Parfois, je fais un peu plus long que les haïkus !
Partir de rien
Parler, ou bien ?
Mais si le tien
Est incertain ?
Alors jouons nous des mots
Et de certaines passions sans fardeau
Jouer l'incertain
Sans passion
Soulève le fardeau
Des mots ou bien
Le rien des mots
Mais si le rien de tes mots
Génère mille maux
Alors le silence
Comblera le rien
Dommage alors
Tant de temps
Pour... Rien
Tant de temps pour rien dire
Tout ces mots vernis de cendre
Verbiage de composition du pire
Ruban d'idées bavé de scolopendre
Merci pour cette scolopendre
Tout le monde va se pendre
Pour trouver une suite
Si peu pour ce rien
Tout dépend
De ce que l'on veut
Composer pour le pire
Baver si l'on peut
Rien de verbeux
Je préfère le moelleux
La scolopendre
Va jouer à nous surprendre !
Ce matin, elle a compté
Encore et encore
Ses pattes de droite...
Qui lui a pris celle qui manque!
Elle n'en a plus
Que quatre cent quatre vingt dix neuf !
Voila qui est neuf !
On lui a volé sa patte en bois
De micocoulier....
Elle laisse la trace de son passage
Elle vit la vie des culs de jatte sans age
Plus rien ne lui manque sauf l'amour
Plus rien ne peu lui survivre sauf le jour
L'animal désarticulé en nombre impair
Flanche et se retrouve joueur sans air
Il se meurt, se recroqueville,disparaît
Retourne en ruban de mots imparfait .
Et Micos
Coule
Fol à lier
Fol allié
De la Scolopendre
Cul de jatte
A la recherche de la patte...
Mère nature
De sa chevelure
Revêt la scolopendre
D'un léger voile
D'un linceul
Scolopendre n'est pas seule
Mais elle-même ne le sait pas encore
Micos lui ramènera une patte en or,
Et lui dira je t'aime encore et encore
Son linceul s'évanouira dans les airs
Ainsi débutera une nouvelle ère
Les mots? ne sont que des sons que l'on change à loisir
Tout dépend à qui comment on veut les dir'
S'ils doivent rester en l'air
Aller à tort à travers.....
Suivre le chemin tortueux,
Commun aux ténébreux
Orateurs, qui se délectent
Lentement, de l'infect
Organe aux mille pattes...
Prendre part à cet acte :
Écrire alors, le plaisir
Novateur, d'inscrire
Des proses à double-sens
Rampantes sur vos sens :
Éviter le Baiser de la Scolopendre !
Demain, à l’heure du matin, Quand la confiance s’émergera, chacun s’engagera vers le bonheur vers le bonheur, vers le bonheur ou le malheur ;
Demain quand la conscience se manifestera, quand tout se réunira et quand tu observeras, l’entraide, l’entraide, l’entraide se consacrera;
Alors vers le chemin, à l’horizon de l’espoir.
Alors vers le chemin comme un héros, demain, quand le peuple contribuera, l’esprit de corps se concrétisera.
Demain, quand la tyrannie s’aliénera, la liberté se renaîtra, chacun se préparera, la solidarité, la solidarité, la solidarité dominera.”
Comment cela finira
Déjà je ne suis pas
Cette scolopendre
Je vais lui apprendre
A poéter
Sans m ennuyer
Cette scolopendre courtise
Se baladant sur la rime
S'incrustant sur la frise
Nous incitant à la frime
Alors allons-y jouons
Avec les lettres avec les mots
Taquinons le vers polisson
Pour distraire l’unisson
Et dire que d'un rien
Cette scolopendre nous tient
Tel un refrain
Elle revient
Ne sachant
Ce qu'elle devient
Mais à la fin
Tout cela
Ne rime à rien
Et pourtant
Le ruban est là
Et vous attend
Mais qu'importe Phil
La vie de cette scolopendre
Ne tient qu'à un fil
Le fil de vos pensées
Le fil de vos mots...
Mais j ai des désirs animaux
Des pensées déplacées
Dois je les partager
Dois je les partager
Libre à vous de le faire
Libre à vous de penser
Nul ne vous jettera la pierre
En ce monde biaiser
J aimerais pouvoir
Tout collé serrer
J’aimerai aussi
Tout là haut
Danser
A travers le vent
Emporte baiser
Emporte regret
Des désirs farouches
Maîtres de tes pensées
Dans la foulée plein de baisers
De ce corps beaucoup briser
De semblant d'aimer, l'espoir
Des histoires et grands rêves
Des cœurs brisés toute la vie
Baiser volé pas pris ni donné
Corps en braise qui brûle
Hurle souffrances et maux
Petit baiser griffer
Sur ce doux visage
Plus d'espoir plus jamais
Marque le morose de ma vie
J'ai noyé tous mes amours
Une vie rose sans baisers
J'ai pourtant lutté
Souvent espéré
De l'ardent buisson
Déposer mes armes
Déposer mes larmes
D'un baiser voler
Me suis envolé
Toi tu m'as pas vu
Moi j'ai pas voulu
Toi tu n'as pas su
Bousculer mes rêves
De l’ardent buisson...
Et si ma scolopendre était cette verte fougère grande et Jolie qui s'enroule sur elle même et que l'on trouve dans les sous-bois et fourrés, et non pas ce ver sur lequel vous avez tous poetisé? Que deviendraient vos "vers"?
Nos vers n'étant pas solitaires
Puisque solidaires
Au risque de vous déplaire
Qu-est-ce que ça peut vous faire?
Vide est mon outre et forte est ma soif
Cet instant de mots rassemblés en troupeau
Les mots bousculés ont soulever ma coiffe
Je ne pense plus mais tout vos mots sont beaux
Merci , vos mots sont touchants ,
Votre vide et remplie de sources
A se demander et votre plein ;
Comment il est? sûrement très vide .
Ali baba avec ça caverne t'envier
Tous les textes évoquent aujourd'hui la scolopendre ?
Pourquoi pas ?
....
Par une nuit de cendres
Marche la scolopendre
Et la musique de ses pas
Sonne l'heure du trépas
Vous êtes la bienvenue...
Vos mots sont autant poétiques,
Que ceux ici versés, jusqu'à l'infini...
Ce lien peut vivre sans faim,
Cent fois, les vers de toutes sortes,
De toutes formes, se sont livrés,
Ici... Ils ont suivi les sens de tous,
Cernés, inlassablement,
Tout l'émoi qu'ils nous susurraient
Au cœur, en chœur, au corps,
L'on s'est joué de lui, il s'est bien moqué
Ce coloc' aux couleurs changeantes...
Qu'il soit vers, solitaire, vert, serpentaire,
Nous l'avons, ici, mis à l'honneur
Cette Scolopendre surprenante...
Un bonheur
Étonnant
Nous attend
Quand la scolopendre
Vient vous surprendre
Dans l espace
Dans l espace
Dans l'espace
Dans l'espace
Vénal de nos vies
Le vers se surpasse
Et créer un canal
Peu banal
A multi-place
Où l'on s'enlace
Avec envie
Contre les impasses
Qui peut-il surprendre encore
Ici ??? Ce ver mine de rien,
Se pavane, dans ce décor
Théâtral, où les va et vient
Sont de mises, telle une Orgie
De serpents, dont les rimes
Se remplissent de vers
Que l'on boit jusqu'à la Lie...
Le tien, le mien, le rien,
Mais de quoi parlons nous ?
D'un mot, d'une pensée,
D'une émotion fugace, ou bien
D'une scolopendre qui dans nos têtes trotte en gourou
Grignote nos meilleures idées
Dans vos impasses,
La vôtre se cache sous les pierres,
Elle a honte de sa laideur,
Et craint de vous faire peur!
La mienne est belle,
Elle est verte, et rousse à la fin de sa vie,
Et de la voir ainsi toujours nous ravit.
Mais de qui je parle?
Mais de l'autre scolopendre, pardi!
Pardi ! Tu l'as dit
Mais pas vue , pas prie
Cache cache, pirouette
Cabotine et cabotin
Scolopendre de ce fil
Ce ruban qui nous lie
Nous relit belle ronde
Carnaval ou farfalles
Nous enlace de l'espace
Bien fugace
Mais tout passe
Tout s’efface
Belle ronde
Danse ! danse!
Cabotins cabotines
Des nos mains
Qui se tiennent
De nos mots dans l'espace....
Le vainqueur de toute cette ode
Sera sans conteste
Cette scolopendre
Décriée dans nos vers
Elle n'a pas fini de nos surprendre
Cette célèbre scolopendre
Je dis bravo
A ce nouveau canal
Témoin de nos délires
Mais vecteur de solidarité
Inattendu dans une telle communauté
Qui dépasse les frontières
Au nom de l'amitié
Poétique
Et dire que...
Tout cela est parti
De rien....
Dans l'espace tu l'as dit!
Tu ne la connais donc pas!
Elle est jolie,
Elle ne se cache pas.
Regarde, pas besoin de chercher,
Elle est là partout où ton regard se pose,
Elle est là dans les fourrés,
Dans les sous bois,
Elle est là,
Cueille-la elle est à toi!
Scolopendre. ..
Ailleurs va te faire pendre
Prends tes cliques et tes claques
Dilues toi dans l'espace.
J'ai envie d'honorer une autre espèce
Si tu ne file pas à toute vitesse
Je vais te botter les fesses. ..
Heureusement, nous ne t'avons pas appelé Iule
Sinon j'aurais dû te botter le. ..
Allez ! Sans rancune
Ne fuyez pas amie Odette
Ce serait vraiment trop bête
Pas d’élite en poésie
Sinon nous sommes finis
Et pour vous faire rester avec nous
Je vous envoie quelques bisous.....
C'est un peu niais c'est vrai
Mais a l'heure de la sieste
C'est tout ce qu'il me reste ..
...Il me reste
Un élan de vos mains
Qui se tiennent
Dans la ronde jolie ronde
Demoiselles belle dames
Homme oiseau scolopendre
Qu'es ce donc ..
Vite élire !! une hélice ..
Poésie jolie mots
Comme ils viennent
Et se tiennent....
Merci Martine,
Les bisous ne sont jamais niais,
A n'importe quelle heure du jour
Ou de la nuit, quand ils sont vrais!
Dussé-je me lever matines,
De grand cœur,
Je les recevrai Martine.
Et dans la peine
La sirène
Fuit
Toute la nuit
Le piège antique
De la scolopendre aquatique
Quand l'espace d'un instant
A vos lèvres se suspend
D'une longueur de scolopendre
La sirène finira d’attendre
Là, suis sur le Cul !!!
Un réveil de votre "Cru",
Et tout paraît clair
Comme du verre...
depuis le temps
Qu'il s'étend
Sur nos pages,
Sans ambages...
Ah, le coquin, le vil,
Si dans ta vie
Martine, il s'éparpille,
T'inquiètes : l'envie
Ici, nous lui ôterons,
De répandre ses œufs...
Sur nos pages, sans eux,
Et sous peu
Nous bannirons
Les regards vicieux
Le rire fanfaron
De la misandre
Scolopendre
Hé hé vous me la bayez belle
Shycat de haute ou de poubelle
Comment définir yeux vicieux
Sont tout simplement envieux
Émerveillés de lire excusez moi du peu
Vous en avez initié l’enjeu
Jetant en l'air trois mots douteux
Chacun y répondant comme il peut
Sautant parfois du coq à l’âne
Vous voudriez qu'on le condamne?
Laissez-le donc rire chère Dame
Ils soumettent que le reflet de leur âme
Tellement peu scolopendre
L'âme ne doute ni ne se perd
Dans les obscurs méandres
D'un si petit bout de vers
Qu'à cela ne tienne très chers
Nous jouons au plus divers
De mille mots nous répandre
En de belles manières pour surprendre..
Scolopendre, qui est donc cet individu
Qui pour moi n'est q'1 parfaite inconnue
Scolopendre j'ai beau me pourfendre
Scruter en mon cerveau ses méandres
Présentez la moi pour me surprendre
Je n'ai que l'ignorance pour me défendre
Est-ce 1 être vivant 1 chimère
Errant à son gré sur notre terre?
Puissiez vous éclairer ma lanterne
Puisque ma mémoire est en berne
N'auriez vous pas de lui 1 image
Pour la reconnaître dans les parages?
Je vous en serais gré chère La(martine)
Faisons en commun notre cuisine
Rétablissons ensemble belle cousine
L'histoire de scolopendre la divine
Avec la scolopendre
On s escrime
A trouver des rimes
Même le grand Alexandre
Ne peut se défendre
Quand la scolopendre
Le défie
Mais nous si
Car nos vers
Sont sévères
Je vous l'ai déjà présentée,
Et vous l'avez refusée,
Ma scolopendre n'est pas ce ver rampant et laid,
C'est une belle fougère!
Il faut changer le regard sur ce mot,
Et chercher dans nos sous-bois
La beauté que je viens de vous présenter
Je crois
Hélas
Que par méchanceté
Ou vanité
Le ver
A rongé
Saccagé
Nos vers
Mais une fougère
Pourquoi pas
Pourquoi pas
Qu'importe le flacon
Dit-on
Pourvu qu'il y ait l'ivresse
Ainsi nous nous amusons
D'écrire sans règle ni stress
Un ver ou une fougère
Nous mots riment en vers
De la couleur à la manière
Peu importe le caractère
Sans rime et sans rien taire
La prose ferait tout aussi bien l'affaire
J'ai retrouvé le fil Ode ette
M'a fallu remonter l'escarpolette
Pour trouver saperlipopette
1 ver sur 1 fougère guillerette
Qui avait échappé à mes mirettes
Est ce bien honnête
De demander à Odette
De s allonger toute entière
Sur la fougère
Oh Phil tu exagère,
En ce sens aucune demande n'a été faite,
Et si j'aime la fougère,
Pour qu'elle raison m'allongerais-je,
Car ma robe ne voudrais froisser,
Ni la fougère blesser.
Voyons Ode Ette
Elle ne serait point blessée
Mais honorée de te prêter
Ombrage par temps d'orage
Ni froisser
Ni blesser
Mais aimer
Ou plutôt
Par les doux mots
De la scolopendre
Se laisser surprendre
Décidément cette scolopendre
A su déployer ses pattes
Ses rimes ondulantes
En lettres imprimées
La fougère doit
Sans nul doute l'abriter
Sournoisement planquée
Odette a mille fois raison
De ne lui accorder son coucher
Au risque bien senti
D'attiser sa piqûre
Venimeuse j'en suis sûre
Mais l armure
De nos sentiments
Innocents
Va pourfendre
Toute scolopendre
Ver
Ou fougère
Comme un fou,
J'erre et je désespère.
Je ne sais plus qui croire.
Animal rampant au dédale
De mes songes, noir désespoir
Ou plante charmante,
Rampante, ondulante
Que choisir dans tout ce délire
Le fol animal clopinant
La plante tournoyante ?
J 'hésite et le doute sournois
Soudain me noie.
J'imagine ĺ'une étouffant l'un
Ou l'autre dévorant
Lutte sans merci.
Rien que d'y penser
Je n'ai qu'une envie
Que cesse la détresse
De la plante et de l'insecte. .
Vite vite qu'on les marient..
Et qu'ils nous donnent des petits...
Ver ou fougère
Où est donc l’essentiel
D'un ciel en scolopendre
Que sais je aux milles couleurs
De pente ou parapente
Vole donc plus haut
Emportant la fougère
Tout la haut
Vers le ciel
Fichtre 1 ciel couleur arc-en-ciel
Je confirme il ni a rien de + bel
Mais d'avoir 1 ombrel'
Me semble essentiel
Pour protéger scolopendre
Qui ne sait s'en défendre
Verte fougère n'étant pas assez haute
Pour abriter notre apôtre
Au couvert des crustacés, j'aurais fait un pied de nez!
Mais pour un scolopendre à part me faire pendre.
j'aurais choisi ardeur pour en donner valeur,
Faut-il un tonneau pour renverser les mots?
Ou croire en ses sens pour combler ma patience!
Alors, je dis que de vers pour retourner sa tête à l'envers.
J'aurais préféré parler d'amour, sans aucun détour.
Celui qui vous fait frissonner au premier baiser,
Et vous retourner les sang comme un grand enfant,
Et pour tomber à ses pieds devant sa grande beauté.
Mais scolopendre à part se faire pendre??!!
Vous m'avez beaucoup amusé pour avoir tant diffusé.
Au risque de vous surprendre
Cette fameuse scolopendre
Pour les choses de l amour
A plus d un tour
Ver
Ou fougère
C est en réalité
Zeus transformé
Qui va approcher
La belle
Demoiselle
Timide
Mais avide
De caresses
De tendresses
De soupirs
De désirs
Que je ne vais détailler
Des enfants peuvent écouter
Ils flirtaient timides
Attirés par la grâce
De leurs élans
Arabesques et spirales
Au grès du vent
Ondoyaient pour faire
Et se défaire
Au rythme de tours charmants
Jusqu'à soudain
Leurs corps agiles
En en seul se fondirent
Caresses et tendresse
En chrysalide se changea
Une forme nouvelle au pied de l'arbre
Sur un lit de mousse et d'airelles
Rêvait d'on ne sait quoi...
Et la belle
Avec émoi
Vous dira
Quand la nuit approche
Ma vertu décroche
Je me retrouve nue
Sans avoir bu
Mes passions
Ont tué ma raison
Je me suis laissée
Moi la damnée
Surprendre
Par la scolopendre
Boire jusqu'à la lie
A cette source bénie
A en perdre raison
Ce calice est si bon
Au diable la vertu
Après avoir tout bu
Je me reconnais plus
Mon âme mise à nu
Crainte de l'inconnu
Scolopendre qui es tu??
Mais qu'en pense la belle
De toute cette agitation
Autour de cette scolopendre
Sans parure, sans nom
Est-il Dieu ?
Est-il homme ?
Qui de nous pourrait
Le dire avec certitude
Pas de certitude
C est vrai
Mais
En avons nous besoin
L attrait
Un peu malsain
De l inconnu
Ton corps dévêtu
La scolopendre
A su nous apprendre
A désirer
A aimer
Mots gorgés
Mots remplis
De désir
D'amour
Ils nous parlent
De volupté
De sensualité
Tout tourne
Autour de nos sens
Et les sentiments
Où sont-ils
Dans ce néant
Issu des vers
Surprendre la scolopendre
Dans le noir la pourfendre
Et son corps à l'amour épingler
Disséquer
Embaumer
Admirer
Posséder
Je ne peux pas tous vous nommer, mais vous êtes tous tombés sur la tête. !!!
Aimer
Désirer
Idolâtrer
Cette affreuse bête?
Alors que ma scolopendre
Belle et non bête,
Vous pouvez pour l'amour
Vous y étendre!
Sans problème,
Je crois même,
Que vous pourrez entendre
Sa douce voix vous murmurer
Je suis là pour vous détendre!
Je suis là pour votre amour!
Mais qui sait
Si cette scolopendre
Comme le crapaud
Du conte
D'un baiser d'un seul
Se transformerait
Qui sait si de cette laideur
D'un beau jeune homme
Naîtrait ?
Nous les filles
Nous rêvassons
Nous imaginons
C'est la force de la poésie
La force de l'imagination..
Ha ha vous savez que je suis banni
Pour avoir la vérité écrit
Sur certaines pratiques d'ici
Par certains qui n'ont compris
Ni le quart ni le tiers mes dits
Alors je me retire sans bruit
J'aime pas les non-dits
Je n'ai aucun souci
Car la vérité j'ai décrit
Verte fougère s’ennuie
J'aime pas le ciel gris
Scolopendre tant pis
Je m'en vais d'ici
Puisque l'on mi a interdit
Saluez de ma part
Ces hébergeurs à part
Qui lisent en diagonale
Mes joutes verbales
J'assume tous mes écrits
Mais hélas je ne puis
Assumer ce que certains y ont compris
La tempête emporta la chrysalide
Roule sur les pierres
Écorchée et meurtrie
L'objet s'étiole autour
Disperse fragments
De corps et d'esprit
Rebondir
Rétrécir
Puis s'évanouir
Renaître ailleurs
Oubliées les blessures
De sa chrysalide meurtrie
La muse jaillit en armure
Danse et compose
En souriant à la vie!!!!
Et comment finira tout ceci
Et de nos mots
Sa destinée
Qu'en sera-t-il ?
Il nous aura tout de même bien amusé
Ses semaines
A déblatérer
Sur son compte
A parler sans jamais l'avoir vu
A conter
A commenter
A même s'emporter !
Qui disait que la poésie
Était statique ?
Nullement
En voici la preuve
Puisque d'un rien
Est naît ce trois fois rien
De ce ver vilain
Loin des yeux pour certain
Mais est-ce vraiment sa fin ?
La fin
C est certain
Une rose
Oui une rose
L écrira
Elle décidera
Du sort
Vie ou mort
De notre tendre
Scolopendre
Où êtes-vous
Mes chers poètes
Où vous cachez-vous
Dans quel replis de vos mots
Vous êtes-vous cachés
Je soulève les fougères
J'écarte les feuilles
Mais nulle part trace
De cette fameuse scolopendre
Mes pas me mènent
Dans cette grande clairière
J'y vois comme une lumière
Je me laisse pénétrer
Par cette clarté...
Et que vis-je ?
Oui que vis-je ?
Devinez...
L heure va sonner
La rose va vous conter
Le devenir
De nos délires
De nos délires en furie
Qui se termine c'est pour bientôt mais c'est donc l'heure
Tout à une fin même les roses
Il m'a laissé un mot
Qui s'est perdu
Mais il m'a parlé
D'amitié
A travers tous vos posts
Il s'est retrouvé
Il s'en va
Vers des sentiers meilleurs
Vos vers, vos pensées
Il les a gravés
Dans son cœur
A jamais...
Bravo
C est beau
Applaudissements
Troublants
Et ronflements
Animal
Végétal
Tu es bien sûr
Que ton futur
Est tout tracé
Mais tu es menacé
Pour te défendre
Scolopendre
Vas te cacher
Ou t abriter
L'un dans l'une
Sous la lune
L'une dans l'un
Ne font plus qu'un!
Anigétal;
Végimal!
Nouvelle race
On perd ta trace.
Libre tu es
De procréer
Alors bonjour
A tes amours!!
Le fil est coupé
Avez vous savouré
Ces propos incohérents
Moi
Ma foi
Intensément
Intensément
Un jour, ou il pleuvait, les yeux collés au hublot
Je regardais une goutte tombant en formes d'îlot
Sur les jours venus de toute part je pleurais la vie
Sur ce bateau coque de noix implorant le paradis
J'ai oublié mes racines pour me confondre en vous
Je vous ai offert une histoire en tribune passe partout
Vous vous êtes fait l'écho des libertés de mon espoir brûlant
Vous qui défendiez le droit des hommes bienveillants
Vous avez trahit votre passé et bafoué votre sceaux
Vous les justes qui nous expliquiez que tout est beaux
Je suis mort, noyé sur cette terre qui m'a concentrée en refuge
Le jour ou mon libre arbitre voulait apprendre vos subterfuges.
La Scolopendre réveillée
Par ces mauvais vers enfilés
Déclama ces quelques quatrains
Deux cent vingt deux ni plus ni moins
Deux cent
Vingt deux
Histoires
Et poèmes
Deux cent
Vingt deux
Victoires
Du système
Deux cent
Vingt deux
Amis
Du rami
Deux cent
Vingt deux
Sodomies
Consenties
Deux cent
Vingt deux
Surprises
De l amour
Deux cent
Vingt deux
Marquises
Sur le retour
Deux cent
Vingt deux
Ordinations
De prêtres
Deux cent
Vingt deux
Décorations
Sur ma fenêtre
Deux cent
Vingt deux
Dissertations
Mal rédigées
Deux cent
Vingt deux
Punitions
Infligées
Deux cent
Vingt deux
Poèmes
De Mallarmé
Deux cent
Vingt deux
Sirènes
Prostituées
Deux cent
Vingt deux
Petrus
Dans un bus
Deux cent
Vingt deux
Cunnilingus
Savoureux
Deux cent
Vingt deux
Dérives
Oniriques
Deux cent
Vingt deux
Excessives
Polémiques
Deux cent
Vingt deux
Miroirs
Déformants
Deux cent
Vingt deux
Manoirs
Birmans
Deux cent
Vingt deux
Chats
Timides
Deux cent
Vingt deux
Mantras
En polyamide
Deux cent
Vingt deux
Douceurs
Matinales
Deux cent
Vingt deux
Facteurs
En cavale
Deux cent
Vingt deux
Fictions
Romanesques
Deux cent
Vingt deux
Fellations
Rachidatesques
Deux cent
Vingt deux
Sycomores
Déracinés
Deux cent
Vingt deux
Oxymores
C est assez
Deux cent
Vingt deux
Possessions
Minuscules
Deux cent
Vingt deux
Défenestrations
Après la bulle
Deux cent
Vingt deux
Nouvels ans
Persans
Deux cent
Vingt deux
Préjugés
Sexistes
Deux cent
Vingt deux
Corrigés
Marxistes
Deux cent
Vingt deux
Vacances
En Provence
Deux cent
Vingt deux
Arides
Dévotes
Deux cent
Vingt deux
Petites
Culottes
Deux cent
Vingt deux
Pharmaciens
Lusophones
Deux cent
Vingt deux
Pharisiens
Pour Perséphone
Deux cent
Vingt deux
Pâtisseries
Englouties
Deux cent
Vingt deux
Barriques
Pariétales
Deux cent
Vingt deux
Lubriques
Vestales
Deux cent
Vingt deux
Écureuils
Furtifs
Deux cent
Vingt deux
Cerfeuils
Approximatifs
Deux cent
Vingt deux
Cornichons
Font le boxon
Deux cent
Vingt deux
Parfums
De tendresse
Deux cent
Vingt deux
Mains
Sur tes fesses
Deux cent
Vingt deux
Sortilèges
En Norvège
Deux cent
Vingt deux
Retours
Du printemps
Deux cent
Vingt deux
Vautours
Compétents
Deux cent
Vingt deux
Cycles
Des saisons
Deux cent
Vingt deux
Tricycles
En pâmoison
Deux cent
Vingt deux
Parfois
De Mars
Deux cent
Vingt deux
Anchois
De Vars
Deux cent
Vingt deux
Papesses
En détresse
Deux cent
Vingt deux
Titans
Endormis
Deux cent
Vingt deux
Amants
Dans ton lit
Deux cent
Vingt deux
Musiques
Planantes
Deux cent
Vingt deux
Mystiques
Déconnantes
Deux cent
Vingt deux
Imberbes
Rossignols
Deux cent
Vingt deux
Herbes
Folles
Deux cent
Vingt deux
Impossibles
N est pas Français
Deux cent
Vingt deux
Impassibles
Népalais
Deux cent
Vingt deux
Sous sous
Le soleil
Deux cent
Vingt deux
Doudous
Pour ton sommeil
Deux cent
Vingt deux
Bluettes
Romantiques
Deux cent
Vingt deux
Nonnettes
Lubriques
Deux cent
Vingt deux
Limaces
Sur la terrasse
Deux cent
Vingt deux
Anglicistes
Castagnés
Deux cent
Vingt deux
Pacifistes
Boivent du thé
Deux cent
Vingt deux
Vieux Lords
Amoraux
Deux cent
Vingt deux
Jolis Fjords
En bateau
Deux cent
Vingt deux
Miss
Univers
Deux cent
Vingt deux
Fils
Solitaires
Deux cent
Vingt deux
Cheminots
Tous homos
Deux cent
Vingt deux
Soignants
Fatigués
Deux cent
Vingt deux
Enseignants
Fessés
Deux cent
Vingt deux
Xtc
A l agonie
Deux cent
Vingt deux
Souvenirs
De l avenir
Deux cent
Vingt deux
Référendums
Précoces
Deux cent
Vingt deux
Bonhommes
A la noce
Deux cent
Vingt deux
Nains assis
Sur un banc
Deux cent
Vingt deux
Démocraties
Et pourtant
Deux cent
Vingt deux
Surprises
De Mars
Deux cent
Vingt deux
Cerises
De Tarse
Deux cent
Vingt deux
Révolutions
Tu verras
Deux cent
Vingt deux
Positions
Du Kama sutra
Deux cent
Vingt deux
Dialogues
De sourds
Deux cent
Vingt deux
Catalogues
Ouïgours
Deux cent
Vingt deux
Danseurs
Printaniers
Deux cent
Vingt deux
Soigneurs
Hospitalisés
Deux cent
Vingt deux
Hésitations
Masculines
Deux cent
Vingt deux
Glaciations
Anodines
Deux cent
Vingt deux
Hommes perdus
Et fous de toi
Deux cent
Vingt deux
Dindons dodus
Tu les auras
Deux cent
Vingt deux
Miasmes
Du passé
Deux cent
Vingt deux
Orgasmes
Simulés
Deux cent
Vingt deux
Coups
De barce
Deux cent
Vingt deux
Roux
C est une farce
Deux cent
Vingt deux
Bavardages
Stériles
Deux cent
Vingt deux
Sondages
Versatiles
Deux cent
Vingt deux
Cœurs
En hiver
Deux cent
Vingt deux
Pétanqueurs
Intranucléaires
Deux cent
Vingt deux
Mois
Paisibles
Deux cent
Vingt deux
Patois
Indicibles
Deux cent
Vingt deux
Déportations
En Amérique
Deux cent
Vingt deux
Masturbations
Chroniques
Deux cent
Vingt deux
Malades
Imaginaires
Deux cent
Vingt deux
Escapades
Chez Voltaire
Deux cent
Vingt deux
Sycophantes
Libidineux
Deux cent
Vingt deux
Infantes
Séduisantes
Deux cent
Vingt deux
Journées
De la femme
Deux cent
Vingt deux
Nouveaux nés
Infâmes
Deux cent
Vingt deux
Vents
D hiver
Deux cent
Vingt deux
Lents
Concerts
Deux cent
Vingt deux
Paresses
A l ancienne
Deux cent
Vingt deux
Caresses
Lesbiennes
Deux cent
Vingt deux
Banlieues
Et Autorité
Deux cent
Vingt deux
Yeux
Vont cuicuiter
Deux cent
Vingt deux
Rappels
De tempête
Deux cent
Vingt deux
Gamelles
C est la fête
Deux cent
Vingt deux
Joueuses
En jaune
Deux cent
Vingt deux
Chasseuses
De fantômes
Deux cent
Vingt deux
Larmes
De farce
Deux cent
Vingt deux
Armes
De chasse
Deux cent
Vingt deux
Mal notés
Qui resquillent
Deux cent
Vingt deux
Députés
Qui se déshabillent
Deux cent
Vingt deux
Arès
Transformés
Deux cent
Vingt deux
Adresses
Oubliées
Deux cent
Vingt deux
Justices
Raccourcies
Deux cent
Vingt deux
Pastis
Engloutis
Deux cent
Vingt deux
Poésies
Dominicales
Deux cent
Vingt deux
Amnésies
Musicales
Deux cent
Vingt deux
Sourires
D ange
Deux cent
Vingt deux
Dahirs
Trop étranges
Deux cent
Vingt deux
Ogresses
Militantes
Deux cent
Vingt deux
Duchesses
Consentantes
Deux cent
Vingt deux
Doux
Combats
Deux cent
Vingt deux
Mous
Plagiats
Deux cent
Vingt deux
Illusions
Impassibles
Deux cent
Vingt deux
Conclusions
Impossibles
Deux cent
Vingt deux
Médailles
Chaque fois
Deux cent
Vingt deux
Batailles
De l Alma
Deux cent
Vingt deux
Temps
De fatigue
Deux cent
Vingt deux
Savants
Mangent des figues
Deux cent
Vingt deux
Médiations
Dans un fleuve
Deux cent
Vingt deux
Étalons
Pour une veuve
Deux cent
Vingt deux
Hésitations matinales
Souvent fatales
Deux cent
Vingt deux
Réveil matin
N y feront rien
Deux cent
Vingt deux
Héros
Du quotidien
Deux cent
Vingt deux
Tarots
Pour ton bien
Deux cent
Vingt deux
Audaces
De février
Deux cent
Vingt deux
Carapaces
Surmaquillées
Deux cent
Vingt deux
Variations
Sur un voyage extraordinaire
Deux cent
Vingt deux
Abréviations
Nonagénaires
Deux cent
Vingt deux
Feuilletés
Phosphorescents
Deux cent
Vingt deux
Décolletés
Innocents
Deux cent
Vingt deux
Peurs
De mal faire
Deux cent
Vingt deux
Sœurs
En colère
Deux cent
Vingt deux
Deux
Par deux
Deux cent
Vingt deux
Vieux
Amoureux
Deux cent
Vingt deux
Masculines imitations
Sans rime ni raison
Deux cent
Vingt deux
Poésies aventureuses
Et mimesis frileuses
Deux cent
Vingt deux
Saints
Valentin
Deux cent
Vingt deux
Seins
Levantins
Deux cent
Vingt deux
Divinités
Camionnées
Deux cent
Vingt deux
Virginités
Abandonnées
Deux cent
Vingt deux
Scènes
Hivernales
Deux cent
Vingt deux
Peines
Maximales
Deux cent
Vingt deux
Winter
Fights
Deux cent
Vingt deux
Erreurs
That s right
Deux cent
Vingt deux
Givres
Surannés
Deux cent
Vingt deux
Livres
Japonais
Deux cent
Vingt deux
Gelées
Qui miroitent
Deux cent
Vingt deux
Allées
Qui s emboîtent
Deux cent
Vingt deux
Inuits
En pèlerinage
Deux cent
Vingt deux
Coïts
Sur la plage
Deux cent
Vingt deux
Peurs
Et angoisses
Deux cent
Vingt deux
Fleurs
En surface
Deux cent
Vingt deux
Chats
Du philosophe
Deux cent
Vingt deux
Lauréats
Limitrophes
Deux cent
Vingt deux
Pensées
Ressemblantes
Deux cent
Vingt deux
Créanciers
Sur ta rente
Deux cent
Vingt deux
Bons
Moments
Deux cent
Vingt deux
Bonbons
Dans un instant
Deux cent
Vingt deux
Nitrates
Décelés
Deux cent
Vingt deux
Prostates
Enjouées
Deux cent
Vingt deux
Pointes d Ironie
Méchantes
Deux cent
Vingt deux
Félonies
Innovantes
Deux cent
Vingt deux
Fuites
Organisées
Deux cent
Vingt deux
Cuites
Assumées
Deux cent
Vingt deux
Branches
Cassées
Deux cent
Vingt deux
Ranchs
Visités
Deux cent
Vingt deux
Cerveaux
Embrumés
Deux cent
Vingt deux
Châteaux
Hantés
Deux cent
Vingt deux
Rouleaux
De printemps
Deux cent
Vingt deux
Puceaux
Impatients
Deux cent
Vingt deux
Désespoirs
Chiffrés
Deux cent
Vingt deux
Vistemboirs
Dégriffés
Deux cent
Vingt deux
Devenirs
Inconstants
Deux cent
Vingt deux
Fakirs
Mahométans
Deux cent
Vingt deux
Gourmandises
A la chandeleur
Deux cent
Vingt deux
Devises
En une heure
Deux cent
Vingt deux
Impatiences
Estivales
Deux cent
Vingt deux
Voyances
Infernales
Deux cent
Vingt deux
Hirondelles
Dans Bruxelles
Deux cent
Vingt deux
Demoiselles
Un peu ficelle
Deux cent
Vingt deux
Services
A domicile
Deux cent
Vingt deux
Tournevis
Indociles
Deux cent
Vingt deux
Serpents
Nietzschéens
Deux cent
Vingt deux
Chenapans
Dans un train
Deux cent
Vingt deux
Si
Et seulement si
Deux cent
Vingt deux
Calendriers
Lunaires
Deux cent
Vingt deux
Passagers
Velléitaires
Deux cent
Vingt deux
Interrogations
Sans solution
Deux cent
Vingt deux
Philologies
Et une caillette
Deux cent
Vingt deux
Paraphilies
Satisfaites
Deux cent
Vingt deux
Sardines
Hurlantes
Deux cent
Vingt deux
Ondines
Larmoyantes
Deux cent
Vingt deux
Intervalles
Fanatiques
Deux cent
Vingt deux
Crotales
Faméliques
Deux cent
Vingt deux
Pense
Bêtes
Deux cent
Vingt deux
Sens
En alerte
Deux cent
Vingt deux
Conseils
Pour ton oseille
Deux cent
Vingt deux
Quatrains
Incertains
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