Alors voilà, je suis arrivé là où je voulais arriver.

Mais, juste pour rabâcher, reprenons depuis le début :

Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine – ok, j’abrège – , fier de mon texte, sûr de mon fait, de mes quinze chapitres écrits de mon côté – bien sûr à la perfection – , enorgueilli de mon histoire seule appréciée de ma femme – qui a lu au moins un chapitre et demi avant d'abandonner – , inspirée et écrite pour mes filles, je découvre Scribay, me lance et publie.

Merci infiniment pour commencer, à celui qui vous a fait subir cette rallonge de chapitres – faut bien un responsable : Dldler, alias . . , alias - - . Merci d’avoir été le premier à me lire, merci de m’avoir lu – tout court – , merci d’avoir pris le temps d’annoter comme tu as pu le faire, d’avoir su me dire, redire, corriger, recorriger ce qui n’allait pas pour essayer de me faire comprendre et progresser – j’espère avoir réussi à intégrer certaines choses – , merci de m’avoir intéressé à la grammaire, à la ponctuation et donc, pour résumer, plus encore à l’écriture. Alors merci vraiment de ton aide si profitable. Merci aussi de ta patience, de ta fidélité à cette histoire, de m’avoir encouragé, peut-être que sinon je me serais contenté d’une version plus compacte. En tout cas, il est certain que, sans toi, tout ça ne serait pas devenu un tel loisir, une telle épopée dans ma vie. Merci, et aussi pardon, pardon de ne pas avoir tenu toutes mes promesses sur le côté jeunesse et avoir franchi la ligne interdite ; car j’imagine bien que la fin, plus sanglante, n’est pas parfaitement appropriée aux enfants. Il se devait d’y avoir un peu de violence, je suis comme ça, – non, je ne suis pas violent ! Mais juste que depuis tout petit j’aime les films d’horreur, alors bon, fallait que ça transparaisse… C’est la faute à mes parents qui m’ont laissé les regarder, oui encore une fois, toujours trouver des coupables – , je ne voulais pas dorloter les enfants et j’ai toujours eu en tête d'ajouter quelques morts, peut-être pas autant, et pas dans de telles circonstances, mais l’histoire a pris le pas et s’est imposée. Mes deux filles supporteront cette lecture, car elles me connaissent, et pour moi c’est bien là l’essentiel – en même temps, vu la longueur de l’histoire, et pas même un dessin, ça devrait les refroidir jusqu'au moins leur dix-huit ans.

Enfin, je dis que l’histoire s’est imposée, mais elle a été bien aidée par mes deux plus fidèles lectrices :

Je commence par korinne – honneur aux personnes d'un âge... disons avancé – merci infiniment de ta patience à supporter toutes les niaiseries, les fadaises, les parties à rallonge, merci d’avoir tout lu jusqu’au bout, sans rien loupé, merci de tes commentaires, merci de tes annotations, merci de ta franchise – mais maintenant que c’est fini, tu peux me le dire : c’était interminable et ce n’était pas franchement… non, pour mon égo, restons-en au fait que tu as bien aimé – , merci d’avoir surpassé ton aversion pour les histoires un peu fantastique, non ancrées dans la réalité, et merci, merci, de m’avoir inspiré ! Du coup, je m’excuse pour avoir plagié certaines de tes remarques.

Quant à G. E. Froideval, alias Gigi Fro, je vais me répéter mais merci de tes commentaires si enjoués – au passage tu en fais trop, je n’y crois pas une seconde – , merci de tes annotations, merci d’avoir abattu des arbres pour imprimer certaines parties – rassure-toi, ils ne sont pas morts pour rien – , merci d’avoir voyagé en métro avec la narratrice, merci d’avoir été plus que souvent la première à lire – tu as un secret pour sauter si vite sur les chapitres ? – , merci, comme à vous trois d’ailleurs, d’avoir su devenir un des personnages et d’avoir donné de la profondeur à toute cette histoire. Merci d’être la première à avoir lu la fin – oui, bravo, tu as gagné le titre de... de... “ première finale lectrice ”. * 

Je vais certainement oublié beaucoup de monde mais merci aussi à carolinemarie78 d’avoir supporté toute la jeunesse du Capitaine, et d’avoir été pointilleuse sur toute cette fin d’histoire, merci et continue à ne pas laisser passer les approximations !

Merci à Talyann d’avoir vécu une longue partie de toute cette aventure.

Merci à Bella Leff de continuer tranquillement son bout de chemin et de m'apporter ses bons conseils – j’en arrive à me demander si tu ne vas pas arriver jusqu’à la fin… Il est toujours grand temps de t’arrêter !

Merci à Aakash Ganga de m’avoir poussé sur ce début d’histoire.

Merci à Maioral, Elwenwe, d’avoir insisté, et merci à tous ceux qui sont passés par ici et qui m’ont apporté leur aide.

Merci à Scribay, une belle plateforme de réelle entraide que je recommanderai toujours à ceux qui aiment écrire et lire.

Et donc là, j’en suis à la fin, car oui je considère être arrivé à la fin de mon histoire. Un premier “ tome ” est terminé, aurais-je le courage d’écrire la suite ? Probablement. Mais chaque chose en son temps, tout ceci a pris beaucoup d’envergure, maintenant place aux nombreuses corrections, et retour aux autres passe-temps. En tout cas, toute cette aventure a été un très chouette loisir grâce à vous. Merci à tous.

Ah oui, puisque vous venez de vous en rendre compte, j’en profite aussi pour m’excuser auprès de celles ou ceux qui s’offenseraient de m’avoir pris pour une cane. Je suis désolé – pensez quand même que je n’y peux en fait pas grand-chose – mais je ne suis qu’un canard mâle. Je n’ai jamais voulu tromper personne, je n’ai jamais voulu porter à confusion et je ne crois pas avoir fait quoi que ce soit pour que l’on penche d’un côté ou de l’autre me concernant. Mais beaucoup me prennent pour une femme, pourquoi pas. Je m’en suis tout d’abord amusé, jusqu’à, oui c’est vrai, franchement en rire et faire attention aux tournures de phrases pour ne rien laisser paraître. En fait, peu de temps avant de publier ici, moi-même j’avais lu un livre entier en pensant que l’auteur était un homme. A la fin, je m’étais aperçu que l’auteur était une femme… J’avais trouvé ça fort étonnant et je me suis toujours demandé si, à savoir cela, ma lecture en aurait été tout autre. Je n’ai toujours pas la réponse, mais je pense qu'elle aurait été différente. Sur mon sexe, j’ai donc pris, le temps de finir cette histoire – non, non, je ne pensais pas qu’elle s’éterniserait autant – , le parti de ne jamais contredire quiconque. Maintenant vous savez, ne m’en voulez pas et soyez assurés qu’il n’y a jamais eu aucune perfidie là-dessous.

Encore merci.

* Titre, je précise, purement honorifique et qui n'apportera aucune ristourne pour l'achat obligatoire lors de la parution.