bruit, trop de bêtise, trop de vie, trop de question "idiote" , trop de vie dans TON appartement, dit toi bien que ta fille aussi le fera, mais bon, je dis ca, je dis n'importe quoi, comme toujours. Mon chien, parce qu'elle fait des conneries, mon chien n'est parfait, mes chats non plus, moi non plus.
Tu dis que tu as ton franc parler, oui, d'accord, mais balancer des horreur pour s'excuser trois plombes plus tard, quand excuse il y à, ca ne fonctionne pas, ca blesse, ca reste, ce n'est pas une fois que c'est excuse sont faite, c'est oublier et cela ne fait plus mal. Non, ca ne fonctionne pas comme ca !
Alors puisque j'ai toujours les doigts dans le cul, que je dois enlever ce poile que j'ai dans la main, et bien je vais le faire, c'est pour cela que des que possible, je m'en vais avec mon fils qui te casse les couille, mon chien qui te casse les couilles, moi qui te fais chier parce que je prends toujours la défence de mon fils, de mon chien, et que j'ai ma vison des choses qui je le pensais autrefois était la même que toi, mais je réalise que désormais, non, elle est bien loin. Cette vision ou je me prends des merdes dans la gueule seulement parce que tu es enerver, seulement parce que rien ne te conviens, alors, ta liberté tu l'as.
Je vais reprendre la mienne des que je le pourrais, et je vais me demerder pour partir.
Tu les auras tout tes moment pour te poser, puisque tu ne nous entendra plus !
Tu l'auras la paix a longueur de journée, nous ne serons plus la pour te faire chier.
Tu l'auras ta parentalité exclusive, je vais seulement m'en voiloir pour la petite, elle va penser que je l'abandonne, alors que ce n'est pas cela.
Tu l'auras ton appartement qu'avec tes animaux, les miens ne te ferons plus chier.
Tu l'auras ton calme que tu aime temps, nous ne serons plus la.
Tu pourras etre certain que le petit ne touche plus à rien chez toi !
Tu pourras passer tout ton temps sur le tel et l'ordinateur et devant la télé ou a dormir, je ne dirais plus rien, je ne serais plus la pour remarquer que je suis la sans être la pour toi, parce que même m'écouter tu ne le fais pas.
Tu pourras profiter de tout ce que tu ne peu pas parce que nous sommes la et que nous te dérangeons.
Tu pourras te dire que ce sera comme m'avoir laisser dans ma merde, comme tu l'as si bien dis, parce que tu n'auras plus de nouvelle, comme si nous n'avions jamais été là chez toi !
Tu pourras te reposer comme tu le veux, quand tu veux, si tu le veux ou nous, nous ne le verrons pas et le petit n'auras pas à rester en image.
Tu pourras tenté de trouver quelqu'un qui te supportera, et ce n'est pas gagné vu comme tu es. Tu trouvera bien une personne qui ne ralera pas pour les chaussette salle qui traine, pour ton couvert que tu ne débarasse pas, pour tes rot, tes pets et tes vulgarité à longueur de journée, une personne sans enfant qui ne vera pas que tout cela n'est pas compatible avec le fait d'élever des enfants ( ou du moin, une, seulement la tienne)
Alors, voilà, c'est fini, je ne veux plus que tu me parle puisque chaque fois c'est pour me balancer des horreur.
C'est comme l'histoire que j'ai écrite, tu ne la finira jamais, tu n'aime pas lire, même cette lettre je supose que tu ne liras pas jusqu'au bout, ou alors, peut petre que si, mais bon, ton cadeau c'est domage qu'il ne soit pas tangible, j'y aurais foutus le feu!
Ton linge, tu le lavera toi même, tu n'auras plus l'occasion de raler parce que je n'aurais pas eus le temps de tout faire dans la journée, tu ne pourras t'en prendre qu'à toi même !
Pour tes repas aussi, rien ne sera pret quand tu rentrera parce que je ne serais pas là pour le faire quand tu sera rentrée parce que tu as eus ta journée de boulot, ainsi que ton linge laver, plier, ranger, parce que tu devra le faire toi, comme avant, puisque aparement, c''était mieux quand je n'étais pas la pour te faire chier à longueur de journée !
Alors trouve toi une femme qui acceptera tout ces points là :
- Ton humeur qui est toujours cassante et blessante,
- Tes chausette qui traine tout le temps,
- Ton assiette que tu ne débarasse pas,
- Ton attitude avec les enfants qui ne sont pas les tiens,
- Les différence que tu fais,
- L'indifférence que tu donne et que tu refuse quand pour une fois c'est pour toi,
- Les choses qui ne sont pas faite comme toi tu le veux et quand tu le veux,
- Le fait que le ménage est fait mais que tu trouve toujours un truc a redire, et jamais un merci,
- Qui passe plus de temps sur le numérique qu'avec les personne qui vivent chez toi,
- Une personne qui acceptera ta fille et "ton fils"
- Qui accpetera et pardonera quand tu mens et que tu cache des choses
- Le fait que quand toi tu es fatigié tout le monde doit la fermer, mais quand les autres en ont besoin tu fasse tout de meme du bruit
- Le fait que tu cris sans arret pour tout et pour rien,
- Ta méthode d'éducation également,
- Ta notion de vie privée, qui n'existe casiment pas
- Le fait que tu dise sans arret des ros mots
- Que tu rote et pete sans arret, c'est impoli mais bon, tu t'en fou
- Le faite de raler comme un gamin alors que tu le reproche au enfants
La liste est trop longue et j'en ais marre d'énumérer tout cela, j'arrete la parce que cela fais déjà beaucoup.
J'en viens à ce qui me frappe à cette instant, en réalité, met toi avec une personne avec qui tu ne vivra jamais à plein temps parce que peu de monde on asser de patience pour te supporter et accepter tout cela sur la durer.
Comme tu l'as dit :
- Tu aurais du me laisser dans ma merde,
- Je dois m'enlever les doigts du cul,
- Je dois aussi enlever le poil que j'ai dans la main
- Je prends toujours la déffence du petit
- Je dis n'importe, très souvent, alors je vais la fermer
- Au tel, t'as l'impression que ca me fais chiier,
- Mon chien te casse les couilles,
- Mon fils te casse les couilles,
- Je te casse les couilles,
Attends, laisse moi deviner, a cette instant encore une fois je dis n'importe quoi. Pourquoi cela changerais après tout, les effort t'en à fais bien asser, c'est vraie que la vie de couple c'est toujours tout dans ton sens et jamais dans celui des autrs, alors à quoi bon.
Alors, après tout cela, ne t'etonne pas que je ne te parle plus, que je change de coin quand tu es là, que je fasse ce que j'ai à faire dans la maison parce que je ne suis pas chez moi, mais chez toi et que nous devons suivre tes règles, mais pour combien de temps encores ?
Demande toi pour une fois si un jour en rentrant du travail tu ne pourrais pas trouver ton appartement vider de mes affaires, de celles de mon fils ainsi que de mes animaus pour que tout dela ne te casse pas les couilles lorsque tu rentrera, bien sure, j'aurais pris la peine de tout nettoyer derrière histoire que tu ne trouve pas encore un tru à redire, mais je ne suis même pas certaine que cela te ferais verser une larme. Non, tu reprendrais seulement ta vie comme tu la vivait avant et elle était surement mieux que de t'encombre des gens et d'animaux qui te casse les couilles, qui font du bruit, des bêtise, qui sont là sans cesse et qui t'enerve à longueur de temps, à qui tu ne parle pas souvent pour leurs dire du bien, mais très souvent pour hurler et dire des mots blessant.
Toi tu oublie, moi je n'oublie pas, j'encaisse, et je n'en peu plus de tenté de prendre sur moi alors que tu es loin d'être la meilleur personne du monde. Tu parles sans cesse des autres, mais regarde toi vraiment avant de me dire que je ne suis pas parfaite.
Je ne suis pas comme toi, et je me dis qu'heureusement, parce qu'à ma place il y longtemps que tu aurais tout envoyer bouler, que tu aurais dis stop, je n'en peux plus ! Que tu te serais casser je ne sais pas combien d'os en frappant je ne sais combien de fois dans les mure ou tout et n'importe quoi à ta porté, que tu aurais crier je ne sais combien de fois que tu ne dis pas que de la merde. Que tu es une personne et que l'on ne peut pas te parler comme toi tu le fais au autres et toujours avoir le sourire, non, tu aurais déjà fais ta valise et pris tout ce qui est à toi et partir.
Et je ne suis peut-être pas celle faite pour toi parce que j'ai mon fils, mes animaux, mon caractère que tu ne supporte pas tout cela. Parce que je ne suis pas comme toi, que je ne vois pas les choses comme toi, alors non.
Alors, maintenant, fait comme tu fais toujours, laisse ca dans un coins ou fou le à la poubelle, moi avec pourquoi pas, parce que tu fais tout pour que je prenne mes distance avec toi. Tu gagnera peut être ta tranquillité une fois que je serais arriver à saturation. Ce risque de ne pas tarder quand je vois que chaque jour je me demande ce que je vais prendre comme crasse dans la geule, aujourd'hui c'est fait pour un putain de bout de papier. Il y a deux jour seulement pour une question normal venant d'un enfant, mais bon, puisqu'on te fais chier...
Alors ne me parle plus au moins je suis certaine que je ne prendrais plus de chose géguelasse dans la gueule.
Ne me demande plus rien (celle là aussi tu l'aime bien de phrase, pour une fois, elle pour toi, ca te fais quoi ?)
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