"L'économie mondiale s'est quasi arrêtée. Notre première priorité est donc d'abord de reconstruire une économie forte, écologique, souverraine et solidaire", Emmanuel Macron.

Inflation, économie, misère, argent, classe sociale, bourgeoisie, richesse, popularité, capital, fond...

Que de mots qui mettent de l'eau à la bouche, mais n'y croyait point. Si le président de la République se paye le salaire de Elon Musk chaque mois, si Jamiroquai a su se payer une Lamborghini Diablo, si Michael Jackson est devenu King of Pop, si Bill Gates a pu fonder Microsoft et créer le premier ordinateur de jeux vidéos "Xbox", c'est en partie sur les fondations de misères qu'ils se sont basés.

Ce que j'essaie de dire, c'est que pendant que certaines personnalités (politiques, richissimes, populaires) jouissent de leur bonheur, d'autres misérables se retrouvent à la rue à cause de l'argent, et de l'économie mondiale.

"Donnez leur de la brioche", aurait dit Marie-Antoinette à son peuple, en 1789. Je n'y crois pas, et si elle avait mesuré l'agressivité de ses paroles, elle ne les auraient jamais prononcées.

Comprenez-donc vous que quand vous êtes assis devant cet ordinateur à lire, 330 000 français meurent dans une vie misérable, ramenée au Moyen-Age ?

Prenons l'exemple de l'Etat, qui croit que l'économie s'effondre en même temps que le PIB, alors que des millions de gens souffrent dans leur coin, à boire de pauvres bouteilles d'alcool et à sniffer de la coke en cachette ?

Et, pour revenir au titre de ce chapitre, prenons aussi l'exemple de l'inflation, et du shirinkflation (si rien fonctionnait). Le titre que je lui donne s'accorde parfaitement à cette méthode caricaturale, qui consiste à augmenter la valeur de l'objet quand le poids ou la quantité diminue.

L'inflation, c'est au même niveau : perte du niveau d'achat qui se caractérise par une hausse des prix. Cessez cela, ou le monde battra de l'aile, et finira comme Hemingway ou Hugo : dévasté par le monde.

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