"La mort n'est pas la pire chose de la vie. Le pire, c'est ce qui meurt en nous quand on vit", Albert Einstein.

Et ce qui meurt en nous quand on vit, c'est l'envie. Car pour vivre, il faut avo...

Eh mais t'es revenu ?! Comment as-tu osé ? Bref, je m'en fous, je t'ignore !

Pour vivre, il faut avoir envie, et pour avoir envie, il faut avoir la beauté, et pour la beauté, il faut l'envie, donc c'est un théorème complexe impraticable que se sont déjà posés pleins de penseurs.

Tenez, les Philosophes des Lumières : Sans eux, il y aurait encore l'esclavage, la monarchie absolue - et Dieu sait que cela n'a rien changé pour certains pays.

Ce que j'essaye de vous dire, c'est qu'avec la hausse constante du thermomètre, de l'inflation, et des pollutions par dioxyde de carbone et monoxyde de carbone, notre espérance de vie diminue, inverse pour celle de la mort.

Et qui sait, peut-être que la mort est une chose qui n'est pas aussi joyeuse que nous font penser les films ou livres. Si Bernard Werber l'a radoucie, ce n'est pas pour rien.

Imaginez un couteau dans votre gorge : vous passez le seuil du cap mortel, et vous atterrissez...dans une boucle temporelle infinie...

Cela vous plaîrait ? Pas moi.

Pourtant, on nous rabâche ç'a toujours, dans la Bible, à l'église, cela en devient plus lassant que les journaux télévisés, JT.

Ce que je veux, c'est que le monde s'arrête, pour vérifier comme dans une chirurgie corporelle les dégâts qu'il produit. Sauf que mon souhait est trop loufoque...pour se réaliser.

Ce n'est plus mon problème si tu lis ç'a, et que dans 20, 30 ans, la Terre s'arrête de tourner ou bien implose, provoquant des pertes de gravité et des projections à 30km/h.