Chapitre 18
Je descends, elle tente toujours de défaire ses chaînes. Je m’assois pour l’observer. Elle est amusante, elle tente de se convaincre qu’elle veut partir, alors qu’elle ne fait rien pour s’échapper. Je me rappelle de cette femme qu’on avait retrouvé séquestrée, elle s’était brisé les pouces pour s’échapper de ses entraves. Cynthia n’a jamais vraiment pensé à partir, elle aurait tenté bien plus de chose. Elle se rend même pas compte qu’en cherchant un peu, sa délivrance est juste en dessous d’elle. En faisant sa chambre, j’ai scotché le double des clés de ses chaînes sous son lit pour voir si elle a vraiment envie de partir. Dans tout les cas, elle aurait pas pu s’échapper plus car je ferme derrière moi, mais je voulais voir si elle était vraiment décidé à s’enfuir ou pas. Et ça ne lui vient même pas à l’esprit de chercher une solution. C’est ça que j’adore dans la séquestration, il suffit de mettre dans la tête de la victime qu’elle est prisonnière pour qu’elle se comporte de manière à l’être mais avec Cynthia c’est complètement différent. Je sais que Cynthia aime ça, qu’elle ne s’échappe pas car sa vie dehors est ennuyeuse à mourir. Avec moi elle se sent aimer, exister, alors que personne n’est vraiment attentionné avec elle habituellement. Elle aime être une victime.
- Tu sais que tu perds ton temps ? Dis-je
- Et ça te fait rire !
- Ouais, je trouve ça drôle de te voir faire et refaire la même chose chaque jour. Tu penses pas que si t’as pas réussi jusque là à te libérer, c’est peut-être parce que ce n’est pas la bonne méthode.
- Et c’est quoi la bonne méthode ?
Elle me croit idiot à ce point. Je ne vais pas lui dire qu’il lui suffit de chercher sous son lit.
Je m’approche d’elle. Elle a dévoré son petit déjeuner, il ne reste plus rien.
- T’avais faim on dirait.
Elle me répond pas et préfère me lâcher un regard noir qui me rend dingue. Je m’allonge sur elle et elle tente de me repousser encore une fois. Je suis pourtant habillé et elle ne risque pas grand-chose, je veux seulement la câliner mais elle n’a pas l’air d’être réceptive.
- Laisse-moi tranquille ! Crie t’elle
- Ça va je fais rien là !
- Me touche pas !
- Qu’est-ce que t’es chiante putain !
- T’as qu’à me libérer !
- Si c’est une stratégie pour me décourager, sache que ça me fait grave bander les petites caractérielles.
- T’es répugnant !
- Et toi casse couilles ! Maintenant stop, tiens toi tranquille ! Je vais faire tes soins !
Je prend sa cheville et lui retire ses chaînes pour refaire son pansement. Je caresse ses jambes et en place une entre les miennes. J’ai envie de la sentir féroce, son petit caractère est pour moi une source d’excitation puissante. Je me frotte à elle et en chuchotant je lui donne la permission de se défouler.
- Vas y t’en as tellement envie Cynthia.
Je suis prêt à ce qu’elle va me faire, et sans attendre je reçois un coup de genoux dans les testicules, m’infligeant une douleur intense au point qu’une forte envie d’uriner arrive. Bien que je tremble par la douleur, je reste dans la même position et elle n’hésite pas à recommencer. Putain ça fait mal !!! Et un sourire se dessine sur son visage qu’elle cache aussitôt. Elle adore ça, je le sais.
- Encore ma belle, vas-y.
- T’es dingue putain.
- Va fort ou jte jure que jte prends de force jusqu’à t’infliger des douleurs bien plus fortes que celle que tu m’infliges.
Le 3ème coup me donne envie de vomir, je sens mon cœur s’emballer et mon sperme pas loin de sortir. Je sors mon sexe et le frotte à sa peau et elle prend encore son air écœuré.
- Recommence et cette fois-ci retiens pas tes coups, fais moi jouir Cynthia.
Je suis au bord des larmes lorsque son genoux rentre en contact avec mes couilles mais sans avoir à me branler, je me vide sur sa cuisse. Mais j’ai pas le temps de finir qu’en plein orgasme elle recommence, la garce !
Ce coup sera le dernier car je m’effondre à coté d’elle, mon cœur palpitant dans mon bas ventre, la bile au fond de la gorge, je n’ai plus la force de me relever ni de me retenir et je m’urine dessus, la souillant aussi.
- T’es complètement taré mon pauvre. Lâche t’elle.
- Ouais je sais. Avoue que t’aime ça Cynthia.
- Pfff n’importe quoi !
Je me masse un peu pour faire partir la douleur, alors que ma belle me regarde avec haine.
- Tu m’as fait très mal Cynthia.
- C’est toi qui m’a demandé.
- Ouais et t’as pas hésité à me faire jouir.
- T’es qu’un pauvre malade !
Mais quelle tigresse ! Elle n’a pas la moindre compassion. Je finis par m’endormir contre elle et lorsque je me réveille, j’ai ses seins sous le nez. Je la caresse et elle se tend, ses tétons pointent continuellement, ici il fait pas froid mais pas chaud non plus, la température idéale pour qu’elle soit réactive. Je lui pince doucement alors qu’elle rage que je la touche.
- Me touche pas !!!
- Ok t’as pas envie mais moi par contre j’ai besoin que tu me soulages.
- Tu sais très bien le faire tout seul !
Je me mets sur elle mais entre ses cuisses pour pas qu’elle recommence à me frapper alors que là j’ai une tout autre envie. Je caresse de mon index sa jolie bouche alors qu’elle tourne la tête, m’offrant son cou où je dépose quelques baisers.
- J’ai très très envie que tu me suces mon amour.
- Je ne suis pas ton amour !
- Oh si tu l’es. Allez dis oui.
- Jamais de la vie.
- Je sais, tu préfères que je te fasse l’amour ma belle, m’avoir entre tes cuisses mais là j’ai très envie de ta bouche.
Je continue à effleurer sa peau de mes lèvres et son corps frissonne.
- Écoute Cynthia, je te propose un accord, tu me suces jusqu’à me faire jouir et je te laisse téléphoner à tes proches pendant 1 minute.
Elle me regarde comme pour lire si je bluff ou pas.
- Ta sœur et ta mère, 1 minute chacune contre une pipe.
- Tu ne me laisseras pas les appeler.
- Si, je te laisserai les appeler avec bien sur la condition de ne pas dire que t’es ici mais en vacances. Je te laisse 1 minute avec ta sœur et 1 avec ta mère.
Je la regarde alors que les larmes montent dans ses yeux quand je parle de ses proches.
- Tu aimes sucer Cynthia je le sais, alors c’est pas trop te demander quand même.
- Je veux 5 minutes chacune.
Ah Madame commence à négocier...c’est bon signe.
- 3 minutes et c’est ma dernière proposition, après je te viole la bouche et t’auras pas tes proches au téléphone, à toi de voir.
- D’accord.
Elle a dit oui !!!! Je prends sa chaîne et elle commence à se rebeller.
- Commence pas !
- T’as dis une fellation pas plus !!!
- Je sais bien, je veux juste te mettre dans une position qui va m’être confortable.
Elle me regarde sans comprendre alors que je l’installe sur le dos en travers du lit, la tête sur le bord. Je caresse son visage avec ma bite qui bande dur. Je prends par précaution la seringue et lui montre.
- Tu connais la règle, si tu me mords, je te pique et t’arrache tes dents.
Elle dit rien et sort sa langue pour lécher le bout de mon gland gonflé. Elle ouvre sa bouche et je me glisse dedans. J’y vais doucement car je sens qu’elle résiste quand je vais trop au fond. Je m’allonge sur son corps, la couvrant de baiser jusqu’à ce que mon nez respire son intimité. Je le frotte à son clitoris et elle se met à gémir sur mon sexe.
- Oh continue. Dis-je en bougeant mon bassin doucement.
Je ne veux pas jouir trop vite car je veux profiter de ce qu’elle m’offre. Je continue de la respirer alors que ses cuisses sont bien ouvertes d’elle même. Je laisse ma langue glisser et la fais gémir pour ressentir en moi son plaisir. Notre 69 s’intensifie lorsque je lui glisse deux doigts. Ses lèvres se pressent autour de moi et elle se trempe sous mes caresses. Je peux plus m’arrêter, je vais et je viens dans sa bouche comme si j’étais entre ses cuisses. Sa salive déborde, elle en recrache par le nez alors que je continue. Je sens que ça monte en moi, je lui attrape la nuque pour m’enfoncer plus loin et elle se débat, s’ettoufant à moitié avec sa salive et son manque d’air. Je relâche la pression et sors de sa bouche.
- T’es qu’un pauvre malade !!!
- J’ai pas fini. Ouvre.
- Va pas loin stp.
- Referme bien tes lèvres alors.
Elle s’exécute et me fait jouir en quelques secondes. Elle me repousse lorsque mon sperme arrive, ce qui lui en met plein son visage. Elle recrache le peu qu’elle a eu dans sa bouche et s’essuie sur les draps très vite.
- Je veux appeler mes parents maintenant.
- Tu veux pas plutôt aller te doucher et les appeler après. T’es pleine de ma pisse et de mon sperme.
- Non maintenant !
Je lui demande le numéro de ses parents que je tape sur mon portable.
- On est d’accord, tu dis bien que t’es en vacances sinon…
- Oui c’est bon j’ai compris !
Ma tigresse est de retour, je lui donne le téléphone et reste vigilant à chacun de ses mots.
- Papa !!!! C’est moi...Ça va merci, je suis trop contente d’entendre ta voix papa, tu me manque tellement...si si tout va bien...je t’assure que tout va bien, tu peux me passer maman stp. Je t’aime papa...Maman !!! Ca va et toi ?...Oui oui, je vais l’appeler juste après...J’avais besoin de me prendre un peu de vacances...dans le sud, dans une petite location...il fait un temps magnifique.
Elle se contient pour pas pleurer mais joue à merveille son rôle.
- Je sais pas encore quand je rentre, j’aimerais vraiment en profiter au maximum...oui j’en avais besoin…
Je lui montre le chrono qui a dépassé les 3 minutes mais elle me regarde avec son air insolent. Elle en profite car elle sait que ça serait pas crédible de lui couper sa conversation.
- Non Gabriel pouvait pas venir il travaille...maman je vais devoir te laisser. Je t’aime aussi Maman, prenez soin de vous. Bisous et Embrasse papa.
Elle raccroche et je regarde le chrono 4min56. La garce !!!
- Tu peux oublier ta sœur.
- Quoi !!!! Je t’ai sucé comme tu le voulais, j’ai le droit à mes 3 minutes !!!
- 3 minutes c’est 3 minutes Cynthia, pas 5.
- T’es qu’un enfoiré !!! Dit-elle avec un regard qui me fait pété les plombs.
Je me jette sur elle, la prenant de tout mon membre gorgé, une main plaquée sur sa bouche pour qu’elle taise ses insultes. Tout va très vite, je ne réfléchis pas, une pulsion et je la fais taire. Elle sanglote quand je retire ma main de sa bouche.
- 3 minutes c’est 3 minutes, la prochaine fois que tu me fais un coup comme ça, jte viole ton cul et tu vas t’en rappeler.
Elle comprends vite que son attitude va lui valoir des représailles.
- Deux solutions, soit je te laisse appeler ta sœur mais te punis autrement, soit je te fais rien mais t’appelles pas ta sœur pendant 3 minutes. Tu choisis quoi ?
- Tu viens de me violer c’est pas suffisant ?
- Je t’ai pas violé car tu m’as grugé, je t’ai violé car ton petit regard de garce m’a fait péter les plombs car tu n’attendais que ça. Alors sœur ou pas sœur ?
- Soeur.
- 3 minutes et pas une seconde de plus, tu sais ce que tu risques si tu m’arnaques.
Elle appelle sa sœur et raccroche à 2min 58.
- Bien maintenant je vais te faire regretter ton comportement.
- Pitié me fais pas de mal !!!
J’attrape ses chaînes et l’amène à la salle de bain. Je la pose sur les toilettes et l’attaches aux anneaux faits pour. Cette punition vient d’un mec avec qui je discute sur le net, il a puni sa femme soumise comme ça car elle le faisait chier. Il a mis en scène alors ce comportement, faisant regretter à Madame ses agissements.
- Je t’assure que tu vas rester comme ça un moment. Dis-je en lui installant une perfusion d’eau sucré.
- Stp, fais pas ça !!!
- T’as voulu me faire chier, tu vas voir ce que ça fait mais dans un tout autre sens. Je te mets une poche de laxatif. T’aurais tellement pas du Cynthia...tellement.
- Stp, fais pas ça.
- On avait un deal, tu me suçais et t’avais le droit à 3 minutes, je ne t’ai pas arnaqué moi, j’ai respecté notre deal. T’as pas été honnête Cynthia. Tu peux t’en prendre qu’à toi.
Je change ses draps puis va à la porte de la salle de bain pour l’observer. Elle se vide encore et encore, grimaçant de douleur. Je suis encore énervé de son sale coup et laisse la poche se vider dans ses veines. Elle y passe la journée et je suis bien content d’avoir investi dans les toilettes automatiques qui se vident toutes les 15 minutes. Elle est éreintée par sa journée.
- Bien, on dirait que t’es bien vidée.
- T’es...un... monstre.
- Commence pas où jte laisse la nuit ici.
Elle ne dit rien et sait maintenant de quoi je suis capable.
- Je vais te détacher complètement, tu vas aller à la douche puis dans ta chambre. Tente quoi que se soit et je m’attaque à ton superbe cul qui a beaucoup travaillé, t’as compris ?
Elle fait oui de la tête et va se doucher sans un mot puis retourne dans sa chambre. Elle va pour s’asseoir mais se relève net par la douleur.
- Monte à 4 pattes et pose toi à plat ventre, tu auras moins mal. Attends, jte donne un autre coussin.
Je l’installe et elle ne dit rien. Je lui mets sa chaîne et elle reste muette. Ca aussi j’aime.
- Je vais juste regarder si t’es pas abîmée et te mettre un peu de crème.
Elle dit toujours rien. J’écarte ses fesses et elle se crispe.
- On vois que ton sphincter à bien travaillé mais aucune fissure visible, ça va vite se remettre ne t’en fais pas.
Je lui mets de la crème et lorsque mes doigts touchent son anneau, elle se met à pleurer. Je sais qu’elle regrette ce qu’elle a fait. Moi j’apprécie de plus en plus de la voir souffrir. C’est lorsqu’elle jouit sous mes doigts que je confirme qu’elle adore ça elle aussi.
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