Égoïste
J’arrivais presque à illuminer mes yeux,
Devant ce sourire sur ton visage
Que je faisais naître si facilement.
Dans mon corps, il y avait un nœud
Qui brouillait tout, floutait le paysage.
Putain, tout était clair pourtant.
Dans tes bras,
Entrelacées entre tes doigts,
Mes mains ne tremblaient pas.
Y a pas que toi que j’ai perdu,
Mais aussi la meilleure version de moi.
Je ne te retrouverai plus,
Moi non plus.
Tant pis,
Tant pis pour moi…
Je me sentais presque décoller du sol,
Emporté par le parfum de tes cheveux.
Je t’ai dit : « Je t’aime » et que t’aurais ma peau.
Partout sur mon âme, le doute se colle.
Y avait jamais de place pour moi, sérieux.
Putain, peu importe le palais, le caniveau,
Dans tes bras,
Entrelacées entre tes doigts,
Mes mains ne tremblaient pas.
Y a pas que toi que j’ai perdu,
Mais aussi la meilleure version de moi.
Je ne te retrouverai plus,
Moi non plus.
Tant pis,
Tant pis pour moi…
Je me voyais presque trouver le bonheur,
Enivré par ce qui n’était qu’à nous,
Où le monde, ou ce qu’il en reste, n’existait pas.
Mon esprit s’était détaché de mon cœur.
J’attendais juste que le temps me rende fou.
Putain, tu me faisais passer au-dessus de ça,
Dans tes bras,
Entrelacées entre tes doigts,
Mes mains ne tremblaient pas.
Y a pas que toi que j’ai perdu,
Mais aussi la meilleure version de moi.
Je ne te retrouverai plus,
Moi non plus…
Y a pas que toi que j’ai perdu,
Mais aussi la meilleure version de moi.
Je ne te retrouverai plus,
Moi non plus.
Tant pis,
Tant pis pour moi…
Y a pas que toi que j’ai perdu,
Mais aussi la meilleure version de moi.
Je ne te retrouverai plus,
Moi non plus.
Tant pis,
Tant pis pour moi…
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