Le plan

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Attention, scène difficile traitant de viol entre majeurs. Même, si heureusement, il y a une prise de conscience avec retour en arrière. Comme pour mon œuvre, il s’agit certes de choquer mais je n’approuve aucunement ! Ce sera l’une de mes scènes détailler, choc.

Merci de ne pas lire si sensible.

…..

— Elle est bien mignonne ta fille.

— Merci Alain.

— Mais dit-moi, ton plan, c’est que je la demande en mariage ?

— C’est ce qu’on avait conclu non ?

— Bien sûr sauf que j’aimerais refaire un point.

— Je n’aime pas son pote débile assisté par sa vieille branche. Je n’aime pas quand elle n’a que des livres à se mettre sous la dent. J’ai essayé d’élever mon épouse en une bonne pute, docile, obéissante et qui reste une bonne mère. Tu as vu le résultat ?

— Infidèle, en manque de cul qu’elle boit pour coucher avec ton collègue. Comment tu as tenu longtemps ?

— Aucune putain d’idée ! Elle commençait à me souler en fait. Marine devait avoir toujours une bonne mère mais elle a tout gâchée !

— En tout cas, tu as bien fais de lui faire passer ce test.

— Merci. Bon, à part qu’elle est mignonne, c’est quoi ton plan ?

— Soulever sa robe et lui retirer sa culotte. Tu crois qu’on a trop doser ?

On rit en fumant le cigare sur les fauteuils en matant ma fille qui s’est endormie. Il est à peine quatorze heure, le repas s’et passé vite vu qu’elle a accepté avec joie, de vraiment apprendre au bas de l’échelle dans la librairie d’Alain, « Evasions ». Une boutique plus orientée pour adultes, elle devra faire l’inventaire tout les vendredis soir ainsi que lire deux livres par semaine pour en faire le résumer ici.

Ma fille était gêné d’apprendre le thème des œuvres. Si prude, si sage et c’est en me tournant vers mon vieil ami, que je suis heureux que notre plan commence à fonctionner. Il était prêt à la découvrir, à sa majorité. Il n’a jamais été marié, aime les jeunes femmes mais n’a pu trouver son bonheur parmi ses rencontres. Entre vingt et trente ans, elles étaient souvent déjà trop prise par les études, les soirées ou bien, voulait plus de liberté.

— Je vois ta queue tendu.

— J’ai envie de me soulager. Je peux ?

— Elle aura oublié et ne se réveillera pas avant plusieurs heures. C’est prévu, elle est à toi en espérant que tu en fasses ce que tu veux. Bien sûr, qu’elle soit travailleuse, soumise et, l’important, elle te fasses plaisir. Enfin, tu auras d’autres occasion si tu ne veux pas.

— Tu restes ?

— Si tu veux.

— En vrai, si ce n’était pas ta fille, tu coucherais avec ?

— Bien sûr, bon vas-y. Je déteste l’inceste, une chose dégoutante limitant surtout d’aller voir ailleurs. Non, la meilleur manière, là, pendant que tu prends ton pied, c’est de penser à Adélaïde.

— Ta femme du moment ?

— Oui, elle a trente-quatre ans, femme libre, pas chiante, amoureuse et surtout, c’est ma secrétaire. Dès l’annonce du divorce, le soir, on a baisé dans mon bureau comme des sauvages. Une vrai coquine.

— Tu comptes te remarier ?

— C’est dans mon deuxième plan. Marine sous ton toit, sa chambre sera un dressing pour mon épouse.

— Je crois qu’elle bouge.

— Ne fait pas gaffe, je vais l’a rassurer. Aide-moi.

Il m’aide à la déplacer dans sa chambre après avoir posé nos cigares et je m’installe à gauche pour caresser le front de ma fille. C’est mon moyen de m’assurer qu’elle est entre de très bonnes mains. Vu qu’elle ne m’écoute pas.

— Je lui retire tout ?

— Fait ce que tu veux.

Pendant que je sors ma queue pour commencer la masturbation, Alain retire ses chaussures puis sa culotte. Faut vraiment qu’elle soit une femme, une telle chose cachant son intimité n’est plus possible.

— Hum…

— Chut, rendors-toi.

Elle commence finalement à se réveiller, s’agite même en lui fermant sa bouche. Son regard et ses larmes me mettent en alerte. Alain, les doigts dans son intimité hésite à continuer. Ce temps de silence, là fait encore plus bouger. Elle réussit à se lever un peu, je la bloque pour éviter qu’elle n’hurle.

— Hum !!

— Alain, le produit !

— Hum !!

— Chut ma puce, tout va bien.

Elle montre qu’elle n’est pas dupe et continue de tenter de partir. Alain, revient avec une autre dose de somnifère. On l’a force à boire :

— Allez !

— Papa !

— Obéit ! Promis, ce n’est rien. Papa t’aime et tu vas tout oublier ma puce.

— Hum !!!

— Ne recraches pas ! C’est juste qu’une fois, promis. Ne pleure pas. Attache-lui les poignets.

— Dire que ta femme était plus facile !

Je force ma fille à se rendormir tout en l’empêchant de voir. Me rendant compte que tout ça m’excite, je sais que c’est mal. Seulement, par amour ou par pulsions, j’oublie que c’est ma fille qui à les poignées liés par un tissu dans son dos. J’oublie ça et je repense à sa mère, après la boite de nuit, réalisant mes fantasmes.

J’allonge à nouveau Marine et lui écarte les cuisses au maximum. Elle voit ce qu’il se passe mais je sens que la dose va faire effet. Je me réinstalle à côté, ma main libre à nouveau sur ma queue tendu tout souriant en tendresse. Alain, bloque ses jambes et lui aussi, reprend le travail en douceur.

— Papa…c’est du viol….

— Chut, c’est plus une expérience.

— Papa, je suis vierge, je refuses ça !

— Chez nous, les hommes dominent les femmes. Le plaisir du mal. Tu es vierge oui mais si tu tiens à savoir pourquoi. Ne pose plus de questions, tu vas oublier tout. Et puis, oui c’est mal, on est des salauds, si tu penses te souvenir, dénonce-nous. On y est, on va pas couper l’éjaculation, non ?

— Papa ! Si tu m’aimes, ne me vends pas.

— Tu n’es pas une pute.

— Oui, bon stop, elle a raison !

— Continue mec !

— Le plan ok et bien que j’en avais envie, ce n’est pas correcte.

Il se retire et la libère en s’excusant. Elle finit par s’endormir et moi, je finis aussi par être dégoutée. De retour dans le salon, je m’installe en face de lui.

— On est des monstres ! C’est quand du viol même sans être aller loin ! Tu t’en rends compte au moins ?!

— Pardon oui mais je voulais te faire plaisir.

— Elle me plait et pourtant, oui, j’avais envie, je te le répètes ! Mais c’est juste un fantasme et tu m’as entrainer là-dedans sur ta propre fille !

— Je délire tu sais. Sa mère m’a tellement déçu que je décompresse dans le sexe. Je ne veux que son bonheur et je veux que la protéger. En fait, elle peut être ce qu’elle veut tant qu’elle ne dérive. Je pense que tu es bien pour elle. Mais, c’est illusoire de croire qu’elle sera amoureuse de toi. Si elle se souvient dès demain ou des années après cette heure-là…Je suis salaud avec les femmes, accros au sexe et à la domination. J’ai foutu la vie de ma fille en l’offrant pour un putain de viol ! J’ai insulté sa mère alors qu’en vérité, je dois reconnaitre qu’elle était une belle femme, elle est toujours je pense. Douce, attentionné avec Marine. Non, si tu penses que je vais consulter. Peut-être, je suis en tout cas, un cas perdu. Mon oncle qui m’a élever était un peu comme moi, en plus hard.

— On se connait depuis le lycée et j’ai dérivé une fois avec cette soirée avec ta femme. Je n’ai jamais compris pourquoi tu te comportais comme ça. J’ai accepté le plan, tu sais pourquoi ?

— Non.

— Je sais que tu es bon père au fond. Le nombre de souvenirs, d’anecdotes avec elle. Mais dès que tu m’as parlé de tester ta femme, j’ai compris que je devais sauvé ta fille. Ne ris pas ! Ecoute-moi, j’avais essayé de t’appeler pour éviter cette connerie. Au fond, tu n’aimais plus ta femme, non par parce qu’elle n’était plus soumise au lit, non, c’est plus parce qu’au fond, en regardant autour de toi, tu sais que ce qui te manquais, c’est d’être partageur.

— Hum….

— Mais tu l’as avoué à l’instant, le sexe te fais sombrer. Il guide ta vie depuis si longtemps que tu en souffres. Avec ta secrétaire, tu es heureux car ça te soulages hors je sais que tu veux une femme qui…

— Tu as raison. Le rapport avec ma fille ?

— Me marié était juste pour te faire taire à force de me harceler sur ton projet. En vrai, j’ai dis oui pour qu’elle s’ouvre au monde. Elle s’est enfermé par choix oui mais elle veut découvrir autre chose. Comme toute ados. Et puis, tu m’as forcé à lui dire que ma boutique n’est qu’érotique, tu le sais que c’est faux !

— Le sexe encore et toujours.

— Pourquoi la pervertir ?

— Oublie, c’est juste mon divorce, ma vie, tout qui me rend malade.

— Ta fille est pure et je serais un bon patron pour la protéger. Tu sais quoi ?

— Non.

— Elle va forcément se souvenir et dans ce cas, elle va te demander tes explications. Tu iras tout lui avoué. Te faire pardonner. Pour ta femme aussi, je te demanderais pas de revenir avec surtout et je la comprendrais, elle refusera.

— Ma fille va ne jamais me pardonner. J’ai crée un séisme, elles sont détruites.

— Accepte te vouloir engager un soin.

— Si tu connais un bon psy, donne-le-moi.

— Je vais t’aider.

— Merci. Si elle accepte de te revoir, en admettant sa prise de conscience, qu’elle me pardonne et tout, tu devras aussi t’expliquer.

— Oui, si tu veux le même jour.

— Merci pour ta lumière, je m’engage à prendre soins de moi, soigner mon image.

— Et moi, à te soutenir et si elle le désires, l’aider à se lancer dans ses études avec du bon réseau.

On se sert la main en trinquant du vin avant de finir le cigare. Je me suis beaucoup menti et cela me fait en vrai, du bien d’admettre que je traine du poison. Pourquoi je détruis tout autour de moi ? Surtout, je m’autodétruit et ma fille m’a toujours vu comme un bon père. J’étais moi en fait, je veux revenir à ça. Et comprendre, comment j’ai pu vivre avec ses deux personnalités et à quel moment, je n’ai pas osé changé en discutant avec ma femme ?

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