Chapitre 13
Ce que je déteste le plus depuis que j’ai ramené Cynthia au sous sol, ce sont les gens. Moi qui adorait croiser du monde, maintenant je n’ai plus qu’une envie, vivre sans plus jamais croiser personne.
- Salut Max ! Crie mon voisin
- Salut Mathias, tu vas bien ?
- Ouais super, t’as vu ma nouvelle voiture ?
Mon voisin est entrain de m’expliquer toutes les options de son nouveau joujou alors que j’ai juste envie de rentrer chez moi.
- Tu veux que je te file un coup de main pour rentrer tes courses ? Me demande-t-il.
- Non c’est bon ça va aller, t’inquiète.
Dans le lotissement, on est environ une quinzaine de maison, je fais partie des plus jeunes, mais la banque a accepté mon prêt et j’ai pu acheter cette superbe maison sur sous sol. Je voulais la louer à la base et puis y a eu Cynthia, tout a été très vite dans ma tête, finie la coloc, bonjour la vie à deux. J’ai aménagé tout le sous sol pour l’arrivée de Cynthia. Le reste de la maison étant en très bon état j’ai pu y vivre de suite, un jour il faudra sûrement rafraîchir un peu mais on verra ça plus tard.
J’ai fait quelques courses, j’ai pris quelques magazines et un bouquet de fleur pour remplacer le sien. Puis je suis passée chez elle pour lui prendre quelques produits de beauté et des vêtements. J’ai trouvé ses clés dans son sac, sa maison est très accueillante, pas très grande donc j’ai pas eu besoin de trop chercher, j’espère que ça lui plaira ce que j’ai pris. J’ai aussi écouté son répondeur, 2 messages de sa meilleure amie et de son copain, lui demandant de les rappeler. Avec les cartes postales ils devraient pas me poser de problème.
J’arrive dans sa chambre, elle sursaute comme si elle dormait. Elle se recroqueville pour cacher son corps encore nu et douloureux. Elle porte les marques de ses quelques jours en levrette.
- Salut, je vais te changer tes fleurs, te donner un peu de lecture et comme promis tes affaires. Je vais aussi te donner un peu plus de chaîne pour que tu puisses bouger un peu car t’es très courageuse lors de tes exercices.
Elle ne dit rien, elle me regarde faire avec méfiance. Je m’installe dans mon fauteuil et la regarde. Mon dieu qu’elle est belle. J’adore la regarder mais encore plus quand elle prend du plaisir.
- Touche-toi Cynthia.
Elle me regarde comme ci elle n’avait pas compris, mais je sais très bien qu’elle a entendu ma demande.
- Cynthia, touche toi mon amour, caresse toi.
Pour le moment elle reste figée, elle doit sûrement avoir honte, je décide de lui montrer qu’il n’a pas de honte à se donner du plaisir. Je déboutonne mon jean, et je sors mon sexe tendu par l’excitation et je commence à me caresser devant elle. Je la regarde, et je l’imagine venir à moi, ouvrant sa belle bouche pour me prendre. Oh Cynthia ! Alors que mon sexe se tend sous ma main agile, elle détourne le regard comme dégoûtée.
- Touche-toi ! Allez Cynthia, où c’est moi qui le fais.
À ma menace, elle glisse sa main tremblante vers son entre jambe.
- Je ne vois rien, écarte bien tes cuisses. Allez Cynthia, fais toi du bien.
Je vois que les larmes commencent à couler, son corps tremble comme une cocotte minute prête à exploser.
- Caresse- toi !
Elle est toute tremblante, je m’approche d’elle alors que je continue à me caresser. Cynthia est là, hésitante, au bord de la crise de nerfs mais encore une fois fait ce que je lui demande. Me voilà assis près d’elle, alors que timidement elle touche le bord de ses lèvres. Je lui prends sa main, lui tends deux doigts et les invite en elle. Elle ferme les yeux fort, ma main lui indique la vitesse pendant que mon autre main s’active sur mon sexe. Je tiens notre plaisir, mais très vite mon excitation monte et je lui prends sa main pour qu’elle me finisse et récolte mon sperme alors qu’elle éclate en sanglot.
- Chut, c’est rien, c’est normal. N’aies pas honte.
Sa main reste figée, elle n’ose plus la bouger alors que j’active ses doigts en elle. Je vois bien qu’elle n’y met pas du sien, et ce n’est pas comme ça qu’elle va prendre du plaisir.
- Jt’en supplie, laisse-moi ! Dit-elle.
Je lui écarte plus ses cuisses et comme je l’avais prévu, elle tente de se débattre mais fini par céder à ma force.
- Reste tranquille !
Mon ton a du être un peu trop sec car elle s’est figée par la peur. J’en profite pour glisser mes doigts en elle, son ouverture est déjà prête, je n’ai pas de mal à la toucher.
- Laisse-…
Elle finit pas sa phrase, n’arrive plus à parler alors que je la maintiens cuisse ouverte.
-Chut ! Laisse-toi faire, tu vas aimer.
J’entends plus que les chaînes trembler, l’humidité de ses cuisses couler et le bonheur que j’ai à la toucher. Mon sexe redevient dur, je pourrais la prendre, lui faire l’amour. Mais elle est en larme, je ne veux pas de notre première fois comme ça. J’approche mes lèvres de l’intérieur de sa cuisse et avec ma langue dessine un chemin qui m’amène droit à ses lèvres. Je la goûte, la déguste alors qu’elle me supplie de ne pas faire ça et je comprends que son clitoris est très sensible à la langue. Je la lèche jusqu’à récolter sur mes doigts sa cyprine. Je les retire délicatement et lui approche de son visage.
- Ouvre ta bouche Cynthia.
Elle refuse de l’ouvrir, esquivant mes doigts plein de mouille.
- Allez ouvre !
J’ai trouvé le ton, elle entrouvre un peu mais mes doigts lui font ouvrir plus jusqu’à provoquer un haut de coeur. Je veux qu’elle se goûte, qu’elle aime autant que moi le goût de son corps.
Alors que mes doigts glissent dans sa bouche, je sens sa mâchoire se refermer d’un coup sec. La douleur est intense et elle ne veut pas lâcher. Elle est pleine de rage, et je le sens sur mes doigts. Sale garce !!!
- Lâche- moi ! Cynthia ! Putain lâche-moi !
Elle est furieuse et quand elle entend le tiroir de la table de nuit, elle relâche son emprise.
Je pourrais facilement lui faire du mal, j’en ai envie. Mais je préfère quitter la pièce.
Elle n’a pas pensé aux conséquences de ses actes, je pourrais lui faire tellement de mal. Mes idées noires m’envahissent pendant que je passe mes doigts sous l’eau froide, les marques de ses dents sont bien marquées sur ma peau, elle n’y a pas été doucement la garce !
Je suis au bout de ma patience, elle m’a fait très mal, et je reste immobile devant mon miroir. Comment lui faire comprendre que je ne veux que son bien.
Elle regrette déjà, ça se voit à son regard quand j’arrive.
- Pitié, qu’est ce que tu vas me faire ?
Elle est effrayée et je la comprends, elle n’a pas été très sympa avec moi. N’importe quel kidnappeur lui ferait du mal.
- Regarde ce que tu m’as fait Cynthia !
- Je…je suis désolée…vraiment…pardon. Pitié.
Sa demande ne me touche pas, mes doigts me lancent et me font mal. Je suis furieux, je fais les 400 pas, j’ai envie de la baiser, de lui arracher ses cris, j’ai été gentil avec elle, peut être un peu trop !
- Comment tu t’appelles ? Me demande t’elle.
Sa question me sort de ma bulle. Elle s’intéresse à moi ?
- T’as pas envie de le savoir Cynthia, tu t’en fiches de mon prénom.
- Pourquoi tu fais ça ?
Deuxième question, mais c’est qu’elle devient causante on dirait.
- Tu viens de me mordre, et tu veux maintenant faire connaissance.
- Tu étais entrain de me violer !
- Faux ! Je te donnais du plaisir Cynthia !
- Je ne le voulais pas !
- Ah oui, vraiment ?
Ma question la laisse perplexe.
- Oui vraiment ! T’es pas mon copain, tu es…
- Oui je suis ?
- Rien.
- Malade ? C’est ça que tu voulais dire ?
Elle reste muette.
- T’as pas répondu à ma question. Tu t’appelles comment ? Me Redemande t-elle.
- Maxime, je m’appelle Maxime !
- Bah moi c’est Cynthia, enchantée Maxime.
Sa réponse me laisse sans voix, je m’attendais à des cris, des pleurs, des insultes mais pas ça. Je m’assois près d’elle.
- Pourquoi tu m’as enlevé Maxime ? Me demande t’elle.
Quand elle prononce mon prénom, mon cœur prend une accélération.
- Pour t’avoir.
- Tu aurais pu m’avoir sans avoir à faire tout ça.
À quoi elle joue là !
- Arrête de me prendre pour un con ! J’aurais jamais pu t’avoir, t’as un copain ! Je vous ai suffisamment vu faire l’amour pour le savoir !
La frayeur se lit sur son visage une nouvelle fois, elle vient de se foutre de moi je rêve!
- Maxime, pardon ! S'il te plaît écoute-moi.
Sa voix qui prononce mon nom m’envoie un courant électrique dans tout mon corps, sa voix est si douce.
- Je t’écoute.
- Me fais pas de mal, jt’en supplie, jte promets de coopérer. Tout ce que tu voudras mais jt’en supplie me fais plus de mal, j’ai peur de toi Maxime.
Peur ? Bien sur que je lui fais peur, elle est attachée à un lit et je pourrais lui faire les pires choses qu’un être humain puisse faire. Mais elle me paraît sincère, si je veux que ça fonctionne, il faut que je lui fasse confiance un minimum. Je respire à fond et je file mettre quelques coups dans mon sac de frappe puis je monte préparer de quoi manger, mettant de coté cette incident facheux.
Je cuisine une omelette avec des lardons, des pommes de terre, accompagnée de salade.
J’arrive dans sa chambre, elle est plutôt calme. Je lui détache les mains, et on mange l’un en face de l’autre.
- Tu as quel age Cynthia ?
- Tu sais que je fais l’amour avec mon copain mais pas mon âge.
Elle n’a pas tord, je lui donne 25 ans mais j’ai pas non plus la certitude que c’est bien son âge, alors que je sais qu’elle aime sucer, qu’on lui tète les tétons, la position de la levrette est sa position préférée vu qu’elle la pratique souvent mais je ne connais pas son âge.
- J’ai encore des choses à apprendre sur toi, alors t’as quel âge ? Dis-je
- 27 ans, et toi ?
- 30, bientôt 31.
Je suis étonné, elle me paraissait plus jeune mais dans le fond on a presque le même âge.
- Tu veux un verre de vin ?
- J’ai le choix ? Me dit-elle en me regardant.
- Oui, bien sur. J’ai de l’eau si tu préfères.
- Oui de l’eau ça sera très bien, merci.
Première fois qu’elle est agréable avec moi. C’est plutôt plaisant, même si je sais qu’elle n’est pas sincère. Je sais très bien ce qu’elle essaye de faire, mais je profite de ça pour en savoir plus sur elle.
- T’es instit, c’est ça ?
- Oui.
- Quelle classe ?
- J’ai les CP. Et toi, tu fais quoi dans la vie ?
Sa question me vexe là. Elle ne se rappelle pas de moi.
- Tu ne te rappelles pas ?
- Euh non. Je devrais ?
- Ouais. L’infirmier quand ton amie s’est cassée le pied.
Je vois dans son regard qu’elle vient de me remettre. On s’était croisé dans le couloir et m’avait demandé la chambre de son amie. En un regard j’ai su que ça serait elle et pas une autre. J’avais demandé son numéro et elle avait refusé, quelque chose s’est passé en moi, j’ai commencé à réfléchir à comment l’avoir. J’ai planifié son enlèvement, c’était parti.
- Mais tu…tu me suis depuis ce jour ?
- Oui.
Ses yeux s’écarquillent. Elle ne s’attendait pas à ce que je la suive 7 mois, et elle doit se demander ce que je sais. Je ne sais pas grand-chose au final, on a beau suivre une personne, ça nous donne pas ses goûts musicaux, ni ses préférences alimentaires, ni son passé, ses blessures, ses expériences. Je me rends compte que les 7 mois on été sûrement des mois de perdus, que j’aurais pu l’enlever plus tôt mais mon sous sol n’aurait pas été prêt de toute façon.
- Tu ne travailles plus ?
- Si, je suis en vacances. Comme toi, enfin moi je reprends dans quelques semaines.
L’idée de devoir reprendre le travail me fait du mal, je veux passer le reste de mon temps avec elle, j’aime ce qu’on vit là, elle n'est plus dans l’agressivité et on discute, presque, comme des gens normaux.
- Tiens, je t’ai pris ça. Dis-je
Quand elle voit les magazines, un discret sourire se dessine, puis elle me dit un merci. Je quitte la pièce léger. Notre première discussion est des plus simple, mais c’est délicieux de la voir si calme.
Alors que je remonte, quelqu’un frappe à ma porte.
- Alex ? Qu’est ce que tu fais encore là ?
- Salut frérot ! Je te dérange ?
- Non, entre.
- Elle est là ?
- Non. T’es là pourquoi Alex ?
- Comme t’es en vacances, bah je me demandais si ça te tenterai pas quelques jours de randonnées ? Enfin sauf si t’es accompagné, enfin elle peut venir mais...
- Non merci, j’ai pas super envie de faire du sport pendant mes vacances. Dis-je
- Vas y c’est pas du sport, c’est de la ballade. Allez stp, comme au bon vieux temps. Tu vas pas laisser une Minette se mettre entre nous quand même.
- Rien à voir avec elle. J’ai besoin d’être au calme.
Bien que de la randonnée avec mon frère me fasse très envie, je ne peux pas, j’ai Cynthia. Mon frère finit sa bière, et je le raccompagne à la sortie.
- Bon Max, si tu changes d’avis tu m’appelles.
Une accolade et le voilà parti.
Je retourne voir ma belle Cynthia qui feuillette comme elle peut le magazine, les chaînes sont trop courtes, faut que je lui laisse plus de liberté de mouvement.
- Je t’amène à la salle de bain.
Elle me suit docilement puis s’arrête.
- Maxime, tu peux me laisser un peu d’intimité s’il te plaît, ça me gêne quand tu me regardes.
Normal, c’est quelque chose de très intime mais j’aime la regarder donc je refuse de la laisser, elle devra faire avec.
Quand je la ramène à sa chambre, j’allonge ses chaînes pour qu’elle puisse bouger plus facilement mais je recule la table de nuit pour qu’elle n’y ai pas accès. Elle devrait dormir mieux aussi.
Je me pose dans mon fauteuil et je la regarde, je ne me lasse pas, elle est délicieuse. Elle a une bouche parfaite, et je me demande comment elle l’utilise pour donner du plaisir. Mais l’épisode de mes doigts me fait hésiter, et si elle décide de me blesser avec ses dents une nouvelle fois ?
Je me lève et récupère sa chaîne pour l’emmener vers mon fauteuil.
- Qu…qu’est ce que tu fais ? Me demande-t-elle.
Je prends la seringue, et m’installe confortablement.
- Je t’ai donné du plaisir, à ton tour. Ça, c’est au cas où tu aurais des envies de mordre. Lui montrant ma seringue.
Elle tire un peu sur ses chaînes, me supplie de ne pas lui infliger ça, qu’elle ne veut pas mais je suis bien décidé à me faire sucer. Elle pensait m’amadouer avec ses petits sourires et les discussions légères, raté !
- Tu vas bien m’écouter Cynthia, si jamais tu me mords encore une fois, je t’arrache les dents une par une, t’as compris ?
- Pitié.
- C’est qu’une fellation ma belle, rien de bien méchant.
Je sors mon sexe, et tire sur sa chaîne pour la faire tomber. Elle me supplie encore, ferme sa bouche alors que j’approche la seringue d’elle.
- J’ai pas envie de t’endormir pour ça alors coopère s’il te plaît.
Elle refuse toujours, prête à se faire piquer plutôt que de me sucer. Ça ne m’arrange pas alors je vais employer la force, tant pis pour elle.
Je lui pince le nez et attends que son corps survive jusqu’à ce que sa bouche s’ouvre pour prendre sa respiration, profitant de ça pour m’enfoncer dedans. Je lui maintiens la tête pendant que mon bassin va et vient dans sa bouche. Je sens bien qu’elle résiste et ça ne fait que gonfler mon sexe un peu plus. Elle est tellement excitante prisonnière de ses chaînes, forcée à me prendre. Puis je sens petit à petit ses lèvres prendre le rythme, elle participe, me pompe comme si sa vie en dépendait. Elle me suce fort, s’en est presque douloureux, mais putain j’adore !!!! Je lui caresse ses cheveux pendant qu’elle me fait jouir dans sa bouche ressortant aussi sec recrachant un peu mon sperme comme dégoûtée.
- T’es qu’un pauvre cinglé !
- Eh doucement ma belle, c’est toi qui m’a fais jouir.
- N’importe quoi ! Tu m’as forcé !
- Au début, mais après je te tenais même plus.
Elle s’est même pas rendu compte que je la maintenais plus et qu’elle me suçait volontairement.
- J’ai pas eu le choix avec ta piqûre !
- Si ça te rassure.
Notre dispute me fatigue, je préfère la rattacher à son lit et m’en aller.
Ce soir je mangerai seul, elle m’a énervé. Je lui donne son repas, et la laisse pour me regarder un film qui passe à la télé. Ce film est tellement passionnant que je finis par m’endormir.
23h54, merde Cynthia !
Je la détache pour l’emmener à la salle de bain, me tournant pour lui laisser un peu d’intimité.
- C’est très gênant Maxime, jt’en supplie, laisse-moi quelques minutes.
Ok vu sa pipe, je peux lui accorder ça. Je l’accroche à une des attaches et reste en dehors de la salle de bain.
- C’est bon t’as fini ?
- Oui, c’est bon.
Je la ramène à son lit et lui demande de me déshabiller.
- P…pourquoi ?
- Parce que je te le demande Cynthia.
Elle hésite mais finit par s’exécuter.
Elle est divine, et me fait un effet de dingue. Mais j’aime pas quand on se dispute, j’ai l’impression de la perdre, j’ai besoin de me réconcilier. Au fur et à mesure que mes vêtements tombent, la frayeur se lit sur son visage, Elle tremble et sait que c’est le moment, que c’est maintenant.
- Jt’en supplie, fais pas ça !
Je préfère rester dans le silence et savourer ses supplications. Je lui défais ses chaînes et comme je l’ai prévu elle tente de s’échapper et de se débattre. Elle n’a pas assez de force et je réussis facilement à la maintenir tranquille. Je la goûte, la lèche, lui embrasse ses doux mamelons qui durcissent sans le vouloir vraiment. Elle pleure, tremble et j’adore ça. Mon sexe est à la porte de son ouverture, je le frotte, l’excite et elle hurle de la lâcher. Il m’en faut peu pour m’exciter mais ce moment est l’un des plus excitant de toute ma vie. Plus elle gesticule pour se libérer et plus mon sexe rentre en elle. Je sens qu’elle a de moins en moins de force, qu’elle s’essouffle et je m’enfonce un peu plus en elle lui provoquant des cris et des pleurs.
- Chut, calme-toi. Sens comme c’est bon Cynthia.
- Arrête.
- Chutttt, oh ça y est mon amour. Dis-je en gémissant de plaisir alors que je sens la chaleur de ses parois me caresser.
Elle cri à l’aide, m’insulte, une vrai tigresse mais en vain. Je commence mes doux va et vient alors que je la maintiens avec force. J’ai tellement envie d’elle, que j’ai envie de la pilonner férocement mais je me retiens, pour lui offrir de la douceur pour notre première fois. Quand elle prononce mon prénom pour me supplier je m’enfonce plus durement mais ralenti aussi sec. Non !!! Je ne dois pas lui faire mal !!! Et pourtant elle continue à m’appeler, encore et encore, elle est trempée mais pleure, me demande d’arrêter mais mouille. Je vais plus vite mais toujours avec douceur, je ne veux pas lui faire mal, je veux qu’elle prenne du plaisir, même si pour moi c’est difficile. Je lui attache ses mains pour avoir plus de liberté et lui caresse ses seins, puis glisse mes doigts contre son clitoris. Je sais qu’elle aime ça, alors je l’excite pendant que je lui fais l’amour. Mais dans ma tête tout est bordélique, j’ai envie autant de douceur que de violence, cette fille me rend dingue, je dois la préserver alors que j’ai envie de la détruire. Quand mon excitation explose, elle a ce regard, celui qui me rend dingue, celui qui m’appelle à recommencer. Elle ne pleure pas, elle ne bouge pas, sa poitrine monte et descend comme la mienne, nous sommes essoufflés, comblés. Je suis fier de moi, je suis resté maître de moi même...mais pour combien de temps.
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