" Il y a certainement des gens heureux de vivre, dont les jouissances ne ratent pas et qui se gorgent de bonheur et de succès", Emile Zola.

Si aujourd'hui je cite Zola, c'est pour faire oublier au monde le réchauffement climatique, qui en une année, augmente de 1, 52 degrés. C'est trop énorme pour l'ignorer.

Quand on pense aux étés caniculaires que nous passons, et aux hivers froids ou parfois chauds que nous avons, nous nous demandons réellement si cela en vaut la peine. Pourquoi tant s'embêter - et c'est là que je deviens mathématique.

Normalement, le seuil climatique maximal où l'humain peut vivre est de 50°C. Passé ce seuil, vous pouvez dire au revoir à la Terre.

Si les pots d'échappements, les gaz toxiques industriels, les chauffages, les moteurs et les cochonneries climatiques continuent de tourner et de se produire, il y aura de sérieuses mauvaises prévisions mondiales dans sans doute 10 ans voire 5. Alors, espérons un monde sans cette angoisse constante, où le monde serait immortel, et continuerait sa vie avec la morale suivante : on est trop angoissés pour ce que l'on mérite.