Chapitre 25

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Au matin elle est furieuse.

- Regarde ce que tu m’as fait !

Alors que je me rase, Cynthia assise sur les toilettes me montre son papier taché de sang.

- T’as cherché, j’y suis pour rien.

- Non c’est cette nuit, t’as été trop violent !!!

- Et alors, ton gars t’a jamais fait saigner ?

- Non !

- Alors c’est qu’il ne te baisait pas assez.

- Connard. Peste-t-elle.

Je lui souris et lui jette sa boite de tampon. Je vois qu’elle est inquiète mais je sais que les rapports brutaux peuvent amener ce genre de chose.

- T’inquiète pas, ce n’est pas grave.

- J’espère que tu ne m’as pas abîmée !

La voilà frissonnante d’inquiétude.

- Tu veux que je t’ausculte ?

- Non !

- Qu’on joue au docteur ?

- Non !

Je m’amuse avec elle, et je m’accroupis devant elle qui a son tampon dans les mains. Je lui prends des mains, forçant ses doigts à le lâcher. J’écarte ses cuisses et enfonce doucement en elle le tampon. Elle grimace mais la voilà remplie de coton. Je lui dépose un baiser sur le front.

- Voilà c’est fini.

Je me relève et elle reste sur les toilettes le temps que je me douche. Aujourd’hui je ne travaille pas, je vais pouvoir profiter d’elle toute la journée.

Elle brosse ses dents, les fesses offertes et je me prive pas pour glisser ma main entre.

- Et de ce coté là, ça va mieux ?

Je la vois figée, elle n’ose pas me répondre.

- Je peux vérifier par moi-même tu sais.

- Ca va mieux !

- Pourquoi je dois toujours te forcer à me répondre, t’as bien vu cette nuit ce que ça donnait, non ?

Elle reste silencieuse.

- Sauf si tu aimes ça.

- Non, je n’aime pas ça ! Se défend-elle.

- Mais si t’aimes ça Cynthia.

Nous arrivons dans la chambre et en effet le lit montre ma violence nocturne. Je lui remets des draps propres et elle se replace sur son lit. Elle me fait penser à mes patientes, elle a cet air gêné après avoir souillé les draps.

- Soit pas honteuse, c’est normal d’avoir taché tes draps Cynthia, j’ai été très brutal.

Elle reste prostrée sur son lit, et moi je m’installe sur mon fauteuil la laissant se décontracter d’elle-même.

- Ecarte tes cuisses mon amour.

Elle me regarde partagée entre l’incompréhension et la colère.

- Cynthiaaaaa, allezzzzzz !

Je montre des signes d’impatience qui la poussent à ouvrir ses cuisses, me laissant le plaisir de la contempler. Ses lèvres sont ouvertes, je vois son clitoris reposé et le petit cordon sortir. Ses jambes tremblent alors qu’elle s’offre à moi, m’appelant auprès d’elle.

J’ouvre un des tiroirs et sors un sextoy vibrant. Elle sursaute car elle reconnait son accessoire.

- C’est avec ça que tu te câlines au travail je crois, non ? Il était dans ton sac.

Elle répond pas et referme ses cuisses.

- Ouvre !

Je pose son vibromasseur sur ses cuisses et elle me demande une nouvelle fois de la laisser. Je le laisse glisser le long de ses jambes, puis au creux de ses cuisses pour finir sur son clitoris. Ses cuisses se referment mais elle les ouvre quand je la regarde froidement. J’accroche ses chaînes au niveau de ses cuisses pour la maintenir bien ouverte et je mets la seconde vitesse. Son petit bout se met à gonfler, pendant qu’elle se crispe sur le lit. Je passe entre ses lèvres et je m’arrête à l’entrée bouchée par le coton. Je passe de haut en bas, et quand je tente de rentrer, elle a un sursaut.

- Stp fais pas ça !

Sa voix est suppliante, et plus je tente de rentrer et plus elle supplie.

Je vois ses lèvres s’ouvrir et les contractions incontrôlées de son corps montrent le petit bout de coton qui m’empêche de la prendre. Je donne des petits coups qui l’a font paniquer.

- Chut, calme-toi.

- Jt’en supplie Maxime me fais pas mal.

Bien sur que non je ne veux pas lui faire mal, mais elle est tellement magnifique. Je tire doucement sur la corde, et son corps laisse sortir le coton qui a absorbé le peu de sang qu’il y a. Elle ferme les yeux, et la voilà libéré de son coton que je dépose sur la table pour lui laisser bien en vue. Je saisis la serviette que j’ai prise, la plaçant sous elle. Elle est tenue aux cuisses ouvertes et à son sextoy qui s’enfonce avec douceur en elle. Je sens son corps trembler, elle tourne la tête comme si elle avait compris qu’elle n’avait pas moyen de me stopper.

Je pose ma main sur son ventre, alors que je fais des doux va et vient. Elle grimace, pleure mais je prends soin de ne pas m’enfoncer trop pour pas lui faire mal. Je ressors parfois le vibro pour lui montrer son sang, lui approchant de la bouche alors qu’elle tourne la tête pour l’éviter.

- Tu vois, y a pas grand chose. Les muqueuses se cicatrisent très vite et très bien.

- T’es dingue.

- Ca je sais. Tu me rends complètement dingue.

Mes doigts lui malaxent fort sa poitrine et je reprends les va et vient. Sa poitrine devient douloureuse, mais je ne compte pas arrêter de la pétrir, j’adore la douceur de sa peau et ses tétons rétrécissent d’excitation. Je serre si fort que j’ai l’impression que ses glandes mammaires vont éclater sous mes doigts.

- Arrête tu me fais mal !!! Ahhhh !!!!!

J’adore sentir la texture de ses seins écrasés et le cri qui l’accompagne.

- Tu vas te mettre à genoux sur le lit et je vais me branler avec tes seins. Ca laissera du répit à ton vagin

- Non, stp arrête !!!

- Je sais que t’as envie que je te l’enfonce encore mon amour mais vu ton état, il faut faire des pauses.

Je prends ses chaînes et la force à se mettre à genoux. Je mets ma queue entre ses seins et les comprime autour. Bordel que c’est bon !!! Je me masse alors qu’elle gémit de douleur car je serre fort mais j’aime trop ça pour les relâcher.

- Tu me fais trop mal ! Pleurniche t’elle.

- Je…J’aime trop tes seins !!! Putain c’est si bon !!!

Je lui baise fort et finis par des beaux jets de sperme dessus.

- Maintenant on va pouvoir y retourner. Dis-je en montrant le vibro que j’enfonce en elle.

J’accélère la cadence, et ma belle se tord, je monte d’un cran la vitesse et j’entends des petits gémissements étouffés. Je monte encore le cran, et ses gémissements s’accentuent. Encore un cran, et son bassin ondule enfonçant le vibro plus loin. Vitesse 7, elle tremble et se tient à ses chaînes comme pour tenter de contenir son corps. Vitesse 8, elle pleure, me supplie, elle n’est pas loin de jouir, je sens son corps se crisper. Vitesse 9, ses gémissements résonnent dans la pièce, ses larmes inondent son visage, alors que la serviette se trempe de cyprine. Je prends la place du vibro et elle fini dans un hurlement sauvage et primaire pendant que mon sperme la remplit. Mon regard dans le sien, elle est paralysée, j’essuie ses larmes et pose ma tête contre elle.

- J’aime tellement te faire jouir.

Elle sanglote, tremble, mais ne me repousse pas. Je ressors d’elle, le sexe souillé. Je file chercher de quoi la nettoyer, et comme un infirmier je la lave au lit. Je replace un tampon, et lui dépose un baiser sur le front.

- Te voilà propre et soulagée.

Elle explose en sanglot.

- Cynthia, allons calme-toi, c’est bien de se lâcher. Y a pas de mal à jouir tu sais.

Elle ne contrôle plus son corps, moi oui et je ne me prive pas.

- J’ai mal. Dit-elle en se tenant le bas ventre.

- Si t’étais plus docile, je serais plus tendre tu sais.

- Je sais.

- T’aime tellement ça mon amour.

Je m’approche de ses lèvres et elle tourne la tête. J’attrape son menton et elle finit par me laisser l’embrasser. Sa langue s’enroule avec la mienne, elle écarte ses cuisses et me laisse la posséder. Elle a enfin compris comment avoir une vie plus facile mais je sais que ça ne va pas durer car elle aime s’opposer à moi. Elle a besoin de ma brutalité et cherche ma violence que je tente de contenir. Elle fait ressortir le plus mauvais en moi.

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