Quand c'est chaud
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Te souviens tu de ces nuits où prédateur, tu te jetais sur elle, et saisissais son corps animal pour lui faire toujours très mal.
Toi le sauvage imprévisible, tu faisais les choses avec une intense tendresse.
Et tu avais bien compris que c'était ce qui comblait son désir affamé.
Elle t'a découvert ainsi quand tu l'as découverte de tous ses habits.
Continue de répandre sur son corps tout ce qui le rend vivant.
Car tu le sais bien, c'est de toi dont elle aura toujours envie.
Insatiablement et inlassablement,
Elle suivra la cadence des mouvements du tien sur le sien.
Jusqu'à cet ultime souffle alangui.
Oui je parle de Toi, uniquement de ce Regard qui la désarme et la déshabille ;
L'objet de tous ses fantasmes.
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