Le jour se leva, que les gardes empressa les joueurs à se rendre au plateau de dames géantes.

Un champion américain fut désigné à l’écran.

- Si je ne veux pas.

- Mort.

Laissant l’écran noir et rouge.

- D’accord je participe.

- Toute triche est interdite.

- Je veux l’aider ! Dit une femme anglaise.

Elle s’approcha mais des tirs vinrent vers elle.

- D’accord d’accord j’approche pas.

La salle se verrouilla.

- Merde ! Dit une algérienne.

Dimitri observa.

- Tout ça est plus qu’un jeu.

Le couple coréen se regardèrent.

- Les autres … on s’en fout. Murmura t-il à sa compagne.

L’américain nommé Eliot, vit un sablier géant.

- On joue avec le … temps ?

- Oui. Affirma une voix très grave.

- J’affronte qui ?

Le jeu commença, l’adversaire avança un pion.

- Putain ! Je joue contre qui ?

- Concentre-toi. Dit une américaine.

- Je m’appelle Eliot et je vais gagner !

- Allez joue !

Eliot avait trente ans, cheveux bouclés blond, yeux bleus, fan de basket.

Dimitri se montra discret.

L’Américain joua ses pions.

Puis l’adversaire mangea un pion ; celui-ci fut détruit par missiles.

Eliot cria :

- Quelle violence !

- Concentre-toi idiot !

Les femmes virent le danger.

- Ce sont des jeux mortels, tu dois gagner !

- Merde. Dit-il.

Il perdu ses pions.

- Je suis champion de dames.

- Laisse-moi jouer. Dit une Américaine.

Elle fut tuée par les missiles venant des pions.

Elle mourut et saigna.

- Règle numéro deux : Aucune aide !

- Montrez-vous bande de lâches ! S’emporta Eliot.

Dimitri fit un geste de silence.

- Ils vont tous nous tuer !

- Joue ! Fut en colère Dimitri.

Il fut aussi discret que le couple coréens.

Eliot fut perturbé. L’adversaire avait réussit à obtenir deux dames.

- Putain !

- Reste calme.

- Je vais perdre.

- Quelle brel. Ria un italien.