Un cas spécial

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Marie et moi discutons un moment, cette fois c’est elle qui se confie. J’apprend qu’elle a eu quelque copain, mais que peut-on eu le privilège de lui faire l’amour. On en parle très librement, c’est assez naturellement qu’elle se livre à moi.

- Marie : Tu sais frérot, je t’aime et je sais que tu es quelqu’un de bien.

- Moi : Merci, mais pourquoi tu me dit ça ?

- Marie : Parce que toi tu semble te soucier du bonheur de ta copine.

- Moi : Oui, je l’aime mais pourquoi tu me dit ca ?

- Marie : Tu te rappelle de Louis ?

- Moi suspicieux : Oui pourquoi ?

- Marie : Et bien Louis lui ne pensait qu’au sien et franchement c'était naze.

- Moi : Ah bon et comment ça ?

- Marie : Ba en fait, la première fois il a direct voulu que je le suce. Il m’a presque forcée, finalement je l’ai fait mais un peu a contre coeur, après il m’a a peine caressée et hop il m’a fait l’amour.

- Moi : Tu es resté un moment avec lui pourtant.

- Marie : J’ai cru que c’était juste parce qu'il savait pas faire et qu’il était peu expérimenté.

- Moi : Et alors ?

- Marie : Bah non il m’a jamais procuré de plaisir.

- Moi un peu inquiet : Sérieux ? C’est possible ?

- Marie : Oui ça l’est. Te concernant ca risque pas d’arriver, tu as envie de lui faire plaisir.

- Moi : Oui, tu as raison.

Marie, alterne les phases ou elle me parle de ses quelques expériences sexuelle, et mes expérimentations avec Amandine. Je suis de plus en plus à l’aise à lui parler de toutes ces petites choses.

- Marie : Au fait tu l'a fait jouir avec ton cuni ?

- Moi : Il parait que oui, mais c’est dur de s’en rendre compte en vrai.

- Marie amusée : Oui c’est vrai que vous on peu pas se tromper.

- Moi souriant : Oui vous c’est plus compliqué.

- Marie : T’en fait pas, si elle t’as dit que tu as réussi c’est probablement vrai. Mon frérot il est doué j’en suis sûre.

- Moi le torse bombé : Hey oui, t’as vu ca !

- Marie : Amandine est une petite veinarde, m’en faut un comme toi.

- Moi : Tu me donne l’impression d'être un cas spécial.

- Marie : Un cas unique, mais un très bon cas.

Marie me fait de superbes compliments, je m’en nourris comme jamais ils me donnent une motivation dithyrambique.

- Moi : Tu le pense vraiment ?

- Marie : Oui, franchement un garçon qui pense pas qu'avec sa bite c’est tellement rare.

- Moi amusé : Tu pense que penser a lui faire du bien c’est pas penser avec la bite ?

- Marie riant : Non, tu pense pas qu'à te les vider. Tu pense avec ta tête, tu l’aime, tu as envie de lui faire plaisir, et ça c’est géant.

- Moi : Ah bon quesque ça change ?

- Marie : J’ai une autre question avant de te répondre .

- Moi piqué par la curiosité : Oui va y.

- Marie : Si j’ai bien compris, tu es puceau et elle aussi ?

- Moi rougissant légèrement : Oui pourquoi ?

- Marie : Ques qui fait que vous n’avez pas encore fait l’amour ?

- Moi : Oula, c’est un peu compliqué.

- Marie : Tu me fais un résumé ?

J’hésite un moment. Confié ma sexualité a ma sœur est une chose, mais la vie d’Amandine c’est tout autre chose. Je ne pense pas qu’elle m’en voudra si ça reste entre de bonnes mains.

- Moi : Oui si tu promet de rien dire.

- Marie : D’accord.

- Moi : Me demande pas trop de détails, par respect pour elle s’il te plait.

- Marie curieuse : Oui ça marche.

- Moi : Amandine a été abusé et presque violée par quelqu’un de sa famille. Puis elle a un peu peur d’avoir mal.

- Marie : Heureusement pour elle c’est “presque”. La douleur de la première fois, oui je la comprend.

- Moi : Ça fait vraiment mal ?

- Marie : Moi j’ai eu un peu mal, mais parce que le garçon a été un peu brusque. Si tu y va doucement ça devrait bien se passé. Moi depuis j’ai jamais eu mal sauf avec Louis, parce qu'il faisait pas assez de préliminaire et que c'était une brute.

- Moi un peu effrayé : Donc elle aura mal ?

- Marie : Pas si la prépare bien. Ou alors très peu.

- Moi : Donc en gros si je veut que la première fois se passe bien il faut que je lui fasse de bons préliminaires.

- Marie : Oui et que tu y aille doucement au début.

- Moi : D’accord merci pour tout tes conseils.

- Marie : Tu n’hésite pas si tu as d’autres questions. Et puis si tu veux me raconter aussi je serais curieuse de savoir quand tu l'aura testé.

- Moi amusé : Pas sûr que je te raconte.

- Marie : Tu fais comme tu veux.

- Moi : En tout cas merci, j’appréhendais de t’en parler.

- Marie : C’est normal, mais tu aurais très bien pu en parler avec les parents tu sais ils sont tout aussi ouvert. En plus ils ont bien plus d’expériences que moi.

- Moi : Ouai mais étrangement j'avais pas du tout envie.

Marie sourit, me passe la mains dans les cheveux et me décoiffe. Je la sent d’humeur à plaisanter.

- Marie : Ouai tu as fait ta petite quequette quoi !

- Moi amusée : Non mais je te permet pas !

- Marie : Je te rappel que je l’ai déjà vue !

- Moi souriant : J'avais quoi trois ou quatre ans ? Elle a bien grandie depuis.

- Marie : Ah les mecs, dès qu’on dit qu’elle est petite vous aimez pas !

- Moi : Bah c’est pas sympa, c’est comme si je disais que tu n’avais pas de seins.

- Marie : Je sais bien je te taquine un peu.

- Moi : Et moi je joue le jeu.

- Marie : On aurait pu faire ça des heures en gros.

- Moi souriant : Ouai !

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