Ces derniers temps, ces derniers mots,
Pour toi, pour nous, j'ai pensé...
Pour toi, pour nous , j'ai posé...
Toi, tel un électron libre...
Qui pose son rythme et sa rime...
Tel un électrochoc, j'accuse, le choc...
Effronté et libre...
Il faut juste savoir l'apprivoiser...
Au dépourvu,
J'ai été prise, par ton âme blessée...
Sous le charme, je suis tombée...
qu'encore à ce jour,
Doucement,
Il faut y aller...
Bercée par tes mots, doux , froids, purs, réfléchis ou sucrés...
A s'envoler dans les airs ou en l'ère...
L'ère du temps,
L'air de rien,
Comme avant, comme le ferais Voltaire d'antan...
Que tes mots les plus durs , les plus forts et les plus malmenés,
Sur terre, nous force à retomber...
C'est vrai...
Les mots, c'est beaux...
La virgule, les accompagnent...
Comme le point d'exclamation...
Au trois petits points, d'un petit rien...
Les sentiments vrais et profonds,
Sont plus important...
Pour toi, pour moi, pour nous,
C'est évident...
Dedans, devant, dehors, dès lors, qu'on en sort vivant...
C'est en s'acceptant, tel que nous sommes,
Qu'on apprend de soi, le meilleur...
Qu'on hameçonne,
Mon amour, mon amant,
Mon âme sœur,
Surtout pas, à contre cœur...
C.