Je suis Amandine dans la maison, les grands parents d’Amandine sont plutôt aisés leur maison est très grande. Je me rappelle de quelques détails, quelques pièces me parlent. Dans la majorité je ne m’en souvient que très peu, c’est une nouvelle découverte. C’est tellement grand que je me sentirait capable de m’y perdre.

Nous montons dans la chambre d’Amandine, même pas le temps de voir quoi que ce soit de la chambre. Je me retrouve saisi par la bouche d’Amandine, elle m’embrasse et je lui rend la pareil. Je ferme les yeux, j'ouvre la bouche, et nos langues se retrouvent enfin !

Des jours que nous n’avons eu que trop peu de temps ensemble. Nous avons réussi à nous embrasser à nous cajoler. Mais la nous avions pas mal de temps pour nous. D’autant plus que si j’ai bien compris je vais même avoir plusieurs jours.

Je cesse de gamberger, et je profite de nos retrouvailles. Notre baiser s’attarde nous nous caressons les cheveux, le visage et le cou. Je profite parfois pour ouvrir les yeux et regarder la beauté de ma douce Amandine. Elle est toujours aussi belle et délicieuse.

Après un long baiser, Amandine s’éloigne.

- Amandine : J’en rêvais depuis un moment !

- Moi : J’avoue que moi aussi.

- Amandine : Quand on se voyait il y avait toujours quelqu’un pour nous interrompre.

- Moi : J’avoue qu’ils m’ont beaucoup materné.

- Amandine riant : Oui c’est le terme.

- Moi souriant : Maintenant ils vont me foutre un peu la paix. Je les aiment mais j’avoue que parfois il m'étouffent un peu.

- Amandine : Tu n’imagine pas à quel point je te comprend. Mes grands parents c’est pareil !

- Moi : Oui j’ai bien compris ça aussi

Nous rions ensemble, forcé de constater que nous avons tous les deux des parents ultra protecteurs. Je m’en doutais en ce qui concerne les grands parents d’Amandine mais de l’entendre dire me faire hurler de rire.

Une fois le calme retrouvé je jette enfin un œil à la chambre de ma bien aimée. Elle est très jolie, bien féminine avec ces couleurs mauves. Amandine l’a plutôt bien décoré avec des photos d’elle, ses sœurs et ses amies.

On s’installe alors sur son lit, un très grand lit et très confortable. Il y a un ours en peluche qui traîne, il est un peu effrayant mais plutôt marrant. Amandine semble très à son aise dans la chambre.

Très vite Amandine et moi nous regardons à nouveau intensément. Je ne sais pas trop pourquoi mais j’ai la sensation qu’il y’a quelque chose de changé en elle. Je suis bien incapable de comprendre ce qui se passe dans son crâne.

J’apprends alors que les sœurs d’Amandine ont finalement appris ce qu’il s’est passé avec leur Père. Elles l’ont appris lors d’un rendez-vous chez le psy. Bien sûr elles ont été choquées par la nouvelle, elles sont suivies par ce même psy. Si j’ai bien tout compris c’est le psy que j’ai vu aujourd’hui.

Amandine a semble t il eu beaucoup plus de mal à leur en parlé qu'à moi. Je comprend qu’effectivement c’est plus compliqué de l’expliquer à ses sœurs. D’autant plus qu’elles auraient tout à fait pu devenir des victimes de ce pervers.