J'ai tué le poète

De ta ville solitaire,

J'ai appelé pour obtenir de l'aide,

Personne n'est venu,

Mais tu connaissais mon nom,

Et tu étais là,

À dire que je le méritais.

(Comme c'est trop court, j'ai mis ce poème sous forme de phrase, toujours avec les virgules, et je l'ai servi à l'I.A qui m'a pondu une suite, même 2 autres que je lui avais demandé aussi)

Suite 1 :

Mais tu étais là quand je me suis enfermé, tu étais là quand j'étais à bout de nerfs, tu étais là quand j'étais en colère et hors de contrôle, et puis tu étais là, quand j'étais remplie de haine et de chagrin, quand j'ai réalisé que tes bras ne pouvaient pas m'atteindre. Je m'en fichais, j'aurais pu te tuer pour tout ce que je voulais. Mais tu n'as pas couru, je ne t'ai pas tué, et tu étais là pour dire que je le méritais. "Mais pourquoi?" Parce que tu savais que j'avais un caractère et une passion secrète.

Suite 2 :

Parce que je suis puni, non pas pour ce que j'ai fait, mais pour ce que je peux encore faire.

-Malice -

Vous avez déverrouillé les pièces du puzzle pour les assembler afin de révéler la dernière étape du Jardin d'Eden.

Pendant des centaines d'années, les humains ont cherché, et n'ont pas réussi à pénétrer cet utérus.

Mais au cours des derniers mois, grâce aux progrès de la technologie, une flamme puissante a été détectée émanant du temple au centre de cet étrange univers.

Confronter l'incendie était considéré comme hérétique, mais les anciens savaient que la flamme était la clé d'une solution.

Suite 3

J'ai tué le poète de votre ville solitaire, et il n'y avait aucun humain pour vous aider, mais vous connaissiez mon nom, et vous étiez là, pour dire que je le méritais. J'ai dit que je n'aurais jamais dû venir ici pour le tuer, mais je l'ai fait, et personne n'a dit que je ne devrais pas. J'ai dit que je recommencerais, et si tu me voyais une fois, tu saurais que je le pensais. J'ai dit que je ne te connaissais pas, mais tu me connais, et tu ne sauras jamais ce que j'ai fait, et je t'aurais tué, si je le pouvais.