Premier poème
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J’ai un jour écris un poème sans un élan de peine.
Mais je ne voulais parler. Alors un autre y est allé.
Personnage fictif, une partie de moi : Sartaze portait ma croix.
Il est l’Ermite. Mais n’est plus qu’un mythe.
Enterré avec une vie rêvée, je suis passé à côté.
Faire face, goûter à la mienne et son triste lot de haine.
Je me suis alors forcé et l’intérieur en partie sondé.
J’ai perçu les ténèbres et ce qu’elles térèbrent.
J’ai vu des rêves perdus et une insouciance maintenant ténue.
Au-delà se cache sous couche mes idéaux ; mon dévot.
Ce que j’exprime bien sot : l’Ermite sort de son jeu-vidéo.
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