Sur un territoire aride et stérile, par une journée de chaleur où personne ne sortait pour laisser le soleil leur lécher la peau. Une naissance d'une créature perdu dans les légendes, survint.

Dans un désert, quelques arbres et plante commençait à mourir de la saison sèche, aucune vie n'était à l'horizon, l'air rugissait dans les feuilles des arbres, des amas de poussières virevoltait près du sol.

Un grand silence trôna le désert, et un cri strident venant du creux d'un arbre brisa le calme.

Cette créature venait de briser sa coquille qui le retenait prisonnier et atténuait la puissance de ses cris, il chercha une once de vie près de lui, mais malheureusement, personne. Il réclama de plus en plus fort le réconfort de sa mère mais rien ni personne ne vint.

Cet être était seul, il avait faim, il devait se trouver à manger malgré son corps faible et fragile. Il chercha dans son creux les insectes qui passaient dans les recoins. Bien que ce ne fût pas suffisant, il s'en contenta et voulu percevoir l’extérieur de son petit habitat.

Il mit sa tête déplumé dehors et ne vit que le néant, rien autour de lui ne vivait ni rendait cette endroit chaleureux. Le vent faisant des rafales, lui donna des grands coup et fit frissonner la petite créature.

Pourquoi était-t-il seul ?, Où sont ses parents ?, Comment va-t-il survivre alors qu'il n'est qu'un être frêle ? Toutes ces questions lui tournèrent dans la tête. Il essaya, comme il le peut, de se protéger du vent en se mettant en boule derrière sa coquille de couleur terre rouge, et par endroits il y avait des taches aussi jaune que le sable du désert.

 Les jours passèrent et le petit volatile s'était nourrit de toutes les insectes habitant l’intérieur de l'arbre, son ventre criait famine et le lui faisait ressentir. Malgré la faim, sa croissance ne fit pas touché et grandit rapidement, il commençait à avoir des plumes qui lui recouvrait enfin sa peau fine. Elles étaient rouge feu vif qui lui faisait ressembler au couché de soleil qu'il avait si souvent observé avec admiration.

 Au fur et à mesure des semaines qui passèrent, il grandit énormément, il était maintenant recouvert entièrement de ses grandes plumes rouges, il laissait souvent sa tête dépasser et quelques fois, il s'éloigna de quelque pas pour chasser. Il n'était pas bien gros mais ses plumes lui camouflait sa maigreur.

Durant une journée, il s'aventura en dessous de l'arbre pour piquer son bec à quelques endroits cherchant la moindre nourriture, mais bien qu'il creusa avec ses griffes acérer il ne trouva rien. Il observa le soleil qui l'hypnotisait à chaque fois, regardant le temps qui s'était écouler depuis le début de sa recherche.

Il décida de regrimper dans son arbre quand il entendit des cris non loin de lui, il s'accrocha avec ses griffes au tronc et pencha se tête pour examiner ces être qui lui sauveront peut être la vie. Il les chercha du regard et les trouva, cacher derrière un buisson mort, deux petits oiseaux. Ils avaient le corps aussi dodu et les pattes aussi fines que des brindilles comme un canarie, la queue longue d'un rouge-gorge, les yeux noirs que ceux des moineaux, et le bec fin d'un rossignol, tout ce mélange pour donner un traquet du désert.

Il s'approcha méfiant, il avait envi de connaître enfin quelqu'un d'autre que le soleil, mais il avait peur de son image, il pourrait bien leurs faire peur. Bien qu'il n'eut jamais croisé d'oiseaux ou d'autre espèces que les insectes qu'il mangeai, il pouvait savoir qu'il était le dernier de son espèce.

 Les deux oiseaux entèrent les pas timide de leur observateur et le sruta interrogateur. Les deux oiseaux se regardèrent, et poussèrent un cri strident qui ramena une horde de volatile de leur espèces.