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Une fois les gros nœuds routiers passés, sur l’autoroute nous abattons beaucoup de kilomètres, mais pas assez malgré tout pour espérer rallier Brest en une seule étape.
En fin d’après midi Guillaume propose de s’arrêter après Nantes et de chercher un hôtel.

Et nous trouvons un Ibis. Deux chambres l’une à coté de l’autre.
Nous nous accordons quelques instants pour nous reposer et nous donnons rendez-vous vers 19h30 à la réception pour diner au restaurant de l’hôtel.

Je fantasme, je rêve, j’imagine.
La fellation m’a mis en appétit. Mais Carole, tout en étant maintenant très agréable, ne manifeste plus de geste suggestif à mon égard. Comme s’il ne s’était rien passé.

J’en suis dérouté ! Et bison futé n'y est pour rien.

Le repas se passe dans une atmosphère très amicale. Le menu n’a rien d’extraordinaire mais remplit les estomacs.
Le petit rouge de Loire se laisse boire et contribue au bien-être qui nous gagne.

La soirée se prolonge un peu au bar et Guillaume est le premier à rendre les armes.
« La journée a été longue. Je vais me coucher »
Et s’adressant à Carole
« Tu viens chérie ? »

« Vas-y. Je reste encore un petit peu. Si je me couche trop tôt, je ne vais pas dormir »

Tiens, tiens.

Guillaume nous abandonne alors, et avec Carole nous continuons de bavarder.

Au bout de quelques minutes elle finit par lâcher :
« Bon Antoine, nous continuons d’enfiler les perles ou nous allons dans votre chambre ? »

J’ai la très nette impression que je ne suis pas le maître du jeu !
Et quel jeu !
Etre un jouet dans les mains … et plus, de Carole n’est pas pour me déplaire. Elle m’a déjà donné un premier aperçu de ses compétences.

Je me lève du siège et c’est main dans la main que nous nous dirigeons vers l’ascenseur.
Bouton 3ème étage.
La porte à peine refermée elle s’approche de moi pour me prendre le visage dans ses mains et en se redressant sur la pointe des pieds, elle me roule une pelle d’enfer.

Il y a le feu qui couve chez cette femme ! Guillaume est vraiment gâté. Ou il ne peut suffire aux besoins de sa belle ?

Nous gagnons ma chambre et je jette un œil inquiet sur la porte voisine.

A peine entrée, Carole se déshabille rapidement et elle laisse ses vêtements épars sur le sol. Moi qui suis habitué au déshabillage dans les formes je suis un peu scotché.

Nue, complètement lisse, elle est magnifique.

Elle s’assoit au bord du lit.
« Venez vite Antoine »

D’un autre coté, elle a sans doute raison de ne pas vouloir faire traîner les choses. Guillaume pourrait se poser des questions, si Carole tarde à le retrouver.
Se poser des questions ? Il s’en accommode peut-être ? Je ne sais plus que penser !!

Je l’imite donc et je me retrouve nu assez vite.
Carole m’attire et prend en bouche mon sexe qui commençait déjà à réclamer.
« humm, vous êtes bon Antoine »

Elle me suce divinement. La langue parcourt mon pieu avec gourmandise. La langue joue avec mon frein.
Elle gobe ma bite.

Et elle cesse.

« Vous avez déjà eu votre part Antoine, à votre tour maintenant de me gâter »

Et elle s’allonge sur le lit et remonte ses jambes pour poser ses pieds sur le bord. Elle m’offre son sexe.
Je suis encore un jeunot. C’est la première fois que je me retrouve avec une fille, une femme plutôt, qui me dicte ce que je dois faire.
Et ça m’excite !

Je me mets à genoux. Sa fente épilée est un bonheur pour les yeux … et le nez !

Ma langue goûte le miel qui commence à s’échapper.

Mon nez se colle sur ses lèvres intimes. L’odeur de ce nectar m’envahit et brouille mes neurones.
C’est pire qu’un nuage de cendres. J’ai les radars qui s’affolent et l’aiguille de la boussole qui trépigne.

Je me saoule. Ma langue, curieuse, lape généreusement son sexe, s’enfonce entre ses grandes lèvres qui s’épanouissent avec générosité.
Mon nez, à hauteur de son bourgeon, le frotte au passage. Il se dresse, et la langue vient le lécher pour s’en amuser.

« Oh oui, Antoine, continuez, continuez »
Carole manifeste son plaisir et gémit sans se soucier du voisinage ! En ce qui me concerne, il y a déjà belle lurette que je ne sais plus ou j’habite !!

Entre mes lèvres j'enferme son bourgeon, et ma langue le titille et le lèche.
Je l'aspire et le mords.
Il grossit dans ma bouche.

« Oui, oui, ouiiiiiii !! »
Ce n’est pas varié, mais c’est expressif.

Je glisse une main entre ses cuisses, l'index pénètre son intimité. Va et vient.
Puis le majeur se joint à la fête et à eux deux ils s’activent à faire chanter la dame.

Son bassin se tortille sous l'effet conjugué des doigts et de la bouche.

Tout mes sens sont égayés.

« Oh ! Antoine, je te veux maintenant. Viens me la mettre ! »

Ce n’est pas pour me vanter, mais là, je me crois vraiment un cador !
Et j’ai la queue bien fière, elle aussi.

Ce que femme veut…

D’autant que moi aussi, je veux. Alors pourquoi se priver quand il y a un consensus ! En un seul mot.
« Pourquoi souriez-vous Antoine ? »
« Vous êtes belle ! » Ça ne coute rien de flatter un peu la dame. Et je ne me force pas.
Je me glisse entre ses cuisses et je lui replie les jambes sur sa poitrine.

D’une main j’empoigne ma queue pour la diriger vers l'objectif et j’y rentre directement tellement notre envie est grande.
Je veux la baiser, la tirer. Sans façon.

Je m'enfonce jusqu'à la garde.
Je suis loin, loin.

« Oh, Antoine, mon dieu que c’est bon ! »

Le bon dieu n’a pas grand chose à voir dans l’affaire, même si j’ai le goupillon prêt à donner la bénédiction.

Je fais quelques allers-retours rapides pour évacuer ma frustration.

Mon pubis frappe contre ses fesses.

Je la pénètre toujours plus loin.

J'en râle de plaisir,
« C'est trop bon Carole ! Trop »

Nous avons vraiment une discussion très originale !

Je ramène ses jambes vers le bas et je me penche pour saisir à pleines mains ses seins, que j’avais délaissés jusqu’à maintenant.
Je les écrase, les malaxe, les pétris.
Je les lèche, les mords,

Elle joint ses pieds sur mes reins.
Nous sommes soudés

Carole me transporte et me procure des sensations vertigineuses.

Ma queue semble ne pas cesser de grossir.
Elle me diffuse des ondes de plaisir à chaque pénétration qui sont autant d'étoiles.

Sortir complètement ma queue pour revenir la bourrer est du bonheur.
Sentir ses chairs s'écarter tendrement au passage du gland est un délice.

Je me laisse bercer par toutes les sensations qui parcourent ma queue.

C'est délicieux, délicieux. Et je veux jouir.

« Mets-toi à quatre pattes » Enfin je prends une initiative.

Carole m’a complètement mis à l’ouest !! Et savoir Guillaume dans la chambre voisine m’allume comme jamais.

Ma queue a pris le contrôle de mon cerveau. Ai-je un cerveau d’ailleurs ? Certains disent que non !

Sauvage, j’ai envie d’être sauvage ce soir. Avec une furieuse envie de la défoncer.

Sa croupe me fait un effet hallucinogène. Je l’enfile d’un coup tellement elle mouille !

Je vais et viens rapidement.
Ça claque dans la pièce.
Nos gémissements se confondent.

Accroché à ses hanches j’accélère de plus en plus et le plaisir me parcourt l’échine. Le flot monte dans ma tige et je décharge dans son ventre en lâchant un râle bruyant.

Je suis défiguré par le plaisir. Heureusement qu'il n'y a pas de miroir ! Pensée idiote dans le moment présent !

Nous nous écroulons sur le lit et nous restons sans bouger quelques minutes. Nous récupérons.
C’est Carole qui rompt le silence la première.
« Eh bien ! la Cerise, elle assure ! »

Vraiment, elle comme lui… ils sont indécrottables tous les deux !!

J’ai super bien dormi.

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